1047.- Même pas peur ... Et oui c'est la dernière ligne droite pour voter SAUTON au concours FriendsClear Pro, les bulletins ne pourront plus être remis après le dimanche 31 janvier à minuit, sous le contrôle de Maître Nadjar himself, huissier de Feu la Star Academy. Alors s'il vous plait, VOTEZ !!!
1046.- City Island est une petite ville de New York qui a la particularité d'être sur une toute petite île de un kilomètre carré faisant partie du Bronx. Les heureux habitants sont les descendants des pêcheurs qui y avaient élu domicile bien après les indiens Siwanoy et les colons anglais en 1642. Cette île de 5.000 habitants vivant dans de superbes demeures victoriennes est également célèbre pour ses quatre clubs nautiques. Ce cadre enchanteur sert de toile de fond à une comédie familiale jouée par Julianna Margulies l'ex-infirmière Carol Hattaway des Urgences que l'on voit de temps en temps au cinéma dans des genres aussi divers que les films d'horreur Le Vaisseau de l'Angoisse ou le loufoque Des Serpents dans l'Avion. C'est la première fois que je vois Andy Garcia le parrain dans un rôle comique et cela lui va bien, il est juste et parfois très drôle comme lorsqu'il passe l'audition dans un film de mafia tourné par Martin Scorsese. L'histoire me fait penser à la Totale où Thierry Lhermitte avait une vie secrète et découvre que chaque membre de sa famille a également des cachotteries et tout ce bel équilibre de petit mensonge est perturbé par l'arrivée d'un élément qui va tout dévoiler. On rit beaucoup dans cette comédie familiale et la fin ne laisse pas sur sa faim ce qui est déjà pas si mal. "City Island" de Raymond de Felitta avec Andy Garcia, Julianna Margulies et Steven Strait
1045.- Depuis Je suis une Légende et La Route, un nouveau genre de film est né, le genre post-fin du monde où l'action se situe après une catastrophe naturelle de type 2012 ou une guerre nucléaire. On assiste à la lutte des survivants pour rester debout au jour le jour si possible sans manger leurs congénères. Le casting est trois étoiles dans cette série B à 80 millions de dollars belle et bien réalisée avec ni plus ni moins le prestigieux Gary Oldman dans le rôle du méchant Carnegie, Jennifer Beals dans celui de son épouse aveugle, Malcom McDowell et les sorciers de Poudlard Michael Gambon - Albus Dumbledore lui-même - et Frances de la Tour, Madame Olympe Maxine. A noter la très belle photographie de Don Burgess, directeur photo du Pôle Express, Spider-Man, Terminator 3 et Seul au Monde entre autres, qui est très proche de celle de La Route. L'atmosphère de La Route était la dure quête pour la survie et en même temps une leçon de vie sur la transmission des valeurs de la vie entre un père et son fils, Le Livre d'Eli est construit comme une enquête policière avec des rebondissements. Il est très intéressant de savoir pourquoi tous les hommes se battent pour récupérer le livre d'Eli à tout prix et pourquoi il se bat avec l'énergie de la foi. Les combats sont filmés de manière graphique, ils n'occupent pas tout le film mais sont savamment dosés et leur quasi-absence ne fait pas défaut au fil de l'histoire. On peut trouver un peu lourd le discours sur le rôle de la religion qui va sauver l'Humanité ou même énorme le twist final, mais l'ensemble se laisse suivre avec plaisir. J'ai passé un bon moment en me délectant de la prestation de Gary Oldman dans le rôle du méchant qui rappelle Zorg du Cinquième Elément, le dictateur mégalo. La jolie actrice Ukrainienne Mila Kunis de Forgetting Sarah Marshall (Sans Sarah Rien ne va) est présente dans le rôle d'une future combattante de la liberté. Ce n'est pas le film de l'année et l'atmosphère de fin du monde est moins bien rendue que dans La Route mais Denzel et Mila valent le détour.
"Le Livre d'Eli" d'Albert et Allen Hughes avec Denzel Washington, Gary Oldman, Jennifer Beals et Mila Kunis
1044.- Depuis fin octobre, je suis en mission pour une usine japonaise qui fabrique des filtres à particules. J'ai la charge de mettre en place un système pour gérer les achats et les stocks et cela se passe assez bien car mes collègues sont tip top et les clients sont coopératifs. Mais assez parlé boutique, nous sommes en déplacement dans le Loiret et une petite bourgade de 3.500 habitants, Courtenay. Depuis trois mois de présence, nous avons pris nos habitudes surtout pour ce qui concerne les restaurants. Je tiens l'agenda des bonnes tables où nous avons nos habitudes, parfois La Gaieté, le bistrot gastro de la ville, L'Arcade avec son menu tout compris même le café à 12,40€, Le Poulbot avec en salle les sympathiques Corinne, Josselyne et Sandrine à la caisse. Mais le restaurant où nous sommes devenus de vrais habitués est avant tout La Goulue. La première fois que nous y sommes entrés, nous n'étions pas sûrs que c'était un vrai restaurant car il n'y a pas de terrasse, pas de devanture où l'on voit les gens attablés. Il faut monter un petit escalier de quatre marches pour pousser la porte d'entrée en face de laquelle Didier le gérant malin a disposé un poster de danseuses en plumes et paillettes. Cette première fois a été tout de même remarquable puisque Joël mon collègue et chef de projet de la mission a revu de façon inopinée des amis de vacances avec qui il avait bien accrochés mais dont il n'avait conservé aucune trace. Heureux hasard du destin qui le fit retrouver ses amis et nous amena à ce fameux restaurant. Au premier abord, c'est le menu qui nous avait frappé : 11€ avec l'entrée, le plat et le dessert service compris, le sourire d'Aurélie et la bonne humeur en prime. Peu à peu nous avons pris l'habitude de nous restaurer à cette excellente table de cuisine traditionnelle car Didier le chef depuis deux ans et demi sait accommoder les plats classiques et faire preuve d'une imagination pour nous en offrir une interprétation inédite et très appréciable à notre palais. Le plaisir est autant dans l'assiette que dans l'ambiance. Il n'y a pas de bruit comme à Paris et c'est vraiment sympathique de rentrer dans une maison en disant "bonjour !" à tout le monde et entendre tout le monde répondre tout de go. Aurélie en salle et Didier forme une équipe efficace ou plutôt formait jusqu'à ce soir mercredi 25 janvier. En effet la jeune femme de 19 ans a pris le parti de s'envoler de ses propres ailes et de reprendre une affaire à Triguères avec son copain cuistot. Après trois mois où elle avait l'habitude de nous voir quasiment tous les jours de la semaine, nous avons donc passé un dernier diner avec elle et un pincement au coeur. Pour l'occasion, j'étais passé chez Stohrer pour prendre des chocolats préférés de la Reine d'Angleterre qui ne manque pas d'en prendre lorsqu'elle passe rue Montorgueil à Paris. Ce matin je m'étais levé plus tôt également pour prendre une bouteille de Mumm au Casino de Courtenay pour offrir ma tournée. Nous avons passé une excellente soirée, l'ambiance était bon enfant avec les clients très fidèles de La Goulue. Pour l'occasion Josiane la maman d'Aurélie était venue dîner au restaurant de sa fille qui avait acheté des bouteilles à bulles pour nous les servir sans discontinuer. Quel plaisir vraiment de partager ce moment, nous sommes partis le coeur léger et un peu triste de laisser partir la petite Aurélie, non sans la féliciter car c'est une très belle aventure. Alors bon vent et bon courage, on viendra goûter aux délicieux mets de La Calèche de Triguères prochainement après l'ouverture du 1er mars ! Les photos sont sur Flickr. "La Goulue" à Courtenay, 5 place Armand Chesneau 45320 Courtenay 02 38 97 32 16 "La Calèche" à Triguères, 34 avenue de la Gare 45220 Triguères 02 38 95 32 23
1043.- Sur la même idée de base que Smoking / No Smoking d'Alain Resnais (1993) où Sabine Azéma et Pierre Arditi présentaient plusieurs versions de leur vie, le film du belge JcVD bénéficie d'une distribution prestigieuse et de confortables moyens - 33 millions d'euros soit 10 fois moins qu'Avatar ! - et cela se voit à l'écran. Le film est relativement soigné et les reconstitutions d'époque ou la vision futuriste de notre monde sont correctement rendus. Jared Leto est parfait dans le rôle-titre et promène son regard bleu azur dans tout le film à tous les âges sans nous perdre de vue, c'est plutôt le contraire en l'occurrence. Nous sommes noyés dans toutes les possibilités d'une vie. Van Dormael part de l'histoire d'un petit garçon qui voit ses parents se disputer et a le choix entre rester avec son père en Angleterre ou partir vivre avec sa mère en Amérique. Il ne sait quel alternative prendre et il prend les deux, ce génial et absurde point de départ aurait pu nous donner un film beau et tendre comme Un Jour Sans Fin de Harold Ramis où Bill Murray ne cesse de revivre la même journée toute sa vie. Malheureusement, faute d'un fil conducteur puissant et une fin plausible, on assiste à une accumulation d'idées éparses, de digressions sans fin qui ne débouchent sur pas grand chose. Et pourtant parfois elles sont bonnes comme la réelle histoire entre Anna et Nemo, le soin émouvant du jeune Nemo pour son papa handicapé ou les explications sur l'entropie, le big crunch. Le film est long mais expose suffisamment de scènes pour que l'on ne s'ennuie pas vraiment. A la fin on n'a rien compris mais on ne trouve pas cela génial, on reste mitigé car les acteurs sont bons, il y a de bonnes idées mais là encore, le manque cruel de scénario et de finalité à l'histoire fait cruellement défaut. Je n'ai pas aimé et contrairement à l'accroche de l'affiche qui disait "comme si Kubrick avait fait un remake de Benjamin Button", je n'ai rien trouvé d'aussi beau et poétique que le film fantastique de David Fincher. De plus la musique est énervante car elle n'est qu'une accumulation de tubes écoutés, réécoutés et encore usés jusqu'à la moelle que ce soit dans le classique ou dans le pop rock. A tous les producteurs d'Europe, donnez donc vos fonds à de jeunes réalisateurs qui savent raconter des histoires.
"Mr. Nobody" de Jaco Van Dormael avec Jared Leto, Linh Dan Pham, Sarah Polley et Diane Kruger, sortie le 13 janvier 2010
1042.- Le Pranzo c'est une pizzeria à côté de chez moi reconvertie en salle de comédie et ça marche ! J'y ai déjà vu Julien de Ruick alias JDR dans son one-man l'année dernière et j'y suis retourné vendredi 8 janvier 2010 pour une émission consacrée au comique qui monte chez Juste Pour Rire, Vérino qu'Olivier Sauton (votez Olivier !) m'avait présenté à la sortie du show musical de Gregory Charles, artiste canadien et autre vedette de l'écurie de JPR. Vérino est un jeune homme qui écrit ses sketches et les interprète, il a surtout changé de style capillaire depuis qu'il est passé d'un look Olivier Balestriero de jeune VRP à une chevelure très garnie en bouclettes. Il est pas mal en effet, saute dans tous les sens et a de la présence sur scène. Pour cette soirée qui lui était consacrée comme l'on célèbre un Henri Salvador après 70 ans de carrière, il était fort bien accompagné notamment d'autres jeunes comédiens performants : Marc-Antoine Le Bret, un jeune imitateur originaire des Côtes d'Armor qui fait un JCVD plus vrai que nature et un Franck Dubosc en parrain désopilant de Vérino, Guillaume Maurice dans un sketch sur la Mort et surtout Donel Jack'sman pour qui j'ai eu un coup de coeur parmi tous ces talents du rire. Sa prestation de quelques minutes sans aucun temps mort et dans un débit agréable m'a donné envie de voir son one-man. Nous avons eu droit à une succession de sketches de ces talentueux comiques entrecoupés d'intervention de Zaza Pontonnier qui réalise des interviews fraiches et avec un humour léger et agréable dans son Zazaping. Une excellente soirée donc comme on aimerait en passer beaucoup d'autres, merci les artistes ! Les photos sont sur Flickr.
"Jublié Vérino" au Pranzo le 8 janvier 2010 présenté par Zaza
1041.- Le premier long métrage de la petite fiancée d'E.T. est un coup de génie. Drew Barrymore excelle dans la direction d'acteurs tout en gardant son côté complètement foldingue à l'écran. L'ensemble est bien construit et l'on suit avec un énorme plaisir de cette petite texane qui cherche à échapper à son trou au travers d'une passion qui se présente à elle, le Roller Derby un jeu agressif qui a des airs de Rollerball. Dès les premières minutes, on ne peut détacher les yeux de cette petite brunette bien mignonne qui a l'air trop gentille derrière ses petites lunettes et qui se plie aux volontés de sa mère à participer à des concours de beautés locales. Dans les rôles des parents, Marcia Gay Harden qui était Madame Stallone dans Arrête où ma mère va tirer et Daniel Stern qui jouait le cambrioleur dans Maman, j'ai raté l'Avion. Il n'y a aucun temps mort dans ce petit bijou, que ce soit dans les scènes d'action pendant les matches ou dans les scènes intimistes où la petite se rebelle contre sa famille. Cela fait également plaisir de revoir Juliette Lewis qui n'avait pas fait grand chose depuis Strange Days et Une Nuit en Enfer des films de 1996. La bande-son du film est vraiment excellente à tel point que j'ai récupéré tous les morceaux que voilà : 1 Pot Kettle Black - Tilly and the Wall 2 Sheena Is a Punk Rocker - The Ramones 3 What's the Altitude - Cut Chemist featuring Hymnal 4 Bang On - The Breeders 5 Dead Sound - The Raveonettes 6 Blue Turning Grey - Clap Your Hands Say Yeah 7 Your Arms Around Me - Jens Lekman 8 Learnalilgivinanlovin - Gotye 9 Boys Wanna Be Her - Peaches 10 Jolene - Dolly Parton 11 Caught Up in You - .38 Special 12 Never My Love - Adam Green, Har Mar Superstar 13 Black Gloves - Goose 14 Crown of Age - The Ettes 15 Hightimes - Landon Pigg and the Turbo Fruits 16 Unattainable - Little Joy 17 Lollipop (Squeak E. Clean & Desert Eagles Remix) - The Chordettes 18 Doing It Right - The Go! Team 19 Breeze - Apollo Sunshine J'ai eu des frissons à plein de moments en regardant ce film et les applaudissements de fin ne sont pas volés, bravo les Miss Drew Barrymore et Ellen Page et continuez comme cela !
"Bliss" de Drew Barrymore avec Ellen Page, Drew Barrymore, Juliette Lewis, Daniel Stern et Marcia Gay Harden
1040.- Presenté comme le nouveau chef d'oeuvre par les critiques du réalisateur de Ouvre les Yeux qui a donné l'idée à Vanilla Sky et Les Autres, ce long métrage est d'abord long et à plusieurs reprises j'ai lutté pour ne pas m'endormir dans mon confortable fauteuil bercé par les délicates fragrances de mes voisins de visionnage dont celui de gauche qui ronflait dès le début. Rachel Weisz découverte dans La Momie, est très belle et crédible en Hypathie la philosophe païenne qui découvre les secrets de l'univers tandis que les chrétiens, les juifs et les païens se déchirent dans des luttes fratricides mortelles. La reconstitution est bien faite, on apprend plein de choses dans ce film intellectuellement supérieur mais il est assez rasoir dans l'ensemble et je n'ai pas vraiment adhéré à l'ensemble. Max Minghella qui joue Davus l'esclave est très expressif et heureusement puisqu'il doit avoir deux ou trois répliques dans tout le film tout en étant le second rôle. Rupert Evans qui joue Synesius fait beau gosse à la Brad Pitt et Oreste - Oscar Isaac ressemble à Rufus Sewell. Je vous conseille donc d'économiser vos 9.90€ pour voir autre chose que cette belle leçon d'histoire certes intéressante mais pas très passionnante.
"Agora" d'Alejandro Amenabar avec Rachel Weisz, Max Minghella, Oscar Isaac, Rupert Evans et Michael Lonsdale
1039.- Comme vous le savez, j'ai une activité annexe de régisseur de théâtre et je développe avec mon compère OLIVIER SAUTON un projet de société de production visant à promouvoir son one-man-show comique en France et en Navarre.
OLIVIER SAUTON c'est un travailleur acharné et sérieux qui commence à prendre de l'ampleur, il joue dans divers festivals et en ce moment au POINT VIRGULE, gage de son sérieux et d'une certaine reconnaissance qu'il a acquis à la force du poignet. Pour encore franchir une énorme marche, nous avons besoin de vos votes pour remporter les 10.000€ du concours FriendsClear Pro qui lui permettra de s'auto-produire dans de plus grandes salles, cela vous prendra juste 30 secondes et nous permettra de réaliser un vieux rêve. Merci
1037.- La formule est bien trouvée et c'est mon compère runner Xuoan Duquesne qui nous l'a concotée spontanément pour nous pousser à prendre le dessus sur notre frilosité naturelle et à sortir faire le premier run de l'année 2010 au Jardin des (belles) Plantes. Ce dimanche nous étions cinq à faire nos 10 km du dimanche avec Jean-Christophe Capelli,Cédric Ringenbach, Gérald Bonne Etoile et Xuoan. Lors des étirements de fin de séance, Gérald et moi nous l'avons pris au mot et nous avons décidé de lancer d'un commun accord un groupe sur Facebook en reprenant cette jolie maxime avec l'accroche suivante :
"Pour les Running Boys & Girls, je vous propose de lancer un pari fou fou, boucler 2010 km entre le 1er janvier et le 31 décembre 2010 !!! 39 km par semaine ou l'équivalent de 48 marathons dans l'année, ca le fait grave sur une idée folle de Xuoan Duquesne ! Rejoignez ce groupe pour courir avec nous ou bien pour nous soutenir et crier "Cours Forrest ! Cours !""
Le pari est lancé, à nous de voir si nous pourrons le tenir. Déjà pour moi ce n'est pas gagné puisqu'à Courtenay il fait entre -4 et - 8°C et que si je veux garder le rythme je dois me lever le matin à 5h30 pour courir une heure entre 6 et 7h du matin, Mama Mia. Il y a déjà 21 membres au 4 janvier, participants ou supporters prêt à nous encourager pour cette entreprise qui relève plus du n'importe quoi que du véritable exploit sportif. On va y arriver, courage ! Rejoignez le groupe "2010 km en 2010 !"
"La rue et l'illégalité sont de bons raccourcis pour entrer dans les galeries quand on n'est pas un génie" Nasty
"Parler c'est mentir aux autres, penser c'est se mentir à soi-même" Pierre Faucher
"Avant, ma mère ne comprenait pas ce que je faisais maintenant je ne comprends plus ce que je fais" Nicolas Guillaume
"la cuisine c'est comme on aime et les femmes aussi...on mange avec les yeux avant de manger avec la bouche" Bonne Etoile
"Les cons c'est comme les bactéries, faut des conditions idéales pour que ça se développe." Mzelle Carla
"Quand t'as une femme ça te fait chier, quand t'en as pas ça te fait encore plus chier" Simon Lhermite
"pfff les nanas, c'est pas facile ...on passe son temps à se poser des questions, on a des appréhensions ...il faut passer outre, essayer de convaincre ... c'est dur ça !" Eric Sou
"On ne tombe pas amoureux, on le devient" Sandra Parker
Esch t'et yede morien a dolle ouf. Tous les jours un imbécile se lève. Joseph Weiss
"Il n'y a pas d'Amour, il n'y a que des preuves d'Amour." Jean Cocteau
"Je suis très doué pour les langues, mais cela se limite au français" Nicolas Guillaume
"Tu veux ta photo avec moi ? c'est 7$ avec mon polaroid et 2$ avec ta caméra !" Spiderman, sur Times Square
"Donne pas ton bagel aux pigeons, les pigeons c'est des connards !" Alix
"Parler c'est mentir. Réfléchir c'est mentir à l'autre" Pierre Faucher
"Les hommes sont prêts à tout pour faire l'amour, y compris aimer. Les femmes sont prêtes à tout pour être aimées, y compris faire l'amour" Boris, Philosophe
"Si l'on ne se voit pas souvent, c'est que ma tête est malade, pas mon coeur" Jean-Patrice Balhoo
"Tu manges pas tes trottoirs ?" Sylvie
"La recette du succes avec les filles, c'est du style et de l'assurance." Arnaud
"Ma copine c'est comme mon chien : il ne faut pas en dire du mal" lorenzo
"La vie est plus simple quand on a de l'argent" Fadila
"Arrivé à un age, ce que nous on trouve culte, d'autres le trouvent con" Eve
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