1028.- Mensch est un peu La Vérité si je mens ! version truands, quoique l'action ne se passe pas exactement dans le Sentier, mais juste à côté dans le quartier des Grands Boulevards entre la rue Richet et la rue de Chateaudun vers les Folies Bergères. On y retrouve justement le Folie's Café où je prends parfois un verre avec Jean-Luc, Paul, Coco et d'autres amis du Lieu. Je n'étais pas vraiment tenté par le film avant de lire la critique par mon compère Rygo qui m'a définitivement convaincu de passer 87 minutes dans une salle obscure pour enfin voir un bon film de gangsters à la française, nerveux, avec du suspense, de beaux personnages et surtout un scénario béton. Le réalisateur Steve Suissa est né deux semaines après moi, cela fait drôle de s'en rendre compte car il a fait un film que j'avais envie de voir. Un long métrage sur le quartier que j'affectionne et sous un angle que je ne connaissais pas du tout. Je suis familier de la rue de Trévise par les spectacles du LIEU et du Théâtre Trévise, Suissa nous présente les sociétés familiales qui y subsistent dans l'alimentaire ainsi que les truands qui s'y réunissent pour y sceller leurs deals. Sara Martins qui joue la petite amie du casseur de coffre est très sensuelle, le trop rare Sami Frey est impérial dans le rôle du grand-père protecteur. Son jeu est fabuleux car son regard en dit long sur la souffrance du personnage qu'il porte depuis des dizaines d'années et ses deux face-à-face avec Bénichou et Cazalé sont des moments très forts du film. Anthony Delon est sobre et excellent dans le rôle de l'ami qui tente de remettre sur le droit chemin le jeune chien fougueux. Nicolas Cazalé n'a pas besoin de beaucoup de paroles pour incarner parfaitement son personnage. Ses yeux et l'expression de son visage traduisent les mille questions qui torturent son esprit. Raccrocher ou faire le dernier coup qui lui permettra de se retirer des affaires du milieu. Je ne me suis pas ennuyé en regardant cet excellent thriller d'un réalisateur à suivre.
"Mensch" de Steve Suissa avec Sami Frey, Nicolas Cazale, Myriam Boyer et Anthony Delon
1026.- Le seul intérêt de ce film est vraiment de voir Jocelyn Quivrin dans son dernier rôle, du reste pas très sympathique et plutôt froid contrairement à son personnage de bon pote revenu d'entre les morts dans Incognito. Je l'avais croisé en chair et en os à l'occasion de l'avant-première sur les Champs Elysées grâce à ma pote Sarah. Le film d'Axelle Ropert sur une famille refermée sur elle-même du fait d'un père gentil mais oppressant est plutôt mou, il ne se passe pas grand-chose. La petite Léopoldine Serre joue bien et Valérie Benguigui égale à elle-même c'est-à-dire sensible et très femme. Le gamin qui joue le cadet quelque peu perturbé a un air de Gaspard Proust jeune. Je me suis quasiment endormi car cela parle beaucoup et François Damiens le comique belge prouve qu'il sait faire autre chose que du comique dans les superproductions de Luc Besson. Un film décevant à la fin car le scénario n'est pas très fourni.
"La Famille Wolberg" par Axelle Ropert avec Léopoldine Serre, Valérie Benguigui, François Damiens et Jocelyn Quivrin
1024.- La dernière production de Luc Besson est loin d'être un film bourrin et n'est pas non plus un film facile, larmoyant, c'est un chef d'oeuvre sans fausse note du réalisateur roumain de Va, Vis et Deviens, Radu Mihaileanu. Partant sur un postulat totalement loufoque et improbable, il décrit les galères d'un orchestre russe qui doit monter un concert à Paris dans le prestigieux Théâtre du Chatelet. L'âme slave flotte au-dessus de ce film toute en sensibilité et sans aucune sensiblerie, c'est fin et authentique. J'adore la musique classique mais je ne connaissais pas le concerto pour violon de Tchaikovski que j'ai découvert à cette occasion. Mélanie Laurent mime très bien la soliste et les deux acteurs russes sont superbes Aleksei Guskov qui joue Andrei Filipov et Dimitry Nazarov. J'adoré, je me suis régalé pendant ces deux heures qui m'ont semblé magiques car Le Concert est vraiment un très beau film.
"Le Concert" de Radu Mihaileanu avec Melanie Laurent, Miou Miou, Aleksei Guskov et Dimitry Nazarov
1022.- La dernière bizarrerie de Terry Gilliam après Les Frères Grimm (2005) et Tideland (2006) nous plonge dans son univers toujours aussi farfelu. J'ai pensé aux Aventures du Baron de Munchausen qui m'avait fasciné 1989. L'intérêt principal du film est la présence de Heath Ledger l'inoubliable Joker de The Dark Knight de Christopher Nolan alors qu'il lui restait encore trois semaines de tournage sur fond bleu au moment de sa mort en janvier 2008. Pour le remplacer au pied levé et tourner les scènes qui manquaient, Terry Gilliam a fait appel au trio d'acteurs confirmés Johnny Depp, Jude Law et Colin Farrel en justifiant habilement dans le scénario le changement de visage de son personnage principal . Le jeune mannequin anglais Lily Cole au visage de poupée est superbe et Christopher Plummer un formidable Docteur Parnassus qui a plus de mille ans et permet à quiconque de plonger dans un monde imaginaire lorsqu'il se met en transe. L'idée est bonne mais cela part un peu dans tous les sens, le scénario n'est pas assez construit, j'ai lâché prise à plusieurs reprises voire je me suis assoupi. Les scènes dans l'Imaginarium m'ont réveillé car elles sont vives et très bien faites. La roulotte du théâtre ambulante est astucieusement conçue, les acteurs sont tous bons mais il manque singulièrement une histoire dans ce film posthume. Au final, un film bof bof lorsqu'on retire son principal atout.
"L'Imaginarium du Docteur Parnassus" de Terry Gilliam avec Heath Ledger, Christopher Plummer, Johnny Depp, Jude Law, Colin Farrel et Lily Cole
1020.- Depuis Le Seigneur des Anneaux, j'ai toujours plaisir à retrouver le fabuleux Aragorn dans l'interprétation de tous ses rôles dramatiques. Il nous a épaté en cowboy roi de la gâchette dans Appaloosa, en officier espagnol dans Capitaine Alatriste, en homme de main russe et ambitieux dans Les Promesses de l'Ombre et en patron de bar violent dans A History of Violence. A chaque fois l'acteur apporte de l'épaisseur à ses rôles et joue aussi bien de son regard, de ses gestes que des paroles qu'il prononce. Cela est pertinent car il n'y a pas de long discours philosophique dans ce f ilm qui peut rappeler Seul au Monde avec Tom Hanks sauf que l'île déserte en question est la planète entière dévastée après une catastrophe nucléaire. Le film apparait dans la catégorie "science-fiction" mais on est très loin de Star Trek. On est plus dans l'idée de Mad Max, I am Legend ou Waterworld qui évoquent également la vie quotidienne de survivants après que la population ait été entièrement dévastée. L'ambiance post-apocalyptique est rendue avec l'absence de soleil sur tous les plans bien qu'il fasse jour. L'histoire de cette famille est très triste mais émouvante quand on voit ce qu'un père de famille est capable de faire, de se surpasser pour protéger son fils et d'assurer de sa sécurité. L'acteur qui joue son fils est parfait, à la fois innocent comme un enfant mais aguerri aux pires difficultés de cette vie au vu des obstacles auxquels ils doivent faire face ensemble. Le film est tiré d'un livre qui a eu le prix Pulitzer 2007 de Cormac McCarthy. Dans sa vision de notre futur, nous les survivants sommes les SDF d'un monde en désolation totale dans lequel l'argent n'a plus aucune valeur. C'est hyper-réaliste car il n'y pas de zombie qui cherche à nous manger mais d'autes hommes qui atteste que l'homme est bien un loup pour l'homme. Avec la crise actuelle où de plus en plus de monde a des difficultés, où j'ai connu le chômage plusieurs fois, lorsque je vois un SDF dans la rue je ne peux m'empêcher de penser que cela pourrait m'arriver un jour. L'auteur nous dit donc que cela nous arrivera, ce n'est pas très réjouissant mais il faudra faire une réserve de boites de conserves et de nourriture lyophilisée. En bref, j'ai bien aimé cet excellent film qui a différents niveaux de lecture : quoi de plus important à transmettre à son fils de sa propre existence, comment marcher des centaines de kilomètres quand on n'a pas une bonne paire d'Asics, où trouver un bon caddie de supermarché pour transporter sa nourriture et ses habits, pourquoi éviter de manger ses enfants quand on a vraiment faim, ... un film qui nous projette à mille lieues de notre société de consommation.
"La Route" de John Hillcoat avec Viggo Mortensen, Charlize Theron, Guy Pearce et Kodi Smit-McPhee
1019.- Le dernier film de Eric Valette qui avait réalisé Maléfique (2003) avec Clovis Cornillac est un thriller nerveux avec des rebondissements, des scènes d'action et des personnages au caractère bien trempé. Les femmes ne font pas que de la figuration et tirent même parfois les ficelles à l'image de Mado jouée par Christine Boisson à la fois une mère maquerelle, une business woman et une marraine maffieuse. Ce polar m'a fait clairement pensé à Secret Défense que j'avais bien aimé avec déjà la talentueuse Rachida Brakni qui interprétait un agent de l'Etat aguerrie au terrain. L'histoire assez simpliste se laisse suivre sans baisser de rythme à la mesure des meurtres en série de Thierry Frémont, redoutable barbouze reconverti en homme de main d'André Dussollier, impressionnant dans son rôle de grand commis de l'Etat affecté aux basses besognes. Les seconds rôles ont de vraies gueules telles celle de Jean-Marie Winling qui interprète l'inquiétant Macquart ou Gérald Laroche qui est le sympathique officier Bonfils. La musique signée Noko suit bien l'intrigue et cela reste bel et bien un polar à la française, surtout pas un ersatz d'imitation de thriller américain ce qui n'est déjà pas si mal.
"Une Affaire d'Etat" de Eric Vallette avec Thierry Frémont, André Dussollier, Christine Boisson et Rachida Brakni
1017.- Pour bien commencer le week-end, je me suis fait une toile au Max Linder un très beau cinéma sur les Grands Boulevards qui accepte les deux cartes UGC et Le Pass. Je ne suis pas trop fan des films d'horreur-épouvante mais j'en ai vu pas mal ces temps-ci. Celui-là est intelligent, ce n'est pas l'accumulation de scènes-chocs pour effrayer ou pour rendre son diner, il est plutôt drôle et bien fait. Les effets spéciaux sont soignés, surtout le décor de Zombieland avec Los Angeles version zombifiée. Pour une fois le scénario n'est pas trop mal avec l'histoire de la rencontre des survivants de la Terre dévastée par le virus qui a transformé tout le monde en mort-vivant cannibale. Comme d'habitude, Woody Harrelson est excellent en serial zombie-killer un peu à l'ouest, Jesse Eisenberg est bien comme narrateur et Emma Stone joue l'égérie de service avec beaucoup de chien. La vedette américaine fait une apparition épatante et on aurait aimé plus de clins d'oeil fugaces de la part d'autres stars de Hollywood. En bref, j'ai passé un bon moment alors vous aussi si cela vous dit.
"Bienvenue à Zombieland" de Ruben Fleischer avec Woody Harrelson, Jesse Eisenberg et Emma Stone
1015.- Après 2012 et avant Avatar, c'est le blockbuster le plus attendu de cette fin d'année. Ce n'est plus Catherine Hardwicke qui est aux commandes mais Chris Weitz le réalisateur de American Pie, Pour un Garçon avec Hugh Grant et A la Croisée des Mondes : La Boussole d'Or avec Nicole Kidman et Daniel Craig. Un garçon dirige le film, cela se ressent mieux car la tension sexuelle étonnante du premier tome est bien moins perceptible ici. Il est toujours question d'attirance entre Bella et un monstre puisque la créature du mal en question se présente sous les formes bodybuildées de Jacob qui prend ses responsabilités et fait du rentre-dedans sans sourciller comme il chasserait des vampires. J'ai préféré cet épisode car il se passe plein de choses, les deux histoires se chevauchent, celle des vampires et la famille Volturi et celle des hommes-loups de Sam et Jacob. Ce dernier révèle une musculature à la 300, étonnante pour un gamin de seize ans. A côté, Edward le vampire fait tout maigrichon surtout la scène où il se désape pour "provoquer un scandale", quel scandale en effet de voir ce corps tout mou après avoir admiré sportivement le corps athéltique du mécano. Quand il a retiré son tee-shirt pour panser la plaie de Bella, une clameur féminine s'est élevée dans la salle de l'UGC Gobelins, les phéromones étaient en excitation je vous le dis. J'ai trouvé très bien le film, il m'a autant plu que Twilight I Fascination m'avait laissé sur ma faim et presque endormi. Je me demandais en sortant de la séance "tout ça pour ça ?". Là j'étais content. De plus la musique est signée Alexandre Desplat, l'excellent compositeur français de la bande originale de Benjamin Button et du film qui a remporté la Palme d'Or à Cannes, Le Prophète. L'histoire est tellement intéressante que ce n'est pas du tout grave si on voit trop les images de synthèse lorsque les indiens laissent la place aux loups géants et que les scènes d'action pures sont rares et pas très impressionnantes au final. En bref, courez le voir, sauf ceux comme ma pote qui ont trouvé que cela faisait un peu trop Les Feux de l'Amour version Vampiresque !
1012.- Quelle folie ce film, on peut dire qu'il a provoqué une attente terrible. J'avais donné rendez-vous à mon amie Frogita devant le Grand Rex à 14h30 pour la séance de 15h10, en arrivant à l'avance je me suis donc mis dans la file d'attente pour être prêt à prendre mon ticket et le sien à la sortie du métro. A son arrivée, nous nous sommes rendus compte que nous faisions la queue pour les séances de 18h15 et de 21h20. Catastrophe ! Nous fonçons aux Halles pour la séance de 16h, c'était complet ! Après un verre sympathique sur Montorgueil, je suis donc rentré me connecter sur ugc.fr pour réserver ma place pour la séance d'après, impossible de me connecter le serveur était pris d'assaut et avait explosé. Heureusement, tout était rétabli à 18h et j'ai pu obtenir une sacro-sainte place pour assister à la fin du monde à 21h50. On peut dire que l'attente était fondée, quel film ! du grand cinéma pop-corn c'est LE film-catastrophe à voir. La Tour Infernale avait fait vibrer de peur nos parents, 2012 est nos montagnes-russes version 2009 ! Si l'ambiance du film commence avec des airs de complot gouvernemental avec des accents de comédie familiale, on est très vite plongé au coeur de l'action. Les séquences d'introduction à ce qui se prépare sont vertigineuses, on retient notre souffle et lorsque le réalisateur nous laisse du répit, il nous reste des forces pour applaudir des deux mains.
J'avais déjà trouvé Le Jour d'Après du même Emmerich assez impressionnant dans son évocation de la nature sauvage qui se venge contre les hommes, 2012 arrive à le faire oublier et commence déjà un cran plus haut. Les répliques comiques faites pour détendre la salle sont efficaces et les vannes du genre "C'est gros, normal c'est russe" remportent un succès fou, incroyable ! Les 2h40 sont passées très vite car les péripéties ne manquent pas et le scénario astucieux arrive encore à nous surprendre dans les dernières minutes du film. John Cusack en héros anonyme est formidable, Woody Harrelson en animateur de radio farfelu également et c'est une énorme surprise de voir l'interprète de Barack Obama rebaptisé Le Président Wilson pour l'occasion. Oliver Platt est parfait en conspirateur de l'ombre armé des meilleures intentions pour l'Humanité et Zlatko Buric qui joue le milliardaire russe juste fabuleux et indispensable. J'ai passé un très bon moment et toutes la salle qui affichait complet trois heures avant le début de la séance également, surtout allez le voir au cinéma car en DVD cela ne donnera plus rien. Le film est basé sur des faits réels, La NASA a déjà démenti que cela pourrait se produire alors que le calendrier des Mayas s'arrête en 2012. La fin fait froid dans le dos car on évoque quand même la Fin du Monde, l'Apocalypse et en sortant de la salle, on frémit à ce qui peut nous arriver ... en 2012 !
A propos d'une sortie de 2012 en 3D, le réalisateur a répondu ceci : "Je pense qu'il s'agit d'une mode. Le relief revient sur le tapis tous les dix-quinze ans, puis les gens s'en lassent rapidement. Je pense que ce procédé est valable pour les films d'animation, mais qu'il ne tient pas la route pour les prises de vues réelles. Je m'intéresse aux techniques d'effets spéciaux, mais je n'ai pas vu l'utilité de tourner 2012 en 3D. J'aurais eu peur que le relief détourne l'attention du spectateur en donnant aux images un aspect trop artificiel. J'attends cependant Avatar, de James Cameron. Si quelqu'un peut me faire changer d'avis à ce sujet, c'est bien lui, car c'est un vrai génie de la technique, qui a mis au point ses propres caméras pour son film" dont acte ! "2012" de Roland Emmerich avec John Cusack, Thandie Newton, Woody Harrelson et Amanda Peet
1011.- Basé sur un épisode de la Cinquième Dimension intitulé Le Bouton, The Box commence comme un policier et sombre dans le fantastique aux frontières du loufoque. Le film n'a rien à voir avec la bande-annonce mais n'est pas aussi nulissime que The Fountain. C'est grand guignolesque à souhait mais il a le mérite de creuser l'épisode de The Twilight Zone en version originale où l'on ne savait rien de l'énigmatique messager. Il pose des questions et répond à pas mal. Cameron Diaz révèle une bonne actrice passée la période des films où elle jouait la ravissante bimbo écervelée de The Mask, Charlies' Angels et autre Mary à Tout Prix. James Marsden a plus de répliques que dans X-Men I, II et III réunis mais ne m'a pas trop convaincu car il manque d'expressivité et présente à chaque scène toujours le même regard étonné et un peu ahuri. Frank Langella est excellent et la reconstitution des années 70 est très réussie. Au final un film qui laisse les spectateurs interloqués et silencieux à la sortie de la séance, pas franchement réjouissant car il ne se termine pas avec un happy end et fait trop épisode d'une série fantastique. A voir à la télé lorsqu'il passera en deuxième ou troisième partie si l'on ne trouve pas le sommeil.
"The Box" de Richard Kelly avec Cameron Diaz, James Marsden et Frank Langella
"La rue et l'illégalité sont de bons raccourcis pour entrer dans les galeries quand on n'est pas un génie" Nasty
"Parler c'est mentir aux autres, penser c'est se mentir à soi-même" Pierre Faucher
"Avant, ma mère ne comprenait pas ce que je faisais maintenant je ne comprends plus ce que je fais" Nicolas Guillaume
"la cuisine c'est comme on aime et les femmes aussi...on mange avec les yeux avant de manger avec la bouche" Bonne Etoile
"Les cons c'est comme les bactéries, faut des conditions idéales pour que ça se développe." Mzelle Carla
"Quand t'as une femme ça te fait chier, quand t'en as pas ça te fait encore plus chier" Simon Lhermite
"pfff les nanas, c'est pas facile ...on passe son temps à se poser des questions, on a des appréhensions ...il faut passer outre, essayer de convaincre ... c'est dur ça !" Eric Sou
"On ne tombe pas amoureux, on le devient" Sandra Parker
Esch t'et yede morien a dolle ouf. Tous les jours un imbécile se lève. Joseph Weiss
"Il n'y a pas d'Amour, il n'y a que des preuves d'Amour." Jean Cocteau
"Je suis très doué pour les langues, mais cela se limite au français" Nicolas Guillaume
"Tu veux ta photo avec moi ? c'est 7$ avec mon polaroid et 2$ avec ta caméra !" Spiderman, sur Times Square
"Donne pas ton bagel aux pigeons, les pigeons c'est des connards !" Alix
"Parler c'est mentir. Réfléchir c'est mentir à l'autre" Pierre Faucher
"Les hommes sont prêts à tout pour faire l'amour, y compris aimer. Les femmes sont prêtes à tout pour être aimées, y compris faire l'amour" Boris, Philosophe
"Si l'on ne se voit pas souvent, c'est que ma tête est malade, pas mon coeur" Jean-Patrice Balhoo
"Tu manges pas tes trottoirs ?" Sylvie
"La recette du succes avec les filles, c'est du style et de l'assurance." Arnaud
"Ma copine c'est comme mon chien : il ne faut pas en dire du mal" lorenzo
"La vie est plus simple quand on a de l'argent" Fadila
"Arrivé à un age, ce que nous on trouve culte, d'autres le trouvent con" Eve
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