inZeSentier

Denis Maréchal fait son Olympia

353. - Ce soir,  toujours dans le cadre "Paris fait sa comédie", la joyeuse bande est allée voir Denis Maréchal à l'Olympia dans son one-man-show reboosté en deux heures avec son, lumières, jolies pépées et technicolor. Quelle pêche il a ce gars, pour tenir en haleine quand même 2.500 spectateurs - dont quelques invités il est vrai - excusez du peu, belle performance. Toujours grâce aux Voisins, Sandra et Captain Lolo Ferrari. Le meilleur moment était indubitablement la chanson du "canapé", un must ! Il a un festival de sketches où l'on sourit parfois mais intellectuellement cela ne fait pas quand même rire, on n'est pas au niveau d'un Olivier Sauton pour l'écriture c'est dommage car le personnage est intéressant et a de l'énergie à revendre. S'il cisèle plus ses textes et ne tombe pas dans les jeux de mots à deux balles, cela ne fera pas se lever et partir des spectateurs bien mal élevés pour le travail de l'artiste. C'est comme la petite frappe à qui l'ouvreuse avait demandé gentiment un pourboire en lui expliquant qu'elle n'était pas rémunérée par d'autre moyen : "Ben comme on m'a donné la place, je ne vais pas vous donner un pourboire !". N'importe nawak, le gars s'est tiré car sa copine ou son copain a fait faux bond et qu'il n'appréciait pas le spectacle, bon débarras.
Pendant ce temps-là, Olivier Sauton  justement participait au festival des Jeunes Talents au Théâtre du Gymnase, à la sortie de l'Olympia vers minuit, je suis allé le rejoindre pour prendre des nouvelles de sa prestation parmi 10 comédiens. C'était sympa et assez exceptionnel car il m'a introduit dans un buffet avec que des comiques et c'est assez kiffant de lever le verre en s'empiffrant de petits fours avec à ma gauche Bruno Salomone et à ma droite Shirley Bousquet de Caméra Café !!! Sacré Olivier, toujours dans les bons coups ... et moi aussi du coup ;o) Non non, dis leur Olivier, que je ne suis pas mytho, hein c'est vrai que tu me les as présenté ces vedettes !
(TheZique : Tonton David - Chacun sa Route)

Brigitte Fontaine et ses amis à l'Olympia

352. - La dernière fois que j'y avais mis les pieds, c'était pour voir Dany Boon. L'Olympia de Bruno Coquatrix n'avait pas été refait et j'y étais allé avec mon Papounet, c'était bien sympa. Ce soir, grâce aux Voisins du Dessus, nous avions une palanquée de places et certains en ont profité plus que d'autres. J'ai été invité par mon double blogosphérique qui m'avait gentiment proposé de venir. Le bilan de ce spectacle est mitigé. Outre une Brigitte Fontaine que j'avais vue maintes fois sur le petit écran déchaînée et qui semblait sortir d'un repas bien trop arrosé d'autre liquide que du Château Delanoë, nous avons pu voir une belle brochette de vedettes qui nous ont fait chaud au coeur : Enrico Macias, Anaïs "je t'aime à en crever ... tes pneus pour que tu restes", Christophe mais pas "Aline", Jacques Higelin, Arthur H. le fiston pour les plus connus. Bribri chantait faux, mais c'est son style déglingué qui fait son style et loin de l'unanimité à en juger des commentaires lors de notre débriefing au Sherwood préféré de mon ami Boris, bloggueur influent (dans son quartier ;o). 
Une bonne soirée quand même, même si je suis en accord avec Sandra, je n'aurais jamais payé 50 euros pour voir du foutage de gueule pareil : les chansons étaient massacrées, les paroles non connues par Brigitte surtout et heureusement que les musiciens étaient là pour structurer tout le discours. Au son du piano qui chante, j'ai pensé à toi et tu m'as tant manquée à ce moment là que j'en ai ressenti quelques doux frissons et ce n'était pas la pluie qui s'était abattue sur nous. On s'attache plus que de raison on dirait.
(TheZique : Jane Birkin / Serge Gainsbourg - Je t'aime moi non plus)

Je travaille chez Second Life

351. - Dans  mes nouvelles attributions, comme dirait un ex-collègue redevenu comme tel, je ne vois que des jeunes gens - 25 ans en moyenne - en costumes impeccables, la coiffure de mannequin et le pli du pantalon coupant comme une lame de rasoir. Concernant les jeunes femmes, lorsque tu les vois à l'Espace Détente du 1er étage, tu as l'impression de feuilleter les pages d'un exemplaire de "Vogue", c'est dire ! Dans ce service, c'est un peu comme dans Second Life où chacun crée son avatar idéalisé. Le phénomène prend énormément d'ampleur : 4 millions d'internautes se connectent tous les jours pour recréer tout un monde virtuel où ils échangent des transactions, achètent des biens immobiliers et les dernières fringues à la mode pour pas cher et délire ultime, ils y font l'amour dans toutes les combinaisons possibles. Sarkozy y a son île, Le Pen un QG de campagne et le Moulin Rouge y a même été entièrement recréé en images de synthèse ! Le problème sous-jacent de cette aliénation est que l'internaute après sa journée de travail, se connecte sur SL pour continuer une autre vie, son cerveau, alimenté par cette activité futile et virtuelle ne se repose jamais et il sombre inexorablement dans un insondable délire ! Dans ma boîte, on n'est pas dans le délire bien entendu puisque le comparatif s'arrêtait juste à la représentation fantasmée d'un monde où la vie serait bien meilleure que sa propre existence.
(TheZique : Jerry Goldsmith - Basic Instinct Theme)

Une Gainsbourg d'Or

350. - Avec ma Capou  ce dimanche au MK2 Bibliothèque, on s'est fait le dernier film d'Emanuele Crialese avec Vincenzo Amato et Charlotte Gainsbourg. Au début je pensais que l'opérateur s'était trompé de bobine car Charlotte n'apparaissait qu'au beau milieu du film, très surprenant pour une tête d'affiche ! Le film est très original pour le parti pris d'une reconstitution de l'histoire des émigrés italiens vers le Nouveau Monde au travers des yeux et des différentes sensations perçues par une famille paysanne très pauvre. Je ne pensais pas qu'Ellis Island était à ce point un centre de triage qui décidait qui devait être intégré ou qui devait repartir à cause d'une infirmité physique ou mentale. Pour construire l'Amérique, on faisait venir les masses par de la propagande qui consistait à publier en Europe des photomontages où l'on voyait des fruits de la culture avec des tailles hors normes, ce qui nous donne quelques images d'un délire visuel exacerbé du réalisateur. Un film surprenant où l'on ne comprend pas tout à la première vision, mais qui donne à réfléchir par son fort pouvoir évocateur. On est tout chose en sortant de séance et il faut l'avoir bien muri pour commencer à comprendre que c'est un bon film. A voir si vraiment vous avez déjà vu les autres films qui vous tentaient.
(TheZique : Yves Jamait - Le Bar de l'Univers)

Jamait plus que jamais

349. - Je n'ai pas eu le temps de le voir, mais Caro dit que c'est bien alors je retranscris son émotion à la vision de ce chanteur trop peu connu du grand public :
"salut à tous
Puisque je n'ai pas de blog comme Giao et  Sandra, je voulais  par  cet email , vous faire découvrir un chanteur que j'ai  vu hier en concert : Yves Jamait.
si vous aimez les chanteurs à texte, un mélange de Brel et Manu Chao au look de  Gavroche sur fond de musique jazz manouche, allez voir JAMAIT qui se produit cette semaine au Cabaret Sauvage (30 euros l'entrée). c'est jusqu'au 31 mars.
il est génial, drôle et vous donne une sacrée  patate avec sa gouaille et son énergie !!!
son site :
http://www.jamait.fr/accueil1.html
biz à tous
caro

Le Lycée Carnot, un Olivier, chez Amélie Poulain et la souricière

348. - 6h35  je viens de rentrer d'une journée folle folle folle. Couché vendredi soir en début de we après une courte semaine riche en émotions, j'avais l'obligation de me présenter comme tous les ans au Lycée Carnot dans le XVIIème pour faire passer aux aspirants élèves de Prépa HEC, des oraux d'évaluation de la personnalité tels qu'ils sont pratiqués aux concours d'entrée chez HEC et à l'ESCP. C'est toujours très intéressant de se trouver confronté à des graines de manager et d'inverser un peu les rôles en prenant l'ascendant sur eux, le temps d'une épreuve à balles blanches. Avec un avocat ancien confrère de mon prestigieux cabinet de Chicago, nous avons affronté les attermoiements de trois élèves de 1ère Année dont 1 très attachant, 1 chiant au ton monocorde et visiblement resté dans les jupes de sa mère et 1 qui assurait par sa présence et son argumentation pêchue bien qu'en toute modestie. Et voilà trois heures bien passées.
Un Frappuccino et un muffin chocolat vanille au Starbucks de Richelieu-Drouot plus tard, on se retrouve avec MlleSand au Théâtre des Blancs Manteaux au 15, rue des Blancs Manteaux dans le Marais, où se produisaient les jeunes talents, Charlotte et le plus grand  acteur vivant sur terre, Olivier Sauton. Encore passé un très grand moment car Olivier a assuré comme d'habitude et que Capou m'a rejoint pour apprécier notre professeur de théâtre dans ses prestations les plus folles. Au programme ce soir : "Dieu", "Les Racailles", "Ben Laden" et "Luchini" avec des jeux de lumières grandioses assuré par un pro à la régie, malgré un filage technique qui relevait du minimum syndical. Le filage technique consiste en la préparation de la coordination du spectacle avec le son et lumière entre le comédien et le régisseur.
A la fin de l'envoi, je touche, en l'occurrence nous sommes allés rejoindre Caro, Carlos, Viviane, Doumé, Anouk et la bande chez Amélie Poulain dans le XVIIIème Montmartre. Diner aux 2 Moulins qui fut quand même le resto du 14 rue Lepic qui a servi de décor au "Fabuleux Destin d'Amélie Poulain" ! Une carte honnête à la bonne franquette avec du bon vin, un bon bistrot parisien dans le plus bel endroit où j'aimerais avoir un pied à terre.
Ensuite nous avons presque terminé la soirée chez Amélie Poulain qui vit dans un charmant appartement en rdc rue Germain Pilon avec un jardin de 20 m2, trop mignon ! Le rêve, tu te croirais dans une maison à la campagne, en plein coeur de Paris. Olive m'a appelé pour me rejoindre, il était 23h45 : "on arrive dans 20 minutes". I ls sont arrivés à 2h30. Lorsque nous sommes partis, dernier crochet chez notre prof de théâtre dans son doux pied-à-terre près du Cimetière Montmartre ... jusqu'à 6h. Quelle folle folle nuit en réalité, j'en n'avais pas vécu de si intense depuis ... ben jamais.
C'est le métier qui rentre.
(TheZique : Yann Tiersen - L'après-midi)

Mes enfoirés de copains

347. - C'est une histoire à trois. Un garçon, une fille et un con. Le con c'est moi, ça pose le décor. Je connais un pote depuis l'âge de 8 ans, une copine depuis nos 17 ans. Je les présente l'un à l'autre comme c'est souvent le cas et on se planifie tranquille-mimile un voyage à Cannes alors que l'un habite Magny-en-Vexin et l'autre Le Tréport. Je commence à réserver les billets et l'hôtel, le Hilton car on est en hors saison - je suis tombé sur une occasion en or - et demande confirmation aux deux amis d'enfance de leur participation. Nous sommes dimanche. Pas de réponse, lundi je relance et je mets les pieds dans le plat à tartes que je m'apprête à recevoir : "Euh, on fait quoi ? On y va, on n'y va plus ? vous y allez tous les deux ?"
Bizarrement, je sentais que quelque chose se tramait derrière mon dos mais je ne savais pas quoi. Avec cette histoire de changement de mission, de crédit à rechercher et d'investissement dans l'immobilier cette histoire de voyage sur la côte était un peu restée en arrière-plan. Je prends mon portable et j'appelle ma pote Ségo. Incroyable ! elle me répond un laconique "J'ai pas grand chose à te dire, François te rappellera !" J'ai de plus en plus l'impression que l'on me prend pour un con et ça m'énerve grave ça. J'avais organisé l'anniversaire surprise de ma pote et invité régulièrement mon copain au resto quand il était au chômage, c'est normal. On a tous nos revers de temps en temps, faut s'entraider. Alors il m'appelle et me dit "J'ai des travaux à faire chez moi, fais comme si je ne viens pas, pars de ton côté !"
Le lapsus !!! Il n'avais pas dit "Partez de votre côté" mais il avait bel et bien employé la tournure au singulier "Pars sans nous". Il ne m'en faut pas plus pour être conforté dans mes doutes. Cela ne me gêne pas quand deux amie et ami sortent ensemble mais qu'ils font tout pour me le cacher et qu'ils se jouent de moi comme cela, ça fait très mal. Bandes d'enfoirés quand même ! Vous êtiez bien contents d'avoir une épaule réconfortante pour vous plaindre de votre solitude, de votre difficulté à trouver votre moitié ! Vous êtiez bien content d'avoir une bonne poire chez qui passer des pures soirées. C'était donc par dépit et faute de mieux. Une fois casés, vous me zappez complètement. Ce qui m'a fait mal ce n'est pas du tout que mes potes se mettent ensemble, c'est qu'ils m'ont pris pour un con. A te dégoûter de faire les choses pour les gens, des gentillesses par amitié.
Mon meilleur pote Nico me dit souvent que je suis si gentil que je dois être un extra-terrestre. Non non je suis juste un terrien extra. Par ailleurs, je suis et j'existe sans doute car il est sur terre des tas de nanas et de gars complètement égoistes qui ne pensent qu'à leur seul intérêt et qui ne sont capables d'aucun acte désintéressé. Cela doit être le métier qui rentre comme qui dirait.
(TheZique : Charles Aznavour - Comme ils disent)

Un Spartiate, c'est pas un pédé

346. - Avec MlleSand dans le rôle de Sandra hier soir, j'ai vu le film de Zack Snyder basé sur une bande dessinée de Frank Miller qui nous avait déjà donné l'excellentissime "Sin City". Là encore le style graphique et la musique, les visages si expressifs des acteurs pas connus du tout concourent à donner une ambiance très particulière au film et à sa pleine réussite. J'ai adoré, tout à fait le film romantique qui pète dans tous les sens bien loin du Troie plutôt moyen finalement de Wolfgang "Das Boot" Petersen. Voir tous ces corps se faire charcuter proprement donne la dalle et on s'est sustentés tranquille-mimile au Péninsule car à 13,50 euros le buffet à volonté - mieux qu'un MacQuick - faut pas se priver surtout si on habite à 10 minutes à pied ! Bonne soirée donc et film à conseiller d'ailleurs j'y retourne avec les poteaux vendredi soir pour la séance de 21h15 au Max Linder. Et oui, je suis comme ça, quand j'aime je ne compte pas et je vais revoir les mêmes films plusieurs fois. Mais j'aime bien, c'est "ma petite merdouille à moi, quoi !" (c) os

1 euro = 1 franc

345. - C'est de la folie, du n'importe quoi. Un ami que j'aime beaucoup, artiste et pianiste mélomane de surcroît, possède un 63 m2 à Cardinal Lemoine. L'appartement au 6ème sans ascenceur est en étoile, la répartition des pièces est idéale et il est merveilleusement situé en plein secteur Henri IV, dans le Vème Arrondissement Parisois. Cela signifie qu'il a eu l'opportunité de placer ses enfants au Collège Henri VI et ils ont la possibilité d'intégrer le très prestigieux Lycée Henri IV. Tous les parents ou futurs parents sont conscients de ces enjeux majeurs pour l'avenir de leur progéniture. Pour l'instant pour ma part, le processus n'est pas encore enclenché mais quand je pense à mon cursus après être passé par  le Collège Nicolas Copernic de Montmagny mon village, les lycées Gustave Monod d'Enghien-lès-Bains et Paul Eluard de Saint-Denis, je n'ose imaginer ce que j'aurais pu faire si j'avais été placé enfant à Henri IV. Ce n'est pas de la forfanterie, c'est du pragmatisme. Je veux donner à mes enfants le meilleur possible et s'ils ne sont pas encore là, un tel emplacement sera fort utile à mes filleule et neveu et pourquoi pas aux enfants de ma compagne, si je m'installe un jour avec une moitié qui en a déjà un ou deux, le temps et l'âge aidant, rien n'est à exclure. C'est toujours du réalisme. J'ai donc eu mon ami qui n'est pas vendeur dans l'immédiat mais pourquoi pas, je me suis porté volontaire auprès de lui pour une option sérieuse et il en a pris note. J'ai appris qu'une amie de sa fille - l'amie et sa fille ayant été mes collègues chez Arthur - a fait de même. Tout cela va contribuer à faire monter les enchères dis donc. Et dire qu'ils ont dû acheter leur appartement pour 600 000 francs dans les années 80, aujourd'hui il vaut au bas prix 550 000 - 600 000 €. Quelle folie pique tous ces parisiens ! Quand on pense que 70% de la population active gagne au plus 1 500 euros net par mois, on est toujours étonné de voir ces prix exhorbitants qui n'ont plus aucune réalité avec les augmentations de salaires. On est tous conditionnés, dans notre tête 1 euro ce n'est rien, psychologiquement 1 euro égale 1 franc, ce qui est vrai pour la baguette, le paquet de cigarette l'est bien évidemment tout autant en matière immobilière. Des fous je vous dis !

Vraiment du bien

343. - J'aime bien la vie  que j'ai en ce moment. Je me suis installé dans un espèce de doux confort avec mes proches bien agréable. Le lundi et mardi c'est Olivier Sauton aux Planches du Canal. Plus on le voit, plus on apprécie sa plume et sa touche. Vous ne l'avez pas encore vu ?!? C'est un tort, foncez.
Le dimanche c'est le jour des Voisins du Dessus. Les voir et les entendre, cela fait du bien par où ça passe. 3 musiciens, 40 choristes, beaucoup de coeur pour ce choeur et on est bien, vraiment bien. On y a découvert François  Bernheim, un énorme auteur de la chanson française qui a cette voix si chaleureuse ! Visez un peu : "Non non rien n'a changé" des Poppys, "Isabelle je t'aime", "Mon Mec à Moi" de Patricia Kaas, "il mio refugio" de Richard Cocciante.
On s'est constitués en petit groupe dynamique et fort sympathique : mllesand, céline, missparker, captain lolo, ppC, Lou, Frédérique, Capou et leurs enfants. Ah ce que j'aime cette vie.
Samedi soir, un moment fort rigolo car Angie-Angela fêtait son anniversaire alors que la date officielle est ... le 30 décembre ! J'ai du mal personnellement  à fêter mon anniversaire une semaine après la bataille alors quand je vois certains qui le fêtent 3 voire 6 mois après, cela me laisse rêveur. Mais quelle ambiance chez Vivi et Doumé avec la joyeuse bande des Caro, Carlos, Maria, Anouk sans ses chats et avec toujours missparker l'inoxydable, couchée à 4h, levée à 10h pour rejoindre les Voisins du Dessus à la répète avec les croissants et le thé. La chenille à 2h30 du matin alors que l'on n'est que quinze à danser, c'est quand même fabuleux.
Ah, ce que j'adore cette vie.
(TheZique : Michel Delpech - Pour un Flirt avec Toi)