inZeSentier

Paris, Place du Louvre et rue de l'Arbre Sec

En ce moment je travaille l'impromptu op.90 n°3 de Schubert, je kiffe grave. C'est Fred qui m'a fait découvrir ce morceau qui se promène comme une jolie ballade dans l'inconscient collectif et qui est plus compliqué qu'il n'en a l'air. Hier soir apéro au Gin To (hips!) au Louvre Ripail,  un établissement (hips!) tout à fait sympathique avec son barman Joël originaire de Martinique, un éclairage feutré et une ouverture sur la Place du Louvre dans le Ier, à 8 minutes de la casa. Ensuite avec Pierrot nous sommes allés faire ripaille justement au Ca d'Oro - du nom  du plus célèbre édifice gothique de Venise après le Palais des Doges - chez Tony, un Sri Lankais qui a ouvert son délicieux restaurant italien à côté au 54, rue de l'Arbre Sec et qui servait ce soir-là un veau au curry, succulent accompagné d'un bon chianti. C'est mauvais pour le régime mais bon dans le palais. En repassant chez Pierrot pour jouer un peu de piano, nous avons croisé un clodo qui demandait sa pièce :  "A vot bon coeur, les gentlemen !", je lui ai filé en guise de pourboire ... une bouteille de champagne Canard Duchêne ! Nous l'avions commencé au restau mais une bouteille pour 2 c'était trop, surtout après 3 gin tonic et 2 verres de chianti, donc j'ai remporté la bouteille et en ai fait bon usage pour améliorer l'ordinaire du vieil homme.

Concours pour les Working Aoûtiens

Une nouvelle nouvelle camarade de jeu rencontrée au détour d'un com laissé dans la blogosphère, Thulip, nous propose un excellent jeu-concours de tofs. Le thème c'est vous et l'idée consiste à vous présenter en une photo tel que vous êtes aujourd'hui, en ce moment, dans quel état d'esprit, dans quelle tendance vous vous sentez le mieux à l'instant présent. Les premières photos sont présentées dans cet article. Cela démarre gentiment mais les ténors du reflex, Lafouine, Goon, Neuro ou les surdoués du compact tels que Nawal et Charles Liebert, n'ont pas encore pris part à la compète qui s'annonce comme l'hiver 2006, rude et rigoureuse, espérons qu'ils sont partis en vacances, on pourra faire mieux qu'espérer des lots de consolation !

Je règle mon pas sur celui de ma boîte

Parfois l'esprit de corps et la ferveur de certains collaborateurs  envers leur entreprise me laissent perplexe, voire me choquent profondément. Pas plus tard que cette semaine, une copine d'une institution financière qui se fait absorber, m'a sorti : "On s'est faits enflés par untel sur les modalités d'évaluation de la mariée et la parité de l'échange d'actions". Quel est donc ce "On" ? Ce qui m'énerve c'est qu'elle parle de la fusion-absorption comme s'il s'agissait de ses propres deniers alors qu'elle est juste salariée comme vous et moi. Or, à moins d'être un chanceux ">#ù^*µ$@è***(]&!!: de fonctionnaire qui ne risque rien sauf le placard ou le harcèlement moral - ce qui n'est déjà pas mal, vous en conviendrez - la loyauté et la fidélité n'ont jamais payé dans le monde du travail. J'en veux pour preuve mon papounet, resté plus de 22 ans dans la même société qui s'en est fait éjecté en pré-retraite comme une imprimante échue ou du mobilier de bureau, sans cérémonie ni honneur, d'un Big Five, également. Bis repetita, non placent forcément.
Je suis content lorsque ma boîte gagne des marchés bien sûr, surtout s'ils concernent mon business mais je ne vais pas pleurer lorsque les top-dirigeants font des deals un peu moins intéressants parce qu'en face il y a des requins encore plus voraces. Chacun oeuvre à son niveau, moi à la base et à chaque jour, ma penne me suffit bien assez pour écrire mes livrables. D'ailleurs, selon quel principe naturel ou quel axiome, notre destin et celui de notre employeur seraient-ils liés ?!? Aucun ! Ce n'est pas parce que l'entreprise présente un bilan et un compte de résultats éclatants que les salariés améliorent leur condition quotidienne. En 2002, lorsque la firme chez laquelle j'émargeais, avait maille à partir avec le Département de Justice américaine à cause de la faillite du plus gros courtier en énergie, ENRON, je faisais partie du premier chariot des départs provoqués ... et négociés. Je me suis fait licencié comme un malpropre après 5 ans de quasi-adoration pour cette institution dans le monde du conseil. Et pan dans les dents, j'étais réveillé d'un coup lorsqu'ils m'ont sorti que je n'avais plus ma place dans l'organisation. C'est une superbe signature que je ne renie pas bien au contraire, mais mon affection vis-à-vis d'elle a évolué avec ces événements et les conditions de mon départ.
Ma boîte allait très mal, elle se faisait vendre par appartements mais j'ai eu un pactole qui m'a permis d'avancer la mise de départ pour l'achat du mien.
C'est une inepsie de croire que notre situation et la santé financière de notre entreprise sont liées. Certains devraient en prendre de la graine ;o)

Quand j'étais Gamin ...

La jolie Célinette m'a lancé un mini-défi que je relève ici même,  il s'agit de remplir ce questionnaire de Célinette Proust sur quand j'étais petit ...
1. Quand j'étais enfant, j'étais : sage comme une image, beaucoup trop, genre premier de la classe que tout le monde déteste, avec un monde dans ma tête où je faisais plein de bêtises
2. J'adorais : la complicité que j'avais avec mon frérot, embêter ma soeurette, jouer aux Légos, la douce voix de ma Maman, le sourire bienveillant de Papounet
3. Je détestais : ne pas pouvoir regarder le film du dimanche soir, devoir interrompre Capitaine Flam le mercredi pour aller au judo, être pris pour un con par la fille dont j'étais amoureux, nous faire expulser de notre HLM lorsque je préparais mon bac
4. Mon dessin animé préfèré, c'etait : Goldorak, je voulais appeler mon fils pareil
5. Mon meilleurs souvenir c'est : aller chercher mon Papa à la gare de Deuil avec toute la famille  pour l'accueillir à la descente du train, notre vie de famille unie et harmonieuse
6. Mon pire souvenir c'est : la mort de notre cochon d'inde, Fifi et l'annonce du décès de ma grand-mère maternelle au Vietnam car j'ai vu ma mère pleurer à ces deux occasions
7. Si j'avais pu j'aurais : vécu ailleurs qu'en HLM à Montmagny
8. Apres en grandissant je rêvais d'être : Spider-Man, un super-héros
9. J'était amoureux de : Elle n'était pas née
10. Ma plus grosse peur c'était : de me retrouver sans famille
11. Avec les copains on adorait : aller goûter chez les uns et les autres, faire de la musique et discuter informatique
12. Mes plus belles vacances: le VVF de la Colle-sur-Loup en juillet 1985
14. Ma plus grande tristesse : quand mon meilleur pote Martial est mort dans un accident de voiture
15. Ma chambre était : trop petite
16. Les trucs dont j'étais le plus fier : ma ceinture jaune de judo, mon premier concert de piano
17. Le truc dont j'ai encore honte aujourd'hui : ne pas savoir m'habiller, je recherche toujours mon look
18. A l'époque j'adorais écouter : The Cure, Chopin, Mozart et Police
20. Mon livre préferé c'était : le dernier PlayBoy
21. A l'école j'étais surtout bon en : Bon à tout, bon à rien
22. Je détestais : être petit, fauché comme les blés, être nul en sport
23. Le pire c'était : avoir un père qui ne m'emmenait pas faire des "trucs d'hommes", voir des matchs de foot, prendre des bières, me faire tatouer
24. J'ai vécu une adolescence plutôt : renfermée et discrète, aujourd'hui c'est tranquille-mimile mais avec une vie sociale plus étoffée

Merci & bisouxxx Célinette, je vais te concocter un mini-défi genre "t'es pas cap !"... en attendant, repasse à ton voisin : je choisis missparker, céline et 4Largo

On a tous une âme de Pirate

Dans le sens romantique du terme, s'entend. Pour voyager,  rencontrer du monde, moins pour agresser, aller à l'abordage, voler et décapiter. Toujours est-il que le second volet de la trilogie est absolument réjouissant et dans une salle comble comme j'en ai rarement vu, la dernière fois c'était pour le soporifique Sofia "Marie-Antoinette" Coppola. Johnny Depp est excellent en pirate effeminé à la Keith Richards qui fera d'ailleurs une apparition sous les traits du père du Capitaine Jack Sparrow. La musique de Hans Zimmer est toujours entraînante et les personnages comme Will Turner et Elizabeth sont bien plus que des faire-valoir de Depp. On ne s'ennuie pas une seconde dans cette histoire de recherche de la rédemption mais quelques scènes un peu violentes nous font parfois oublier que l'on est dans une adaptation d'une attraction de Disneyworld. Quoique parfois la réalité dépasse la fiction puisque dans ce Pirates de Caraïbes, il est arrivé une fois qu'un pirate du Parc d'attractions agresse pour de vrai une jeune touriste allemande en goguette ! Donc de l'action grand écran à voir en attendant la conclusion en mai 2007 !

l'Apéro Dînatoire de la Sainte Lydie

Le lever de lune de la Sainte Lydie  a été l'occasion de fêter le raccrochage de gants de Monseigneur Boris de la blogosphère vers sa retraite du fort de Brégançon. En fait, je n'en sais rien du tout, peut-être son lieu de villégiature se situe-t'il du côté de Safaga dont il nous parle avec tant de persistance, peut-être se place-t'il plus près de Lacanau où il pratique le kite-surf avec une assiduité bien tangible. L'apéro dînatoire est parti du constat de la semaine dernière où nous étions posés avec une bande d'irréductibles parisiens au Nomads, dans un lieu branchouille et relativement lourd de conséquence pour notre bourse. Nous nous félicitions de la formule du cocooning ou du nesting où la tendance est plus à la réception chez les uns et les autres. Comme j'habite au coeur de Paris dans le IIème arrondissement, j'ai donc proposé mon appart pour ce fameux happening du 03 août 2006. Pourquoi en semaine ? Tout simplement parce que la plupart sont en partance pour leurs vacances dès ce vendredi soir ou même samedi matin.
Nous étions une quarantaine de joyeux drilles réunis ce jeudi pour lever le verre de l'amitié, grignoter quelques snacks au buffet gargantuesque, écouter Jay-Z et Linkin Park, danser et éventuellement jouer du piano (bravo christelle !) . C'était assez émouvant de retrouver côte à côté les bloggers : Léna, Frogita, Poupée, Boris, miss b*, Adrien, Charles Liebert, Goon, Neuro, BrownBunny, missparker et tous mes potes non-bloggers que je connais depuis un certain temps maintenant, Nico, Brigitte Bonaventure, Cédric, Christine, Maxime, Véro, Sylvie, Arnaud, Alexandre, Astrid, Alberto, Bülent et tant d'autres si chers à mon coeur.
L'ambiance était festive car le champagne coulait à flot, normal à notre âge nous n'allions tout de même pas nous contenter de Manzana et de Ricard bouteille quoique Adrien est venu avec son kit et nous a concocté des caipirinha de qualité Uno.
Qu'il est bon d'avoir quelques bons amis avec qui se réunir de temps et temps et profiter de la vie et des moments passés ensemble à rire et boire un verre sans penser au lendemain ! Merci à ceux qui ont bravé les transports en commun et les toutes premières averses aoûtiennes pour venir jusque dans ma garçonnière du Sentier.
Mais j'y pense, le lendemain c'est dans quelques heures et je bosse à la bonne heure ... bonne nuit, portez-vous bien et bon courage !

Nous n'avons pas les mêmes valeurs

Ma pote Dany vient de passer dans  mon bureau me conter les problèmes sur le projet en cours et ses petits tracas quotidiens : son voyage à Milan qui se prépare, ses vacances à la Martinique en décembre. Sur les routes de Normandie pour retaper leur vieille bicoque avec son copain, ils ont calé une fois de plus avec leur vieille Alpha Roméo. Ils en avaient marre de toujours l'amener au garagiste qui s'en met plein les fouilles à chaque mise - c'est mieux que chez Georges Tranchant - , ils viennent de régler définitivement le problème : ils ont acheté une Z3 !!! Il y en a quand même pour qui, ça va la vie ;o) Petit problème, lorsqu'elle est au volant de son bolide, on ne la voit plus et elle a donc investi dans un coussinet que son copain ne sait pas où ranger car avec un aspirateur à minettes, tu n'as pas vraiment de place pour les accessoires.
On n'est pas tous égaux devant les vicissitudes de la vie ...

La vie est un vaste champ de choix

Je suis allé chez Célinette hier et j'y ai découvert un article tout à fait intéressant.  La thématique concernait le fait d'oser. Hier soir j'ai dîné avec ma cops Brigitte Bonaventure et son amie Anouk aux yeux d'Adjani et ce matin j'ai rencontré dans le métro mon pote LC qui s'en allait travailler du côté du Pont de Garigliano. Ils sont très gentils mais sont aussi tout le contraire de moi, ce ne sont pas des têtes brûlées ! C'est dommage de se fixer des limites et des murs dans la tête qui n'existent que dans son imagination. Pour progresser il faut se faire mal, les échecs font partie de la vie. Un copain m'a dit un jour "l'homme est né pour se prendre des rateaux" et il parcourt le monde entier avec son sac à dos lorsqu'il ne travaille pas comme contrôleur de gestion à Paris, part en goguette à la rencontre du beau sexe alors même qu'il s'est fait plaqué du jour au lendemain à 6 mois du mariage sans explications. Cruel mais cela lui a été salutaire et lui a ouvert les yeux car il vit mieux maintenant qu'à cette époque. Je ne comprends pas les gens qui ne se lancent pas par peur de l'échec alors qu'ils sont seuls et sans famille à charge. C'est justement maintenant qu'il faut en profiter. Quand on sera enchaîné à des responsabilités familiales, là je ne dis pas, il faudra faire profil bas ;o)
Mes parents avaient acheté un très beau terrain de 1.500 m2 à Gisors avec un cours d'eau vers les années 80 pour se faire construire le pavillon de leurs rêves, leur architecte - je me rappellerai toujours de son nom : Szabo - était compétent et avait dessiné une magnifique villa de standing pour mes parents qui n'étaient à l'époque qu'agent de maîtrise et prof de maths. Après avoir contracté le crédit de 300.000 francs, ils ont tout versé au cabinet ... qui a aussitôt fait faillite comme par hasard ! Mes parents étaient mortifiés, l'escroc avait pris la poudre d'escampette. Ils ne leur restaient plus que leurs yeux pour pleurer car leur rêve de quitter notre HLM de Montmagny près de Villetaneuse n'était pas prêt de se concrétiser.
Qu'à cela ne tienne ! Ils se sont lancés 8 ans plus tard dans une nouvelle opération et là, la maison était bien là avec les paturages, un terrain plus grand mais pas de cours d'eau, près des vaches et des chasseurs. Mon père et ma mère ont toujours été dynamiques, ils se sont bougés et saignés aux quatre veines pour nous offrir un toit, des vacances à la neige comme nos petits camarades et des études supérieures. Pour eux, je me dois de toujours aller plus loin, progresser encore et encore et me fixer pour toute limite que celle de mon imagination débordante. J'ai fait des choses folles dans ma vie, je me suis fait licencier pour lancer une boîte de services avec un pote du CNAM, j'ai pris l'avion de Las Vegas pour Dallas pour rejoindre une camarade pour qui j'avais eu le coup de foudre, j'ai démissionné de mon job pour un poste moins mobile et plus intéressant, j'ai acheté un piano à queue sur internet sans savoir quelle tête il avait, j'ai réveillé mon frére de 4 ans lorsque j'en avais 6 à 2 heures du matin pour aller chercher nos parents car je ne les trouvais pas dans la maison de vacances lorsque je me suis réveillé dans un sursaut en pleine nuit, je me suis endormi sur le périph en pleine heure de pointe alors que j'étais au volant, je suis allé avec une barre de fer dans le repaire des gitans qui avaient volé le blouson en jean's de mon frérot pour le récupérer, j'ai appris le concerto pour Piano de Chopin pour plaire à une copine du lycée alors que j'avais 2 ans de piano, il est dingo ce Giao !
Il n'est pas dingue, il est complètement MARTEAU. Un coeur qui bat, un nez qui flaire, une décision qui tombe, C'EST giao inZeSentier ! Vous apprendrez à me connaître.

Et 4 kilos en moins, quatre !

Le verdict de l'implacable balance de la justice diétiétique est tombé hier soir à 22h,  heure de la pesée : j'ai perdu 4 kilos tout rond en 3 semaines ! Tout cela grâce aux conseils de mon nutritionniste attitré et cher collègue de bureau Serge. Il a fier allure, la cinquantaine sportive, beau gosse, souriant et de profil sportif. Malgré ses 3 enfants et ses deux mariages, il a adopté une hygiène de vie très saine dont il m'apprend tous les jours les préceptes. Leçon du jour : avec mon coquelet sans sauce, ne pas prendre de féculents mais plutôt des légumes verts ou des carottes et des tomates. J'avais accompagné la viande blanche de pâtes comme sucres lents mais Serge m'a confirmé qu'il ne faut pas trop charger la zone de transit intestinal. Les pâtes ou les pommes de terre sont conseillées en complément des autres légumes mais pas avec la viande ou le poisson. Très intéressant tout cela ;o)
Malgré tout ce bel effort, j'ai peur de revenir au mode yoyo comme depuis 2000 où lorsque je perds 9 kilos, j'en reprends 10 l'hiver suivant. C'est quand même fatiguant de bouleverser ses habitudes alimentaires mais le résultat est plaisant d'autant qu'au début ça paye bien. Donc depuis 3 semaines, c'est salade végétarienne avec un oeuf dur et parfois une tranchounette de jambon et le soir lorsque je ne suis pas au restaurant, 2 yaourts et 2 fruits, pomme ou banane.
Cela change de ma période Clermontoise où je me tapais du Quick en semaine jusqu'à 2 fois et le McDo après le ciné du week-end avec Robert le Camionneur, même avec du Coca light !

Recherche partoches

Si vous avez des partitions pour piano  qui traînent chez vous dont vous ne savez plus quoi faire, contactez-moi. Je saurai comment les utiliser. Je reconstitue ma collection qui a été ravagée suite à mes quelques déménagements effectués ces dernières années, le fait que j'ai prêté pas mal de livres à des amis qui ont oublié de mes les rendre - c'est comme pour les DVD, on te dit "oui oui je te le rends dès que j'ai terminé et tu ne les revois plus jamais !!! -  et le fait que j'ai arrêté plus de dix ans la pratique de mon violon d'Ingres préféré.
Merci d'écrire au blogounet qui transmettra ;o)