1032.- Le dernier film de Coppola père est l'un des rares dont il a écrit le scénario et pour cause puisqu'il évoque une partie de son histoire, sa vie personnelle. Le père et l'oncle Coppola étaient musiciens et rivaux, l'un étant plus doué que l'autre. Par ailleurs, le rôle du grand frère tient une place majeure puisque lui-même a perdu son grand frère de modèle lorsqu'il était encore enfant. Le titre curieux évoque le surnom que Vincent Gallo s'est choisi pour s'isoler de ses histoires de famille à Buenos Aires où il vit une histoire d'amour avec une femme rencontrée à l'asile psychiatrique qui était là pour l'aider. Il est perturbé mais libre et son jeune frère Benjamin - Bennie pour les intimes - vient le rejoindre pour passer du temps avec lui et apprendre à mieux le connaître. L'acteur choisi pour jouer ce dernier ressemble étonnament à Leonardo DiCaprio jeune et Vincent Gallo a un regard clair et étonnament expressif. La première partie est un huis clos un peu oppressant où l'on sort peu des quatre murs de l'appartement exigu de Tetro et de Mirandu joué par Maribel Verdu. Le noir et blanc qui est la couleur de réalisation du film accentue cette impression et donne un accent années 30 à l'époque évoquée bien qu'il s'agisse de 2008. Les autres personages sont exposés comme José le patron du café ou Josefina la jolie danseuse jouée par Leticia Bredice qui m'avait tapé dans l'oeil dans Les Neuf Reines excellent policier Argentin (2002). Au milieu du film, la couleur oh surprise vient faire son apparition et l'histoire prend forme avec un style narratif épuré et agréable à suivre avec ses digressions douces comme les numéros de danse ou les flash-backs explicatifs fugaces. Au final, un très bon film surprenant que j'ai bien apprécié et qui prouve que Coppola est décidément un grand réalisateur.
"Tetro" de Francis Ford Coppola avec Vincent Gallo, Alden Ehrenreich, Maribel Verdu et Leticia Bredice
1031.- La bande-annonce faisait penser à un sous-Van Helsing et c'était effectivement une version cheap du film de Stephen Sommers que l'on a vu ce soir. L'acteur de la série Rome où il jouait Marc Antoine est charismatique et sert bien son personnage il est vrai, les effets spéciaux sont bons et l'histoire se tient mais le tout sent un air de déjà vu. Le héros est quasi immortel, on n'a pas vraiment peur pour lui, la jolie Rachel Hurd-Wood qui jouait déjà la victime du redoutable Jean-Baptiste Grenouille dans Le Parfum est très expressive, Pete Postlethwaite le chasseur de dinosaures dans Jurassik Park : Le Monde Perdu et l'inoxydable Max Von Sydow assurent dans leur rôle et tentent de sauver du naufrage le navet annoncé, mais on a quand même l'impression de suivre un téléfilm de M6 bien fait mais qui manque singulièrement de rythme. La réalisation est molle rien à voir par exemple avec Le Pacte des Loups de Christophe Gans produit par Samuel Hadida qui est également le producteur de Solomon Kane. Les combats sont répétitifs et pas super bien filmés, tout est téléphoné, on n'a aucune surprise et le héros est pourtant assez sympathique. La surprise est d'autant plus grande qu'il s'agit d'une adaptation du roman de Robert E. Howard le père de Conan le Barbare et de Sonia la Rousse, dont la puissance de l'imagination et le pouvoir évocateur est une tautologie. Le personnage de Kane inspiré doublement du Roi Salomon d'Israël et de Caïn le premier tueur sur Terre, s'avère être dans la littérature un puritain fanatique prêt à tout pour chasser et tuer les démons. Howard a rédigé sept nouvelles et Bassett aurait dû mieux s'en inspirer plutôt que de faire ce condensé sans âme et sans saveur.
"Solomon Kane" de Michael J. Basset avec James Purefox, Rachel Hurd-Wood, Alice Krige, Pete Postlethwaite et Max Von Sydow
1030.- Que faire à Paris pendant les fêtes de noël lorsqu'il fait un froid sibérien de -3°C ? Aller faire un tour sur les manèges du Parc Astérix pardi ! Grâce à Jean-No, nous avons pu bénéficier de places pour aller découvrir le deuxième parc d'attraction en France derrière Disneyland. Le célèbre parc imaginé par Albert Uderzo au début des années 80 a ouvert ses portes le 30 avril 1989. Il fête donc ses 20 ans cette année et cela tombe bien car je n'y avais jamais mis les pieds. A cause du froid et du vent, douze attractions étaient fermées au public essentiellement les rides les plus spectaculaires comme le Tonnerre de Zeus ou La Trace du Hourra. Le parc est composé de cinq mondes que nous avons pu fouler pendant la journée pour en apprécier les décors vraiment bien réalisés : La Gaule, L'Empire Romain, La Grèce, Les Vikings et A Travers Le Temps qui est un peu le fourre-tout de tout ce qui n'est pas dans la bédé mais au Parc. Arrivés à 11h, nous avons pu bien profiter d'une journée d'évasion car de nombreuses boutiques étaient ouvertes et suffisamment d'attractions couvertes comme le Pôle Express au cinéma 3D qui a pris un méchant coup de vieux face à Avatar, le train fantôme qui ne fait pas vraiment peur mais qui est très bien fait, Le Défi de César qui nous permet d'être enrôlé dans les troupes de choc de l'Empire Romain, La Galère des Vikings qui nous a mis un haut le coeur terrible surtout quand on était à la verticale avec Amal et Jean-No. Chichi n'a pas voulu essayer les rides qui secouaient un peu comme La Galère et Le Cheval de Troie qui ne dure qu'une minute mais procure des sensations bien fortes. On s'est fait une collation rapide aux Fastes de Rome, avec un astronomix délicieux maxi-burger à la romaine et on a bien applaudi devant La Trève de Noël, spectacle sur glace avec tous les personnages de la bédé très bien chorégraphiée. Les dauphins de Révérence nous ont bien fait rêver avec leurs sauts hors de l'eau et on avait le frisson pour les entraineurs qui n'hésitaient pas à plonger dans l'eau alors que nous grelotions assis immobiles sur les bancs. D'ailleurs à cause du froid, la parade de noël était réduite à trois chanteurs-danseurs et pas une trace d'Asterix ou d'Obelix dans les allées du Parc pour se faire photographier avec les enfants, juste les esclaves du parc qui nettoyaient inlassablement la neige pour permettre aux visiteurs de déambuler tranquillement dans ce beau décor de cinéma. Merci Jean-No pour ce moment inoubliable, sortir au Parc Astérix par -3°C, il fallait l'oser et on l'a fait par Toutatix ! Les photos sont sur Flickr.
1029.- La dernière superproduction de James Titanic Cameron a suscité la même attente que Star Wars en 1977, le résultat a dépassé mes plus folles espérances car ce film marque l'industrie cinématographique au même titre que Terminator 2 il y a dix-huit ans. J'ai eu le Wahouu Effect, j'ai été époustouflé ainsi que mon pote Nicolas "Bac+10" avec qui j'étais allé découvrir ce monument au Bretagne à la séance de 20h35 qui affichait complet. Ce n'est pas le film de l'année, c'est le film de la décennie, le cinéma a fait un bond en avant tellement l'expérience visuelle est hallucinante. A la sortie de la séance, on s'est regardés dans les yeux et on s'est dit "De retour à Paris !" tellement c'était maussade et que nous avions l'impression d'avoir passé 2h41 en forêt de Pandora. Je n'aime pas trop la forêt mais cette planète merveilleuse complètement créée en images de synthèse est tellement belle que l'on croit rêver tout en étant éveillés. Avec les lunettes 3D, l'illusion réelle d'évoluer avec les personnages est tangible. Le génial James Cameron nous a bien bluffé sur ce coup-là car le titre du film évoque un personnage dont le héros prend l'identité mais en fait il nous invite nous-mêmes spectateurs à prendre possession du corps du héros et à découvrir de nouvelles sensations qui nous font échapper à nos existences mornes et tristes. C'est le huitième film du réalisateur d'Aliens et il a coûté la somme vertigineuse de 300 millions de dollars. Le génie de cet homme est de nous prouver qu'il reste encore au cinéma des sensations à nous donner que nous n'aurons jamais chez nous devant notre écran même avec un home cinéma dernier cri. La 3D je connaissais car j'ai vu récemment Voyage au Centre de la Terre, Destination Finale 4 et Là-Haut dans ce procédé de restitution mais tous n'ont rien à voir avec la beauté graphique et poétique de Avatar. Au niveau de la technologie, nous étions équipés de lunettes actives c'est-à-dire avec des cristaux liquides qui cachent tour à tour l'oeil droit puis l'oeil gauche pendant que le projecteur alterne les images destinées à chacun des deux yeux avec une cadence de 48 images par secondes. Le confort visuel est excellent et la fatigue moindre. Pour ce qui est des acteurs, Cameron n'a pas explosé le budget en prenant des nouveaux visages : Zoë Saldana la jolie Uhura de Star Trek fait une sculpturale indigène bleue, Sam Worthington le premier rôle est loin du personnage de soldat bourrin gros bras il n'est pas tout à fait un inconnu car on l'a récemment vu dans Terminator Renaissance où il a sans doute été prêté par le génial des Terminator et Terminator 2, enfin dans des rôles secondaires on retrouve CCH Pounder vue dans Bagdad Café et la série The Shield qui interprète la shamane du clan Na'vi et Wes Studi le chef, le terrible iroquois dont j'adorais la réplique dans Le Dernier des Mohicans : "je tuerai cheveux blanc, je violerai sa femme et sa fille et je mangerai son coeur" ... charmant ! Jake Sully est employé de la Compagnie RDA Resources Development Administration et il débarque le 19 mai 2154 la première fois sur Pandora. Côté histoire, les plus blasés diront que le scénario est convenu, manichéen au possible et techno-écolobasique mais le plus fort est de nous faire voyager et de prendre notre esprit et le faire vagabonder dans un ailleurs totalement fantasmagorique. Je dis Waouhhhh !!!
La musique de la bande annonce est composée des trois morceaux suivants : 1) My Name is Lincoln et Steve Jablonsky (extrait de la bande originale de The Island)
2) Akkadian Empire de Audio Machine
3) Guardians at the Gate de Audio Machine Le générique de la chanson du film, "I see you" est interprété par Leona Lewis.
"Avatar" de James Cameron avec Sam Worthington, Sigourney Weaver, Zoe Saldana, CCH Pounder, Wes Studi et Giovanni Ribisi
1028.- Mensch est un peu La Vérité si je mens ! version truands, quoique l'action ne se passe pas exactement dans le Sentier, mais juste à côté dans le quartier des Grands Boulevards entre la rue Richet et la rue de Chateaudun vers les Folies Bergères. On y retrouve justement le Folie's Café où je prends parfois un verre avec Jean-Luc, Paul, Coco et d'autres amis du Lieu. Je n'étais pas vraiment tenté par le film avant de lire la critique par mon compère Rygo qui m'a définitivement convaincu de passer 87 minutes dans une salle obscure pour enfin voir un bon film de gangsters à la française, nerveux, avec du suspense, de beaux personnages et surtout un scénario béton. Le réalisateur Steve Suissa est né deux semaines après moi, cela fait drôle de s'en rendre compte car il a fait un film que j'avais envie de voir. Un long métrage sur le quartier que j'affectionne et sous un angle que je ne connaissais pas du tout. Je suis familier de la rue de Trévise par les spectacles du LIEU et du Théâtre Trévise, Suissa nous présente les sociétés familiales qui y subsistent dans l'alimentaire ainsi que les truands qui s'y réunissent pour y sceller leurs deals. Sara Martins qui joue la petite amie du casseur de coffre est très sensuelle, le trop rare Sami Frey est impérial dans le rôle du grand-père protecteur. Son jeu est fabuleux car son regard en dit long sur la souffrance du personnage qu'il porte depuis des dizaines d'années et ses deux face-à-face avec Bénichou et Cazalé sont des moments très forts du film. Anthony Delon est sobre et excellent dans le rôle de l'ami qui tente de remettre sur le droit chemin le jeune chien fougueux. Nicolas Cazalé n'a pas besoin de beaucoup de paroles pour incarner parfaitement son personnage. Ses yeux et l'expression de son visage traduisent les mille questions qui torturent son esprit. Raccrocher ou faire le dernier coup qui lui permettra de se retirer des affaires du milieu. Je ne me suis pas ennuyé en regardant cet excellent thriller d'un réalisateur à suivre.
"Mensch" de Steve Suissa avec Sami Frey, Nicolas Cazale, Myriam Boyer et Anthony Delon
1027.- FriendsClear, le célèbre site de petits prêts entre amis s'ouvre aux PME et met en relation entrepreneurs et investisseurs. A l'occasion du lancement de FriendsClear Pro, le tout nouveau service qui mettra en relation des porteurs de projets professionnels avec des internautes qui leurs prêtent de l'argent. La jeune et dynamique firme lance un jeu-concours destiné aux porteurs de projets innovants. Comment ça marche ? 1. L'entrepreneur présente son projet professionnel. Il expose les informations nécessaires pour convaincre de la pertinence de son projet. 2. Les internautes évaluent les projets et votent pour leur projet préféré. 3. Le meilleur projet gagne 10.000€. Que le meilleur gagne !
"FriendsClear Pro" by FriendsClear FriendsClear et FriendsClear Pro sont des marques déposées de la société FriendsClear
1026.- Le seul intérêt de ce film est vraiment de voir Jocelyn Quivrin dans son dernier rôle, du reste pas très sympathique et plutôt froid contrairement à son personnage de bon pote revenu d'entre les morts dans Incognito. Je l'avais croisé en chair et en os à l'occasion de l'avant-première sur les Champs Elysées grâce à ma pote Sarah. Le film d'Axelle Ropert sur une famille refermée sur elle-même du fait d'un père gentil mais oppressant est plutôt mou, il ne se passe pas grand-chose. La petite Léopoldine Serre joue bien et Valérie Benguigui égale à elle-même c'est-à-dire sensible et très femme. Le gamin qui joue le cadet quelque peu perturbé a un air de Gaspard Proust jeune. Je me suis quasiment endormi car cela parle beaucoup et François Damiens le comique belge prouve qu'il sait faire autre chose que du comique dans les superproductions de Luc Besson. Un film décevant à la fin car le scénario n'est pas très fourni.
"La Famille Wolberg" par Axelle Ropert avec Léopoldine Serre, Valérie Benguigui, François Damiens et Jocelyn Quivrin
1025.- Ben est un jeune humoriste épatant passé par les bancs du Jamel Comedy Club et du Fou du Roi de Stéphane Bern. Il a à peine trente ans mais son aisance sur scène et son jeu assuré constituent l'apanage d'un professionnel aguerri du rire. C'est un très bon comédien qui sait fait rire par un geste, une intonation ou un froncement de sourcil. La salle du Point Virgule pleine à craquer était pliée en quatre et il faisait mouche à chaque réplique de son show loufoque entre absurdité et moultes digressions bizarres. Il s'appelle Cédric Ben Abdallah à l'état civil et a choisi un nom de scène facilement identifiable surtout sans renier ses origines celtiques par sa mère, ce qui est tout à son honneur. J'ai passé un excellent moment en sa compagnie même si j'ai trouvé l'écriture peut-être pas toujours aboutie. Qu'importe, ce qui est primordial pour un comédien est sa présence sur scène, sa capacité à faire se déplacer les foules, son charisme et Ben sur tout ces plans est plein de promesses. Les histoires qu'ils racontent n'ont ni queue ni queue et sur le moment peuvent sembler vides de sens, il n'empêche qu'avec Alex et Jeanne dans la soirée on se remémorait en rigolant les expressions ou des moments qui nous avaient fait bien rire, c'est un très bon signe.
"Ben" au Point Virgule du mercredi au samedi à 21h15, 7 rue Sainte Croix de la Bretonnerie 75004 Paris
1024.- La dernière production de Luc Besson est loin d'être un film bourrin et n'est pas non plus un film facile, larmoyant, c'est un chef d'oeuvre sans fausse note du réalisateur roumain de Va, Vis et Deviens, Radu Mihaileanu. Partant sur un postulat totalement loufoque et improbable, il décrit les galères d'un orchestre russe qui doit monter un concert à Paris dans le prestigieux Théâtre du Chatelet. L'âme slave flotte au-dessus de ce film toute en sensibilité et sans aucune sensiblerie, c'est fin et authentique. J'adore la musique classique mais je ne connaissais pas le concerto pour violon de Tchaikovski que j'ai découvert à cette occasion. Mélanie Laurent mime très bien la soliste et les deux acteurs russes sont superbes Aleksei Guskov qui joue Andrei Filipov et Dimitry Nazarov. J'adoré, je me suis régalé pendant ces deux heures qui m'ont semblé magiques car Le Concert est vraiment un très beau film.
"Le Concert" de Radu Mihaileanu avec Melanie Laurent, Miou Miou, Aleksei Guskov et Dimitry Nazarov
1023.- Le patron du Grand Hôtel de l'Etoile à Courtenay m'a parlé de son escapade à Paris le 25 décembre prochain, j'ai fait un petit sondage auprès de mes amis et voilà la suggestion qui en est ressortie et que je soumets à votre sagacité :
- aller en voiture jusqu'à Porte d'Orléans, il n'y aura pas trop de monde sur les routes le 25 décembre - prendre des tickets de métro pour la journée et prendre la Ligne 4 direction Porte de Clignancourt - Descendre au métro Cité, visite de l'Île de la Cité, tour de l'île avec Notre Dame de Paris, le marché aux fleurs - marché sur le Pont Neuf, le plus vieux pont de Paris, direction Les Halles - Tour des boutiques des Halles, Visite de l'Eglise Saint Eustache où est enterré Fouquet et la rue Montorgueil très joliment décorée - prendre des croissants et des pains au chocolat chez Stohrer la patisserie préférée de la reine d'Angleterre - vers la rue des Petits Carreaux sur la rue Réaumur aller à gauche en direction de l'Opéra Garnier (12 minutes à pied) - aller vers Madeleine sur le boulevard des Capucines, passer devant l'Olympia - prendre le métro ligne 12 vers la Buttes Montmartre, descendre à Lamarck Caulaincourt - Visite de la Place du Tertre, la Basilique du Sacré Coeur - reprendre la rue Caulaincourt, passer près du cimetière Montmartre et reprendre le métro Place de Clichy Ligne 13 direction Châtillon Montrouge - Descendre à l'arrêt Champs Elysées Clémenceau - monter l'avenue des Champs Elysées avec les illuminations de noel, prendre une glace au Pub Renault - aller à L'Arc de Triomphe - chemin du retour : reprendre le RER A à Charles de Gaulle Etoile, direction Chatelet les Halles, puis la ligne 4 pour revenir sur Porte d'Orléans voilà !
"La rue et l'illégalité sont de bons raccourcis pour entrer dans les galeries quand on n'est pas un génie" Nasty
"Parler c'est mentir aux autres, penser c'est se mentir à soi-même" Pierre Faucher
"Avant, ma mère ne comprenait pas ce que je faisais maintenant je ne comprends plus ce que je fais" Nicolas Guillaume
"la cuisine c'est comme on aime et les femmes aussi...on mange avec les yeux avant de manger avec la bouche" Bonne Etoile
"Les cons c'est comme les bactéries, faut des conditions idéales pour que ça se développe." Mzelle Carla
"Quand t'as une femme ça te fait chier, quand t'en as pas ça te fait encore plus chier" Simon Lhermite
"pfff les nanas, c'est pas facile ...on passe son temps à se poser des questions, on a des appréhensions ...il faut passer outre, essayer de convaincre ... c'est dur ça !" Eric Sou
"On ne tombe pas amoureux, on le devient" Sandra Parker
Esch t'et yede morien a dolle ouf. Tous les jours un imbécile se lève. Joseph Weiss
"Il n'y a pas d'Amour, il n'y a que des preuves d'Amour." Jean Cocteau
"Je suis très doué pour les langues, mais cela se limite au français" Nicolas Guillaume
"Tu veux ta photo avec moi ? c'est 7$ avec mon polaroid et 2$ avec ta caméra !" Spiderman, sur Times Square
"Donne pas ton bagel aux pigeons, les pigeons c'est des connards !" Alix
"Parler c'est mentir. Réfléchir c'est mentir à l'autre" Pierre Faucher
"Les hommes sont prêts à tout pour faire l'amour, y compris aimer. Les femmes sont prêtes à tout pour être aimées, y compris faire l'amour" Boris, Philosophe
"Si l'on ne se voit pas souvent, c'est que ma tête est malade, pas mon coeur" Jean-Patrice Balhoo
"Tu manges pas tes trottoirs ?" Sylvie
"La recette du succes avec les filles, c'est du style et de l'assurance." Arnaud
"Ma copine c'est comme mon chien : il ne faut pas en dire du mal" lorenzo
"La vie est plus simple quand on a de l'argent" Fadila
"Arrivé à un age, ce que nous on trouve culte, d'autres le trouvent con" Eve
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