1343.-Le Transperceneige est l'adaptation de la bande dessinée
éponyme des français Jacques Lob, Jean-Marc Rochette et Benjamin Legrand parue
en octobre 1982 dans le périodique A Suivre.
En 2005, le réalisateur coréen de The Host (2006) découvre la bande dessinée dans une librairie spécialisée et tombe amoureux de l'histoire et en voit tout le potentiel cinématographique qu'il pourrait en tirer et suggère de la porter à l'écran quand les producteurs de Moho Films et d'Opus Pictures lui proposent de réaliser un film. Avec un budget de 40 millions de dollars, le Snowpiercer est à ce jour la plus grosse production jamais réalisée en Corée du Sud. L'histoire sentait le réchauffé avec l'épopée de cette arche de Noé metallique qui parcourt le monde après le début d'une nouvelle ère de glaciation déclenchée par l'homme, paradoxalement pour lutter contre le réchauffement climatique. Si l'on est pointilleux, on émet des doutes sur le postulat de base.
Il y avait tout pour faire un nanar, une bouze cosmique, une série B qui part dans tous les sens, bref un navet de plus. C'était sans compter la capacité du réalisateur à s'attacher à ses personnages et à les rendre humains et émouvants comme dans The Host qui était beaucoup plus qu'un film de monstre.
Ed Harris est surprenant dans son rôle et nous fait une resucée de discours aussi simple à comprendre que la tirade de l'Architecte dans Matrix Reloaded (2003) des frères Wachowski il y a déjà dix ans.
On retrouve de solides seconds rôles comme John Hurt celui qui mourrait en premier dans Alien (1979) de Ridley Scott, le jeune Jamie Bell qui nous avait ému dans le rôle de jeune danseur Billy Elliot (1999), Octavia Spencer dont on parle pour reprendre le rôle de Jessica Fletcher dans une reprise de la série Arabesque et qui joue le rôle d'une mère de famille prête à tout pour retrouver son fils enlevé par les méchants nantis, l'anglaise Tilda Swinton qui est un redoutable lieutenant au service de La Machine qui fait tourner ce qui reste de l'Humanité. "Qui contrôle la Machine contrôle le Monde".
J'ai été fasciné par le film et son dénouement incertain, loin de se terminer en eau de boudin. Jamais plus je regarderai les trains de la même manière. 8/10.
"SnowPiercer Le Transperceneige" de Bong Joon Ho avec Chris Evans, Tilda Swinton, Octavia Spencer, Jamie Bell, John Hurt et Ed Harris
En 2005, le réalisateur coréen de The Host (2006) découvre la bande dessinée dans une librairie spécialisée et tombe amoureux de l'histoire et en voit tout le potentiel cinématographique qu'il pourrait en tirer et suggère de la porter à l'écran quand les producteurs de Moho Films et d'Opus Pictures lui proposent de réaliser un film. Avec un budget de 40 millions de dollars, le Snowpiercer est à ce jour la plus grosse production jamais réalisée en Corée du Sud. L'histoire sentait le réchauffé avec l'épopée de cette arche de Noé metallique qui parcourt le monde après le début d'une nouvelle ère de glaciation déclenchée par l'homme, paradoxalement pour lutter contre le réchauffement climatique. Si l'on est pointilleux, on émet des doutes sur le postulat de base.
Il y avait tout pour faire un nanar, une bouze cosmique, une série B qui part dans tous les sens, bref un navet de plus. C'était sans compter la capacité du réalisateur à s'attacher à ses personnages et à les rendre humains et émouvants comme dans The Host qui était beaucoup plus qu'un film de monstre.
Ed Harris est surprenant dans son rôle et nous fait une resucée de discours aussi simple à comprendre que la tirade de l'Architecte dans Matrix Reloaded (2003) des frères Wachowski il y a déjà dix ans.
On retrouve de solides seconds rôles comme John Hurt celui qui mourrait en premier dans Alien (1979) de Ridley Scott, le jeune Jamie Bell qui nous avait ému dans le rôle de jeune danseur Billy Elliot (1999), Octavia Spencer dont on parle pour reprendre le rôle de Jessica Fletcher dans une reprise de la série Arabesque et qui joue le rôle d'une mère de famille prête à tout pour retrouver son fils enlevé par les méchants nantis, l'anglaise Tilda Swinton qui est un redoutable lieutenant au service de La Machine qui fait tourner ce qui reste de l'Humanité. "Qui contrôle la Machine contrôle le Monde".
J'ai été fasciné par le film et son dénouement incertain, loin de se terminer en eau de boudin. Jamais plus je regarderai les trains de la même manière. 8/10.
"SnowPiercer Le Transperceneige" de Bong Joon Ho avec Chris Evans, Tilda Swinton, Octavia Spencer, Jamie Bell, John Hurt et Ed Harris
Seconde critique enthousiaste contre un déçue. J'avoue que je suis tentée par le pitch et l'affiche. Mais aurai-je le temps ? Très envie de voir le dernier des frères Cohen, Cartel même si l'on en dit pas du bien, et aussi le dernier Polanski. Y'a du lourd en cette fin d'année, et je n'ai pas assez de temps !
Rédigé par : auroreinparis | 13 novembre 2013 à 13:59
Si tu as l'occasion d'aller le voir, vas-y, il m'a bien plu.
Cartel oui ce n'est pas Ridley Scott le réalisateur ?
Polanski c'est du théâtre filmé, cela me dit moyen
Rédigé par : giao | 22 novembre 2013 à 17:07
Ca y est, je l'ai vu, et j'ai vraiment aimé moi aussi !
Le Polanski est étrange, une expérience, mais je me suis laissée prendre au jeu finalement ! Tjs pas vu Cartel. Et ce soir c'est le dernier Klapish !
Rédigé par : auroreinparis | 04 décembre 2013 à 17:41
Ah bien ! j'ai vu Il était temps et je suis mitigé quand même
bisouxxx !
Rédigé par : giao | 04 décembre 2013 à 17:45