1251.- Harrison Ford avec un chapeau, on n'avait pas vu ça depuis Indiana jones et le Royaume du Crâne de Cristal (2008). Avec Daniel Craig, ils forment un tandem qui a de l'allure et que dire de Olivia Wilde, quels yeux clairs mazette, encore un trio d'acteurs qui crève l'écran. A l'origine du projet était une bande-dessinée de 2006 mais je me souviens que l'idée de confronter des cowboys avec des aliens n'est pas nouvelle puisqu'il était question de faire attérir Predator au beau milieu du Far West de la fin du XIXème siècle avant que l'on décide de le propulser au XXème siècle face à Schwarzie en commando de choc. Avec un scénario pas si linéaire que cela et qui recèle bien des rebondissements, le film du réalisateur efficace des Iron-Man nous refait vivre un vrai western épique mâtiné d'aliens. C'est plutôt réaliste et l'originalité du côté science-fiction tient au fait que les engins volants ont un look XIXème siècle comme sortis d'un roman de H.G. Wells. Daniel Craig a un côté taciturne de Clint Eastwood et son chapeau ne fait pas trop far-west, ni sa tenue un peu trop cintrée. Les aliens sont terrifiants et rencontrent une résistance humain bien héroïque emmenée par un Harrison Ford en grande forme, vivement le prochain Indy ! J'ai passé un bon moment et je vous le recommande. 7/10 "Cowboys & Envahisseurs" de Jon Favreau avec Daniel Craig, Harrison Ford et Olivia Wilde
1250.- Ce film n'est pas un biopic sur Paul Hewson et du groupe mondialement connu qu'il forme avec Dave Evans, Larry Mullen Jr et Adam Clayton depuis 1973 mais sur l'autre groupe de Cork dans le lycée où ils ont tous commencé. La reconstitution des années 70-80 est sympathique et comme dans tout film anglais, l'ambiance un peu folle et décalée donne un plus aux aventuriers de la loose que sont les frères McCormick. Ben Barnes qui était le fadasse Prince Caspian dans Narnia, interprète avec beaucoup de brio le grand frère Neil qui prend les pires décisions de sa vie non seulement pour lui-même mais aussi pour son frère Yvan qui aurait pu faire partie du groupe U2. C'est frait, avec plein de rebondissements pourtant tout est vrai et non dénué d'une certaine ironie. Martin McCann qui joue Bono est très ressemblant ce qui ajoute un cachet au film et m'a donné envie de me refaire une cure de rock irlandais ! 7/10
"Killing Bono" de Nick Hamm avec Ben Barnes, Robert Sheehan, Pete Postlethwaite et Martin McCann
1249.- Jean Dujardin a reçu le prix masculin d'interprétation à Cannes et l'on comprend pourquoi. Sans aucune parole prononcée durant tout le film, il arrive à faire passer une palette d'émotion qui va de l'arrogance, la joie, la colère, la facétie au le désespoir le plus profond. Avec Bérénice Béjo, il reforme le tandem vedette d'OSS 117 et l'originalité de leur couple à l'écran est leur unité autant que la dualité qu'ils représentent à travers leurs antagonismes apparents : elle est jeune, il est mûr, il a un côté cinéma à l'ancienne avec son air de Sean Connery ou de Guy Williams, elle incarne la modernité avec son côté teint mat et nord africain - elle est toutefois d'origine Argentine -. Le duo fonctionne bien à l'écran, notamment les scènes où leurs regards se croisent, on y ressent une troublante attirance. La musique signée Ludovic Bource restitue parfaitement l'ambiance des années 1920 et des films muets tels que l'on se les imagine. Pour Michel Hazanavicius, il est un peu le Eric Serra de Luc Besson ou le danny Elfman de Tim Burton puisqu'il avait déjà composé les partitions des OSS 117. Voir ce film de façon inopinée - j'ai été invité à une séance d'avant-avant-première par UGC Label des Spectateurs - a été une bonne surprise pour commencer le dernier week-end d'août. 7/10 Emu j'ai vu un John Goodman vieillissant et amaigri ainsi qu'un James Cromwell toujours en forme après tous ses rôles de méchants au cinéma dans différents films d'art et d'essai comme L'Effaceur (1996) avec Schwarzie.
"The Artist" de Michel Hazanavicius avec Jean Dujardin, Bérénice Béjo, John Goodman, James Cromwell et Penelope Ann Miller
1248.- Waldy mon coach m'avait depuis longtemps conseillé de le faire pour mesurer mes progrès et monter un plan d'entrainement adapté à mes possibilités. En décembre 2010, Waldy évaluait ma VMA à 14 km/h compte tenu de ma vitesse de base à 11 km/h et de ma performance sur les Chasseurs de Temps, 7 km en 28 minutes. La célèbre Sand Running avait fait son test VMA et obtenu une moyenne vertigineuse de 16,2 km/h le vendredi. Avec mon acolyte runner Géraldator alias Bonne Etoile, nous décidions donc de le faire le dimanche sous forme du demi-Cooper. Le test de Cooper consiste à courir à fond les ballons pendant douze minutes, la vitesse correspondant étant la VMA, la vitesse maximale aérobie. Elle correspond à la vitesse où notre consommation d'oxygène est au maximum. Pour courir, nous avons besoin de produire de l'énergie et obtenir la contraction musculaire. Notre organisme consomme du carburant constitué des différents glucides, lipides et protides de notre alimentation et le brûle avec de l'oxygène. Plus l'on consomme de l'oxygène et plus on va vite, c'est pourquoi il est essentiel de connaître la vitesse associée à ce pic de consommation pour adapter l'entraînement à nos capacités. Cette vitesse est telle que nous pouvons la soutenir seulement entre cinq et huit minutes, un test de Cooper sur douze minutes est donc inadapté à son évaluation. C'est pourquoi nous avons opté pour un demi-Cooper sur six minutes. Après un échauffement autour du Lac Daumesnil, nous nous sommes rendus au Stade Paul Valéry à côté du Bois de Vincennes. Nous avions décidé de le faire l'un après l'autre, je partais en premier avec un objectif de quatre tours. Musique calée, je me suis lancé à plus de 20 km/h et après un seul tour en repassant devant Gérald à 17,4 km/h je me suis arrêté car je sentais que je n'allais pas pouvoir tenir ce rythme infernal. Nous sommes partis ensemble quelques minutes plus tard et je démarrais plus prudemment comme pour les fractionnés. Un trio faisait des tours du stade d'entrainement de 400 m et je le dépassais après trois tours et demi. Quand les six minutes se sont écoulés, j'avais parcouru la distance de 1.550 m et le calcul est facile cela fait une vitesse moyenne de 1.550 x ( 60 minutes / 6 minutes) = 15,50 km/h Plutôt contents de notre résultat, nous avons planifié de le refaire d'ici un mois juste avant les courses d'automne. Ce résultat induit plusieurs conclusions intéressantes que j'ai tirées du site Runners.fr : - Mon allure marathon cible est de 5'09'' soit un temps de 3h38 au lieu de 3h53 signé cette année à Paris - Mes différentes allures sont pour l'endurance active à 12 km/h et pour un seuil à 14 km/h. Avec ces données en tête, ce sera plus simple de programmer mes allures cibles en entrainement.
1247.- Joe Johnston est un réalisateur discret mais efficace dans la finition de ses films. Il a signé un très beau long métrage sur les relations entre un père et son fils sorti en 1996 que j'avais particulièrement apprécié à l'époque avec Robin Williams, il s'agissait de Jumanji. Ensuite sont sortis Jurassik Park III (2001) et l'année dernière Wolfman (2010) une intéressante et baroque variation sur le thème du loup-garou avec Benicio del Toro en Lord Anglais, ça c'est de l'effet spécial. Pour la dernière superproduction Marvel un peu moins bien que d'habitude, c'est Captain America qu'il s'agissait d'adapter en grand écran. Enfant, c'était mon deuxième personnage préféré derrière Spider-Man car à l'origine c'était un gars maigrichon qui devenait très fort grâce au projet super-soldat développé par les américains en réponse à l'Übermensch des nazis. La dimension ultra-patriotique du héros de guerre inventé de toute pièce pour galvaniser les forces US a été émoussée pour laisser la place à un homme plus héros que super. L'histoire est linéaire et se laisse suivre sans déplaisir mais s'il n'y a pas vraiment d'intrigue ni autant de second degré ou d'autodérision comme dans Green Lantern, Chris Evans qui allumait déjà les foules avec son rôle de Torche dans les Quatre Fantastiques (2005 et 2006), y est plus sympathique dans l'histoire dont il est le super-héros. Tommy Lee Jones est la caution militaire du film, je préfère le méchant Crâne Rouge joué par l'Agent Smith de Matrix quand il n'a pas sa tête ridicule et la jolie fille du film n'a pas assez de scènes d'action, quand il faut se battre on envoie les hommes travailler. La musique est signée d'Alan Silvestri qui a piloté la célèbre partition de Retour vers le Futur (1985) et celle non moins fameuse de Forrest Gump (1994). 6/10 "Captain America - The First Avenger" de Joe Johnston avec Chris Evans, Tommy Lee Jones et Hayley Atwell
1246.- La Planète des Singes est un roman de science-fiction à caractère dystopique (de dystopie, le contraire d'une utopie) du français Pierre Boulle sorti en 1963. La première adaptation au cinéma avec Charlton Heston dans le rôle de Taylor date de 1973 et l'avant-dernière de Tim Burton a déjà 10 ans. Mise à part le film de Tim Burton, la saga originelle comporte cinq volets :
1968 : La Planète des singes de Franklin J. Schaffner 1970 : Le Secret de la planète des singes de Ted Post 1971 : Les Évadés de la planète des singes de Don Taylor 1972 : La Conquête de la planète des singes de J. Lee Thompson 1973 : La Bataille de la planète des singes de J. Lee Thompson
Je me rappelle clairement du premier où l'on constate à la fin que La Planète des Singes est en fait la Terre quand Charlton Heston trouve horrifié sur son cheval les restes de la Statue de la Liberté. Dans le deuxième épisode, on fait la connaissance des hommes adeptes d'une secte qui vénère la bombe atomique comme une divinité. Les trois épisodes suivants expliquent comment La Terre est devenue la Planète des Singes : Zira et Cornelius s'enfuient à bord de la navette spatiale de Taylor et remontent le temps jusqu'en 1973 où ils donnent naissance à un bébé chimpanzé parlant du nom de Milo. Par la suite Milo deviendra César et mènera la révolte des grands singes. Avec cette nouvelle aventure, Rupert Wyatt explique comment les singes sont devenus intelligents. L'histoire est bien imaginée et contrairement aux précédents épisodes, aucun acteur n'a été grimé en chimpanzé, orang-outang ou gorille, tous ont été modélisés en images de synthèse. Andy Serkis par la magie de la technologie du motion capture utilisé sur Avatar (2009) ou Le Seigneur des Anneaux (2003), interprète le rôle de César le révolutionnaire. James Franco super acteur de 127 Heures (2010) et bouffon vert dans Spider-Man (2004) de Sam Raimi joue un scientifique trop doué et Freida Pinto évadée de Slumdog Millionnaire (2008), sa petite amie Caroline vétérinaire. Sans temps mort, le film est une réflexion sur la différence et il explique comment on peut prendre le pouvoir sans être forcément le plus fort mais en étant le plus malin et le plus politique. Parmi les seconds rôles on retrouvera Tom Felton dans un autre rôle que Drago Malefoy et Brian Cox habitué aux rôles de Général, de directeur comploteur de la CIA dans un registre plus sobre. La relation entre César et Will est émouvante, autant que celle de Will avec son propre père John Lightgow qui nous livre une prestation sobre mais efficace dans l'émotion. J'ai accroché de bout en bout même s'il y a peu de scènes d'action au final car c'est intelligent et très bien filmé, vivement la suite et les prochains films de Rupert Wyatt. 8/10 "La Planète des Singes : Les Origines" de Rupert Wyatt avec James Franco et Freida Pinto
1245.- Je m'attendais réellement à un beau nanar entre navet et endive de la dernière adaptation de super-héros de la maison DC Comics, concurrente à la Marvel. D'ailleurs Ryan Reynolds qui joue le rôle-titre avait déjà interprété Deadpool - l'Arme XI dans X-Men Origins : Wolverine (2009). La bouze intergalactique attendue n'était pas au rendez-vous et j'ai passé un plutôt bon moment devant cette série B certes, mais de qualité. Les effets spéciaux sont très soignés et les acteurs sont des interprètes de premier plan avec Tom Robbins, Angela Bassett dans des rôles secondaires. Peter Sarsgaard campe un méchant inquiétant et pathétique, Blake Lively est sublime en brune et bien mignonne dans son uniforme de l'US Air Force. L'amourette est esquissée, Ryan Reynolds a un faux air de Ben Affleck mais curieusement la magie prend bien. Comme toujours, on oublie vite que le film a été post-produit en 3D. On s'amuse à voir un espèce de Guy Williams, inoubliable interprète de zorro - rouge à moustache faire le mentor de la lanterne verte terrienne qui ne manque ni d'autodérision ni de second degré. C'est le côté plaisant, loin de se prendre au sérieux tout le temps, Ryan Reynolds multiplie les clins d'oeil et se rend son personnage bien sympathique et attachant. J'ai passé un bon moment surtout parce que je m'attendais à bien pire ! 7/10 pour les effets spéciaux et la maîtrise de Martin Campbell, réalisateur de La Légende de Zorro (2005) tiens donc et de Casino Royale (2006) entre autres.
"Green Lantern" de Martin Campbell avec Ryan Reynolds, Tim Robbins, Peter Sarsgaard, Angela Bassett
1244.- Jérémy Charbonnel c'est l'acteur que l'on voit dans la pub CIC, il joue le jeune homme qui vient de décrocher son premier emploi, vous vous en souvenez ? Après deux ans de cours au Studio Pygmalion, il rejoint l'Ecole du one-man-show au Théâtre Le Bout avec Alex Nguyen, Damien Lecamp, Christophe Ferrari et un certain Gaspard Proust. J'avais eu un aperçu de son spectacle lors des plateaux d'humoristes de l'été produits par Alex Nguyen au Théâtre Le Lieu et je décidais d'aller en voir l'intégralité sachant qu'il passait les mercredis et jeudis. Je m'y suis rendu avec mon compère Jean-Christophe qui avait également apprécié sa présence et son énergie sur les quelques passages. Nous avons été conquis. Je commence à avoir vu pas mal de one-man-show et il a le petit truc en plus qui peut le faire monter au niveau d'un Baptiste ou peut-être même d'un Proust. Un grain de folie, un physique de gendre idéal et surtout une gestuelle et une diction parfaitement maitrisés. Il bouge bien sur scène et ne fait pas de gestes superflus qui troubleraient son propos. Qu'il parle de langue anglaise, de l'achat de son premier Mac ou qu'il récite son discours de DSK en Président de la République un brin obsédé, il captive notre attention du début à la fin jusqu'au coup de rideau final. En seulement dix dates, il sait déjà remettre des spectateurs un peu encombrants à leur place ou même parler des choses de la vie devant des enfants pliés de rire. Il a l'originalité de prendre ses spectateurs en photo à la fin du spectacle pour garder un souvenir de toutes ses représentations et c'est plutôt bien trouvé. Le spectacle est complet, il souffre de quelques longueurs et de vannes un peu moins drôles parfois mais l'ensemble se laisse suivre avec un plaisir largement suffisant pour dire que nous avons passé une excellente soirée en compagnie de Jérémy. A voir de suite si vous êtes sur Paris cet été et à la rentrée ! "Jérémy Charbonnel One-Man-Show" de et avec Jérémy Charbonnel au Théâtre Le Bout, 6 rue Frochot 75009 métro Pigalle
1243.- J'adore le créateur des séries Lost Les Disparus, Fringe, réalisateur de Star Trek et producteur de Cloverfield pour ses idées de scénario toutes plus folles les unes que les autres. Il arrive à nous surprendre en permanence et il est impossible de deviner ce qui va se passer dans la scène suivante. Il m'a tenu en haleine durant les six saisons de Lost et j'ai vraiment bien aimé la relecture de la saga Star Trek et le prequel qu'il en a tiré. Pour moi, malgré toutes les qualités esthétiques et musicales de son dernier blockbuster, la magie ne prend pas. On comprend qu'il a voulu rendre hommage à tous les réalisateurs en herbe qui ont commencé à produire des films sortis de leur imagination fertile avec deux bouts de ficelle et la caméra que leurs parents destinaient à des souvenirs de famille. C'est plutôt très bien fait avec plusieurs niveaux de lecture du film, avec au passage un hommage appuyé à la filmographie de Steven Spielberg : ET, Les Goonies, Rencontres du Troisième Type, il ne manquait plus que Les Dents de la Mer. Comme me le faisait remarquer mon compère Jean-Christophe Capelli avec qui je suis allé voir le film, les critiques sont dithyrambiques, la preuve que les critiques professionnels de cinéma ne voient pas toujours les mêmes films que nous, spectateurs. D'un film j'attends surtout une bonne histoire qui me fasse découvrir et imaginer un autre univers et non une resucée habilement mise en scène de tout ce que j'ai vu auparavant. Après une introduction un peu longuette, la scène du déraillement de train vue dans la bande-annonce est époustouflante et le reste est pas mal non plus mais on n'a pas vraiment peur pour les gamins car on est à Hollywood et ce qui peut arriver de pire à un gamin est de vomir dans une voiture. Au passage, on remarquera les références à Cloverfield et à Lost dans une scène où l'on voit la bijouterie James Locke. La partition musicale sans fausse note est signée du compositeur attitré de Bad Robot, Michael Giacchino. Allez J.J. vivement ton prochain long métrage. Pour la peine, je te mets un 7/10 pour ce film à cinquante millions de dollards de budget. "Super 8" de J.J. Abrams avec Kyle Chandler, Joel Courtney, Noah Emmerch et Elle Fanning
1242.- Emilie mon amie runneuse de Montsouris a lancé une sortie théâtre ce vendredi à la Gaité Montparnasse. Nous avons pu découvrir la nouvelle pièce de l'auteur des succès populaires Le Grand Bain, Début de Fin de Soirée et surtout Le Carton qui se joue toujours et qui a même été adapté au cinéma. La mise en scène est signée Arthur Jugnot et dans les rôles principaux on découvre Sébastien Castro aperçu dans Tout ce qui brille (2010) de Géraldine Nakache et la Maud le Guénédal que j'avais vue dans un épisode de RIS Police Scientifique et qui est également chanteuse. Le pitch de la pièce est le suivant : Paul persuade sa copine Sophie de laisser son meilleur ami Martin s'installer chez eux pour le réconforter alors qu'en réalité il souhaite l'exaspérer et la faire quitter le domicile conjugal. Entre quiproquos, situations loufoques et rôles qui s'inversent, la pièce ne manque pas de rythme et les comédiens sont tous parfaits dans leur composition. J'ai passé un excellent moment et je ne saurai que trop recommander cette belle pièce enlevée, merci Emilie pour cette bonne soirée théâtre. "Une Semaine pas plus" de et avec Clément Michel, Sébastien Castro et Maud le Guénédal
"La rue et l'illégalité sont de bons raccourcis pour entrer dans les galeries quand on n'est pas un génie" Nasty
"Parler c'est mentir aux autres, penser c'est se mentir à soi-même" Pierre Faucher
"Avant, ma mère ne comprenait pas ce que je faisais maintenant je ne comprends plus ce que je fais" Nicolas Guillaume
"la cuisine c'est comme on aime et les femmes aussi...on mange avec les yeux avant de manger avec la bouche" Bonne Etoile
"Les cons c'est comme les bactéries, faut des conditions idéales pour que ça se développe." Mzelle Carla
"Quand t'as une femme ça te fait chier, quand t'en as pas ça te fait encore plus chier" Simon Lhermite
"pfff les nanas, c'est pas facile ...on passe son temps à se poser des questions, on a des appréhensions ...il faut passer outre, essayer de convaincre ... c'est dur ça !" Eric Sou
"On ne tombe pas amoureux, on le devient" Sandra Parker
Esch t'et yede morien a dolle ouf. Tous les jours un imbécile se lève. Joseph Weiss
"Il n'y a pas d'Amour, il n'y a que des preuves d'Amour." Jean Cocteau
"Je suis très doué pour les langues, mais cela se limite au français" Nicolas Guillaume
"Tu veux ta photo avec moi ? c'est 7$ avec mon polaroid et 2$ avec ta caméra !" Spiderman, sur Times Square
"Donne pas ton bagel aux pigeons, les pigeons c'est des connards !" Alix
"Parler c'est mentir. Réfléchir c'est mentir à l'autre" Pierre Faucher
"Les hommes sont prêts à tout pour faire l'amour, y compris aimer. Les femmes sont prêtes à tout pour être aimées, y compris faire l'amour" Boris, Philosophe
"Si l'on ne se voit pas souvent, c'est que ma tête est malade, pas mon coeur" Jean-Patrice Balhoo
"Tu manges pas tes trottoirs ?" Sylvie
"La recette du succes avec les filles, c'est du style et de l'assurance." Arnaud
"Ma copine c'est comme mon chien : il ne faut pas en dire du mal" lorenzo
"La vie est plus simple quand on a de l'argent" Fadila
"Arrivé à un age, ce que nous on trouve culte, d'autres le trouvent con" Eve
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