304. - Comme le dirait la chanson de Bernard Lavilliers, encore sur la route. Mon ordre de mission est tombé, à compter de lundi et pour terminer ma période de préavis, je démarre une nouvelle mission chez un acteur majeur des télécommunications qui a énormément d'implantations en France. Il a déployé une solution en Pologne et je vais intervenir au sein de l'équipe finances, sur des documents de spécifications en anglais dont je vais assurer ... la traduction en français.
Cela me sidère mais no soucy, je vais effectuer mon travail de la manière la plus sérieuse qui soit et la plus rapide. C'est toujours mieux que de venir pointer à Suresnes de 11h à 16h tous les jours depuis novembre. Cela s'appelle l'intercontrat et c'est dans cet état que se trouvent les intermittents du spectacle sans représentation dans notre activité. Ce sont les risques du métier !
D'habitude cette période n'excédait guère trois semaines, dans ma PME manifestement elle est un peu plus longue. Cela me fait plaisir donc de changer d'environnement, de voir de nouvelles têtes et de facturer un peu le Client.
A 9h je visite rue Montorgueil un appart de 72 m2 commercialisé par Saggel-Nexity dont j'ai vu l'annonce. Il s'agit d'un 1948 acheté libre 418 000 euros et le vendeur me fait un prix d'ami ... à 480 000. Il y en a qui ne doutent de rien quand même .
Le copain d'une copine a retrouvé un job après près d'un an de chômage.
Message d'une "amie" à cette annonce : "Ah super, maintenant que tu es sorti de la précarité, tu vas nous reparler !"
Il parait que cela s'appelle un "Private Joke" dixit la poétesse. J'ai connu les errements et les interrogations du chômage pendant 18 mois en 1996-97. J'avoue que j'ai réfléchi et je ne sais pas où il faut rire, entre le point ou la virgule.
euh bizarre le private joke!!
moi je trouve que c'est le contraire....
Ya que quand on est bien que les gens nous parle...quand tout va...
quand ça va pas, ya plus grand monde...
c'est bateau ce qui je dis hein???
quand j'étais au chomage on me parlait pas...
quand je racontais mes malheurs (que tout le monde traverse....) aussi...
le peu de personne qui était là sont encore là.... les autres : du passage
Rédigé par : Sandra PArker | 26 janvier 2007 à 18:11
Sandra PArker => Moi itou, quand j'ai été viré de Arthur, les gens faisaient comme si je n'existais pas à la cantine, à la cafét ... très classe. Sauf mon pote Vince qui a toujours été présent. Ce genre de considération à ce moment-là tu ne l'oublies pas.
Rédigé par : giao | 27 janvier 2007 à 00:08
alors tu pars en pologne c'est ca??
Rédigé par : celine | 28 janvier 2007 à 20:17
Celine => Ah la Pologne et les polonaises, cela m'aurait bien dit, mais ce sera plutôt l'Italie dans un premier temps puis l'Espagne ... En route vers de nouvelles aventures !
Rédigé par : giao | 29 janvier 2007 à 00:51