941.- J'ai assisté à l'avant-première internationale de T4 ou Terminator Salvation en grand breton qui se déroulait ce soir au Grand Rex. C'était tout simplement énormissime, grosse ambiance, machine à fumée, tapis rouge, limousine pour les acteurs américains, robot Terminator à l'entrée, Hollywdood était à Paris. La séance était prévue pour 19h30 mais lorsque je suis arrivé à 17h50, la file d'attente rue Poissonnière arrivait quasiment jusque chez moi. Heureusement j'ai retrouvé Christophe bogoss dans la file en même temps que Sandrine arrivée en même temps. Quelques mètres derrière nous il y avait Michel Luczak et ses amis qui twittaient toutes les cinq minutes leur position géolocalisée avec leur iPhone. Jean-Luc du théâtre Le Lieu était là également pour me faire signer des papiers et me faisait la réflexion qu' avec ce seul public d'un soir, on remplissait 100 soirées au 41, rue de Trévise. Mon camarade ppC est arrivé sans son masque puisque l'alerte 5 était passée, puis la marche commença. Je vis mes amis s'éloigner inexorablement vers la salle du bas car je devais attendre mes parents qui adoraient la saga depuis le T1 de 1984. Ils sont arrivés une heure après, j'avais eu le temps de voir passer Jean-Christophe Capelli et son ami Romain plus bridé qu'italien. Mes parents sont arrivés au même moment que Bonne Etoile et Stéphane son ami et ex-collègue. En arrivant au deuxième étage, nous avons eu la chance de trouver toute une rangée disponible avec de la place pour étendre nos longues jambes et surtout aucune grosse tête devant nous. Les bandes-annonces de T1, T2 et T3 défilaient sans cesse et après un long séance de 3/4 d'heure, enfin ils sont arrivés. Le réalisateur McG, les actrices principales Moon Bloodgood et Bryce Dallas Howard la fille de Ron, AntonYelchin qui joue le rôle de Kyle Reese jeune et qui était également l'enseigne Tchekov dans la resucée de Star Trek 2009 et enfin celui que nous attendions tous, le Chevalier Noir Batman, John Connor, l'énorme Christian Bale. Malheureusement seule la fille qui comptait les places au deuxième étage et le réalisateur McG ont parlé, nous n'avons pas eu le plaisir d'entendre les potiches ou les acteurs prononcer quelques mots, sûrement étaient-ils fébriles après quelques coupes de champagne marnais alors que nous étions dans l'attente. Puis vint le film avec des applaudissements, des cris, des réactions en tous genres et des rires bon enfant surtout pendant les clins d'oeil aux signes de la saga. Le nouveau film tel Star Trek ou même Batman Begins, redonne un souffle épique à la franchise, les scènes d'action sont époustouflantes et tout en conservant un production design proche des meilleurs moments des précédents volets, ils redéfinissent le mythe dans ses postulats les plus profonds. Vous saurez mieux de quoi je veux parler avec mon langage à la Bogdanoff mais le film tient aussi bien dans l'action que dans le suspense psychologique sans faille. Belle réussite de McG sur tous les points, le Cinquième volet est déjà en préparation. En attendant, foncez et n'oubliez pas, IL EST DE RETOUR. Les photos sont toujours sur Flickr.
"Terminator Renaissance" de McG avec Christian Bale, Sam Worthington, Anton Yelchin, Bryce Dallas Howard, Helena Bonham Carter, Michael Ironside et Moon Bloodgood
940.- J'avais adoré Tout pour plaire le premier long metrage de Cecile Telerman qui racontait le quotidien de trois copines trentenaires avec Anne Parillaud, Judith Godrèche et Mathilde Seigner. Du casting de ce film, il reste Pascal Elbé, Mathilde Seigner et Marina Tomé. Les deux premiers sont frère et soeur et Marina Tomé est l'épouse de Pascal Elbé. La jolie Gwendoline Hamon vue dans Erreur de la Banque en votre Faveur, Patrick Chesnais, Sophie Cattani, Charlotte Rampling et Olivier Marchal dans un rôle ... de flic complètent ce casting calibré pour assurer les entrées en salles. L'intérêt de la séance de 18h45 à l'UGC Les Halles était de voir une bonne partie de l'équipe du film présente dont Pascal Elbé, Olivier Marchal, Mathilde Seigner, Sophie Cattani, Gwendoline Hamon et Cécile Telerman. Ils ont répondu aux questions posées par le directeur de l'UGC sauf Mathilde Seigner qui avait l'air explosée. C'était gentillet et au bout de dix minutes, ils se sont éclipsés pour nous laisser apprécier le film. Pas mal, un bon scénario et j'ai bien aimé la composition d'Olivier Marchal qui forme un couple crédible avec Mathilde Seigner qui a les meilleures vannes comme dans Tout pour Plaire. Patrick Chesnais est bien dans son rôle de patriarche mais Charlotte Rampling est carrément épatante. Elle campe la froideur et le flegme britannique avec un naturel déconcertant et amusant. La dernière scène où Sophie Cattani ramasse le téléphone et la photo est d'un comique désopilant et l'histoire se laisse suivre avec plaisir.
"Quelque Chose à te dire" de Cécile Telerman avec Olivier Marchal, Mathilde Seigner et Pascal Elbé
937.- J'avais raté le phénoménal La Nuit au Musée de Shawn Levy, j'ai été tenté un peu par hasard par l'épisode 2. Le scénario tient sur une feuille papier A5, à cause d'un maléfice égyptien tous les objets d'un musée prennent vie lorsque les rayons de soleil ont disparu. Le premier volet relatait les aventures de Larry Daley joué par le fou fouf fou Ben Stiller dans le Musée d'Histoire Naturelle de New York, le second déplace l'action au Smithonian Institute de Washington, le plus grand musée au monde. Les héros sont attachants, leur complicité est réelle et les effets spéciaux servent agréablement le propos, la musique d'Alan Silvestri de Retour vers le Futur apporte le côté Jumangi, les excellents gags visuels et le tout contribuent à faire de cette nouvelle mouture un bien agréable divertissement. A voir surtout en version originale pour profiter pleinement de la prestation désopilante d'Alain Chabat dans le rôle de Napoléon.
"La Nuit au Musée 2" de Shawn Levy avec Ben Stiller, Alain Chabat, Owen Wilson, Hank Azaria, Steve Coogan et Amy Adams
935.- Grâce à mon amie Célinette, j'ai pu voir en avant-première le nouveau film du tandem Tolédano/Nakache fameux auteurs de Nos Jours Heureux, la comédie sur les colonies de vacances. Leur terrain de jeu est dans ce nouvel opus de la saga tronches de vie est la famille, que l'on ne choisit pas, que l'on supporte et que l'on aime après tout et par-dessus tout. Nous sommes allés le voir au Forum des Images aux Halles et la projection a été suivie par un débat avec l'équipe du film dont la charmante Joséphine de Meaux, le beau gosse Vincent Elbaz et l'étoile montante François-Xavier Demaison. La comédie familiale est assez plaisante sans atteindre le niveau de Nos Jours Heureux. En outre, le plus beau film qui traite de ce sujet à mon sens est de très loin Le Premier Jour du Reste de Ta Vie de Rémi Bezançon qui m'a scotché du début à la fin au point d'aller le voir trois fois dans la même semaine. Il reste une bluette assez bien vue avec des situations exagérées à l'extrême et de bons numéros d'acteurs. Omar Sy joue le beau gosse qu'il est,enfin. François-Xavier Demaison est égal à lui-même dans un numéro qui lui permet de sortir ses mimiques de one-man-show de talent et Vincent Elbaz est tout simplement criant de vérité. A mon avis, c'est celui qui exprime le mieux toute la palette des sentiments évoqués dans le long métrage. Joséphine de Meaux est restée sur le mode caractériel et assure le spectacle à elle-seule alors qu'elle était toute timide pour répondre aux questions des bloggueurs de Allociné présents dans la grande salle du Forum des Images. Bon film de divertissement donc et merci encore à ma Célinette pour m'avoir permis de le voir dans ces conditions exceptionnelles.
"Tellement proches" de Eric Tolédano et Olivier Nakache avec François-Xavier Demaison, Audrey Dana, Isabelle Carré, Joséphine de Meaux, Omar Sy et Vincent Elbaz
929.- Autant j'ai adoré les Star Trek de mon enfance avec les pyjamas, les oreilles pointues, la téléportation et l'esprit d'équipe, autant je n'ai pas accroché avec les films dérivés qui étaient beaucoup trop bon marché à mon goût et faisaient bien pâle figure face à Star Wars et autres Independance Day. Dans les films, cela discutait beaucoup trop et il n'y avait pas assez d'action même si les scénarios étaient intéressants et plein de surprises à l'instar de chaque épisode de la série. Je m'attendais à une réussite, j'ai reçu une claque monumentale en allant voir Star Trek version 11 qui revisite avec maestria le genre et réconciliera tous les fans de la série, longtemps après les épisodes 10 (Nemesis en 2003) et 9 (Insurrection en 1999) et 29 ans après le tout premier film qui s'appelait sobrement Star Trek : Le Film (1980). Outre le plaisir de voir nos héros au début de leur carrière, nous avons le plaisir de voir comment leur si grande complicité a démarré à partir d'une inimitié, d'un amour ou d'une entraide. On découvre également le prénom de Uhura, première actrice noire à avoir un rôle de premier plan à l'époque campée ici par la jolie Zoe Saldana et le choix judicieux du casting avec Karl Eomer Urban dans le rôle du Dr McCoy, le comique anglais Simon Pegg dans celui de Scotty. Zachary Quinto le méchant Sylar de Heroes reprend le flambeau de Leonard Nimoy avec une sobriété et un naturel étonnant de maîtrise et Chris Pine le fils de Robert Pine de la série CHIPS est un James Tiberius Kirk parfaitement crédible avec juste ce qu'il faut de folie héroïque. Le méchant Eric Bana est épatant et Wynona Rider est également de la partie. Sympathique d'avoir pris l'interprète de la série Heroes étant donné que George Takei qui y joue était l'enseigne Sulu dans l'équipage de la série originale, encore un clin d'oeil ! L'intrigue est palpitante et elle permet de distiller quelques moments comiques même si ce n'est pas un épisode de la série Y'a-t'il un capitaine sur l'Enterprise ? Les héros sont attachants et plus sympathiques que ceux de la bande de Starship Troopers. La musique de Michael Giacchino qui avait signé également Ratatouille et Mission : Impossible III apporte un souffle épique supplémentaire aux images ultra-réalistes. En bref, la réussite et totale et on en ressort avec le sourire jusqu'aux oreilles tellement on a été réjoui.
"Star Trek" de J.J. Abrams avec Chris Pine, Karl Urban, John Cho, Eric Bana, Zoe Saldana, Wynona Rider et Zachary Quinto
927.- L'affiche et le pitch de ce film avec Jean-Marie Bigard dans le rôle-titre et à l'écriture du scénario sentait le navet à plein nez. Heureusement, il n'en est rien et c'est une excellente surprise surtout lorsque l'on considère la première daubasse de Bigard au cinéma L'Âme Soeur qui était vraiment pas regardable. Sur les conseils éclairés de son producteur Luc Besson, Bigard n'a pas fait du Bigard et s'est effacé derrière son rôle de gangster sorti de prison qui se retrouve nez à nez avec ses anciens comparses tout droit sorti d'un film à la Audiard. Il retrouve son frère curé campé par l'excellent Doudi Strajmayster rendu célèbre par son programme court Samantha Oups où il incarne ladite blonde donzelle. Il en fait des tonnes mais il est attachant et réussit l'exploit de prendre le meilleur sur Jean-Marie Bigard. La musique est belle, le petit village d'Ardèche respire la tranquillité et les filles jolies et sculpturales avec la très craquante Camille de Pazzis et la sculpturale Thiam Aïssatou. J'ai passé un bon moment et c'est déjà bien.
"Le Missionnaire" de Roger Delattre avec Jean-Marie Bigard, Doudi Strajmayster, Jean Dell, Thiam Aissatou et Camille de Pazzis
923.- Ce dimanche en fin d'après-midi, nous avons été invités à une projection au Gaumont Marignan sur les Champs Elysées du film INCOGNITO. Après une courte introduction d'Eric Lavaine, nous avons pu bien profiter de ce film très bien réalisé et joué par un Bénabar inspiré, un Quivrin toujours sympathique et surtout un Franck Dubosc en grande forme dans son rôle de tendre lourdeau. L'histoire est celle d'un chanteur qui devient connu grâce aux chansons d'un ami qu'il croit mort. La production aurait pu faire jouer le rôle-titre à un acteur qui aurait poussé la chansonnette, ils ont misé sur le charisme de Bénabar, chanteur emblématique de la nouvelle chanson française, teinté en brun pour l'occasion. Le scénario est bien construit, la musique est jolie, les acteurs sont attachants dont la sublime Anne Marivin qui a perdu son accent de Bienvenue chez les Chtis au passage. Je vous recommande ce film qui vous fera passer un bon moment !
"Incognito" d'Eric Lavaine avec Bénabar, Franck Dubosc, Jocelyn Quivrin et Anne Marivin Le côté agréable a été le buffet qui nous était offert après la projection, où l'on pouvait directement féliciter les vedettes du film. (Sylvie et ... qui ça déjà vous avez dit ?) Elles étaient toutes là et quelques autres personnalités du cinéma français : la fille qui fait l'essayage de la Vérité si je mens 2, Louise Monot et Reem Kherici de OSS 117 2, Camille de Pazzis, Franck Dubosc, Jocelyn Quivrin, Isabelle Nanty, Jacques Loussine, le réalisateur Eric Lavaine, ses associés et bien sûr Bénabar. (Sarah Llopis Llorca et Damien de la Nouvelle Star 2009) En guests il y avait également tous les finalistes de la Nouvelle Star entre autres dont Damien, Camelia-Jordana et Thomas (coucou Claudia de Soultz ;o) Quel choc, je ne pensais pas que ce serait si bien que ca. Déjà le film excellent, on a bien rigolé. Il ne dure pas longtemps mais c'est juste ce qu'il faut. Au départ, je passe le contrôle, la fille ne trouve pas mon nom et direct elle me dit "désolé, vous nêtes pas sur la liste,vous êtes invité par qui ?" je lui réponds "Sarah de C.." alors sarah qui est passée va voir la fille et lui dit "ca me gene, je l'ai invité, je suis mal vis à vis de lui" La fille ne veut rien entendre, on va en voir une autre et surprise : Sarah trouve bien mon nom sur laliste, on a cherché à mon prénom, mon nom et c'était bien à mon nom complet. Il y avait 2 salles :la salle I, prestige et la salle 8 car on était nombreux. Donc on arrive pour la ptite salle et le réal et ses producteurs passe nous faire un coucou, nous souhaite bon film et nous dit à tout à l'heure à l'apéro "bénabar et franck sont chez claire chazal et nous rejoindront après". Un autre monde je vous dis ! le film se passe très bien et on sort. Puis on passe aux choses sérieuses. On était les premiers à sortir, on a attaqué direct les champagnes et les petits fours. Déjà il y avait quelques people comme stephane bern ou louise monot de OSS 117. Une demi heure plus tard, arrive les invités de la salle prestige, tout plein d'acteurs et d'actrices connus. Je n'ai pas osé voir jocelyn quivrin, je l'adore cet acteur. Mais il y avait des seconds rôles genre la fille qui fait les essayages de robe dans la vérité si je mens 2 et la fille qui joue la méchante dans OSS, la charmante Reem Kherici. Surtout aussi les finalistes de la Nouvelle Star ! sarah était folle son préféré était là, Damien. Elle a foncé sur lui, ils étaient tous là les gamins de la Nouvelle Star avec leur nounou. A la fin il ne restait plus que l'équipe du film et nous ! On a pu disctuer avec eux tranquillement, sans la foule trop cool. Bénabar est top sympa, personne ne se la jouait star et ils étaient disponibles avec le sourire. Merci ma chère Sarah pour cette soirée quand même extraordinaire ! J'aime bien la chanson du film, "Qui le saura", elle fait plus pop-rock que nouvelle chanson française dont Monsieur Abar est l'illustre porte-drapeau.
922.- Je m'attendais à un thriller nerveux comme à chaque film avec l'excellent Tommy Lee Jones pour ce premier film américain de Bertrand Tavernier derrière qui j'ai fait la queue un dimanche dans ma boulangerie préférée de la rue Montorgueil, chez Stohrer. J'ai été déçu par ce film badasse qui n'a ni queue ni tête et qui aligne une succession de scènes sans vraiment de raison d'être. Ce serait le film le plus personnel de Bertrand Tavernier, mais je ne vois pas vraiment où est le côté film d'auteur. La musique est très bien, elle nous est encore restée dans les oreilles et avec Sandrine nous sommes restés jusqu'à la fin du générique pour profiter de la si belle voix de Buddy Guy qui joue le rôle de Hogman l'indicateur bluesman de Jones. Mary Steenburgen la charmante interprète de l'excellent C'était Demain avec son premier mari Malcom McDowell, apporte la touche de grâce à ce film d'atmosphère où le spectateur trouve le temps bien long. Je n'ai pas aimé car le film ne fait que de poser des questions sans apporter aucune réponses : - Pourquoi le héros voit-il des confédérés dans la brume ? Voyage-t'il dans le temps ? - Son adjoint se fait tuer et on maquille son crime en suicide car il aurait découvert une information capitale dans le cadre de l'enquête sur les enlèvements, mais laquelle ? - Quel est le lien entre les hommes qui ont lynchés l'homme dans le bayou et le tueur en série qui se repait des jeunes femmes qu'il torture avant de les achever ? - Quel est le rôle de la star de ciné, du maffieux joué par l'excellent John Goodman et de Ned Beatty dans la machination qui vise à protéger le mac que tout le monde recherche ? Bref tant de questions à la vision de ce film qui seront sans doute levées si je lis le livre de James Lee Burke Dans la Brume électrique avec les Morts Confédérés mais je dois m'atteler à la lecture de Anges & Démons de Dan Brown avant d'aller voir le film qui sort le 13 mai prochain. Si vous avez des pistes sur mes questions, n'hésitez pas je suis preneur.
"Dans la Brume électrique" de Bertrand Tavernier avec Tommy Lee Jones, Ned Beatty et Mary Steenburgen
920.- Le second volet de Hubert Bonisseur de la Bath m'a laissé sur la faim. Il reprend le rôle du personnage bête et pas fin de l'épisode de présentation pour pousser plus loin dans la mysogynie et le racisme sous couvert d'humour. Au début on sourit, la trop grande répétition lasse.
Heureusement il y a Louise Monod dans le rôle de l'agent du Mossad qui apporte sa touche d'intelligence et fait le contrepoids avec la bêtise de l'agent le plus bête des services secrets français. Alex Lutz jeune comique qui monte est très bien dans le rôle du fils nazi. Les images sont belles, la musique un hommage aux films des années 60 mais il manque un scénario et des bonnes scènes d'action comme dans le OSS 117 numéro I. N'allez pas dépenser vos euros sur ce navet, vous pouvez attendre la diffusion sur M6 ou bien la sortie en DVD.
915.- Michel Munz et Gérard Bitton n'ont pas des noms connus du grand public pourtant ce sont les meilleurs auteurs de scénarios et de dialogues du moment. Ils nous ont offert la meilleure comédie de ces dernières années, La Vérité si je mens! 1 et 2 qui est culte pour moi. Un vrai bon film avec un scénario qui tient la route et de merveilleux acteurs bien mis en scène, c'est jouissif. Quel plaisir à voir se dérouler cette histoire de délit d'inité dans le monde bancaire et d'amitié entre le duo Lanvin-Darroussin qui fonctionne trop bien. Les seconds rôles sont bien tenus comme Scali Delpeyrat vu dans Notre Univers Impitoyable et la toujours très charmante Barbara Schulz. Philippe Magnan a coeur de jouer son rôle de banquier tout-puissant et méprisant des petites gens qui sont obligés de travailler pour vivre alors qu'il fait travailler l'argent pour lui. La banque de détail que l'on trouve à chaque coin de rue est comparée à la banque d'investissement dans les milieux feutrés des beaux quartiers de la capitale où se jouent des milliards d'euros tous les jours. On y découvre aussi les employés qui cotoient les richissimes banquiers d'affaires et traders aux dents de sabre. J'ai vraiment bien aimé ce film car il parle d'argent mais aussi d'amour, d'amitié, de respect avec énormément d'humour.
"Erreur de la Banque en votre Faveur" de Gérard Bitton et Michel Munz avec Barbara Schulz, Scali Delpeyrat, Philippe Magnan, Jean-Pierre Darroussin et Gérard Lanvin
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