Après mes foulées charentonnaises où je me suis bien donné, je me devais de courir à un rythme plus relax. J'étais parti le matin pour 10 km comme je me sentais bien, j'ai continué et fait mon tour jusqu'à l'Île Saint Germain en rentrant par les Halles. Bêtement à la question de mon Garmin : "Êtes-vous en intérieur ?" j'ai répondu "oui" et mon GPS ne m'a pas localisé donc je n'ai pas de tracé sur la carte, ni la vitesse et l'allure. Bonnes sensations, les jambes déroulent toutes seules le parcours.
Avec Gérald et Xuoan, j'ai pris l'habitude de courir le mardi soir selon l'entraînement suivi par Xu pour le Marathon de Paris 2011. Ce soir c'était donc un fractionné avec dix répétitions de sprint pendant 15 secondes suivies d'un temps de récupération relativement confortable de 45 secondes. J'ai plus l'habitude de faire une récup en moins de temps que pendant l'allure soutenue. J'en profite donc pour aller un peu vite entre 18 et 24 km/h.
Je retrouve le groupe OVS du mercredi soir qui fait un footing hebdo sur le Champ de Mars, c'est Nicolas "CaptainNemo" qui organise la sortie et nous sommes assez nombreux dix coureurs dont trois filles. Le premier tour est assez cool à 8-9 km/h pour que tout le monde suive le même rythme. Lors du second tour, Michel lance une accélération légère à 11 km/h et pour le troisième François et Hervé "Kinley" sont présents pour l'emballage de la dernière ligne droire. Je me tenais en embuscade à l'arrière du peloton et je remonte le groupe juste derrière les deux kenyans.
C'est le jour de la grande sortie où je décide de faire mon grand tour. J'ai un peu de mal sur la fin au 20ème km et je décide de couper mon tour au Pont des Arts au lieu de tourner un pont plus tard. Je ne trouve pas mon rythme mais termine quand même mon chemin relativement serein.
Samedi matin à 10h30 c'est le groupe OVS d'Emilie à Montsouris. Il pleut et il vente donc on n'est pas nombreux, juste Ivan le clerc-tennisman qui court vite et Emilie qui court à 11,5 km/h en moyenne sur le parcours. Suite aux recommandations de Yahia un ami chevronné qui a fait un 7 km en 22 min à 19 km/h, je décide de ne faire que des accélérations en côtes. La partie côte fait à peu près 540 mètres et la descente 960 mètres. Je la fais en deux fois avec une pause au milieu. A cause de la pluie qui embête tout le monde, on ne fait que quatre tours au lieu des six habituels mais Ivan et moi arrivons à bien sprinter sur les deux parties de la montée. Superbe exercice à refaire dès la semaine prochaine sur les six tours cette fois.
je cours deux fois, je m'attendais à faire un fractionné avec le Nike Running Club Paris mais tout le monde est embarqué sur de la PPG, préparation physique générale on fait des montées d'escalier, du squat, des abdos, du renforcement musculaire. C'est bien mais je suis un peu déçu car ce que j'apprécie au NRCP c'est le niveau relevé des coéquipiers, la compétence des entraineurs et surtout leurs exercices de fractionnés qui me font vraiment progresser au prix de quelques tripes laissées dans le Jardin des Tuileries. L'après-midi je retrouve mon ami Gilles Masson rencontré aux Foulées Charentonnaises et il me fait faire un tour du Bois de Vincennes avec une montée jusqu'au promontoir qui donne une belle vue de Paris et sur le Château de Vincennes.
Je boucle la semaine content et pas trop fatigué prêt à attaquer la deuxième.
1199.- Ce dimanche 13 fevrier la veille de la Saint Valentin, j'ai participé à la course des Foulées Charentonnaises qui se passait dans la ville de mes amis Céline, Nicolas et Yann. C'était la troisième course de la saison 2011 et la distance à courir est peu commune, 15 km cela change des classiques 10 km ou des 20 km et semi-marathons de 21,1 km. Sur OVS je m'étais inscrit à la sortie de Valrie une runneuse qui avait mis en ligne tous nos objectifs et après un 44m55s encourageant aux Foulées de Vincennes, je visais raisonnablement un 1h10 pou r 15 km en espérant passer sous les 1h15. Les 15 km je les fais régulièrement en entrainement mais mon meilleur temps constaté est de 1h22. Passer sous les 1h15 me paraissait réaliste, en revanche sous les 1h10 c'était possible sur le papier puisque cela faisait une vitesse moins rapide que celle que j'avais réussie à tenir sur le 10 km de Vincennes (12,86 km/h contre 13,36 km/h).En course à pied, c'est sûr que l'on peut faire ses petites additions dans son coin mais ce qui compte en définitive c'est la forme du moment et le dénivelé du circuit.Le pari était donc un peu fou mais pas complètement irréaliste au vu de mes dernières performances. En arrivant au métro Charenton-Ecoles, je croisais plein de gens que je connaissais et cela réchauffait l'ambiance, on en avait tous besoin puisqu'il devait faire 3°C dehors : Monique, Anne-Gaëlle, Victor et Philippe, Florence Flobisounours, Jacky Lyliom, Nicolas koridwen qui visait 1h10 comme moi et qui était vêtu d'un tee-shirt vert fluo comme le mien ! Je ne pars plus à froid et prends l'habitude de m'échauffer avant chaque course quelle que soit la distance. Pour les 10 km et les semis, je fais dix minutes au trot et 3-4 accélérations à fond les ballons soit 22 km/h sur des lignes droites. Cela me permet de faire monter le coeur et d'attaquer la course directement avec un bon rythme. Quelques minutes avant le coup de feu, je me suis mis dans le peloton avec Philippe Fil75 qui court tous les samedis matin à Montsouris avec Emilie et moi entre autres. Dans le gymnase au moment du retrait des dossards On a prévu de partir ensemble, après que le coup de feu ait retenti nous avons piétiné une vingtaine de secondes pour atteindre les tapis de mesure et j'ai déclenché mon chrono à ce moment.Il y avait peut de monde donc on a pu s'extirper bien vite de la foule, toujours par la gauche. Je suis parti comme une balle c'est peu de le dire avec un premier kilo en 4:06 (soit 14,63 km/h) et un deuxième encore plus rapide à 3:58 (soit 15,13 km/h) jamais je n'ai été aussi rapide en course !A tel point que j'ai rattrapé mon ami Nicolas qui avait lâché Yann et Vincent dès le début en partant comme une trombe. Je l'ai dépassé en faisant l'effet running man slow motion au passage avec un gros clin d'oeil et un "Coucou Nicolas !", trop drôle. Je faisais la course en tête devant mes potos, j'étais bien jusqu'au 5ème km où j'ai entendu une voix familière qui me sussurait dans l'oreille : "C'est bien ces petites fioles, il est temps de passer à la seconde !"C'était Nico qui m'avait remonté et qui me dépassait à ce moment-là !!! Nicolas en plein effort, juste après m'avoir dépassé à l'entrée de la ville de Charenton, il garde un oeil dans ses rétroviseurs pour guetter le souffle du phacochère ! Je n'avais plus de jus pour relancer mais pour autant, je ne le perdais pas de vue et gardait espoir de le dépasser sur la toute dernière ligne droite. A partir de ce point, j'ai continué sensiblement à décliner jusqu'au 8ème kilo où Vincent m'a rattrapé lui-même pas très frais. Heureusement nous arrivions au ravitaillement et je me suis arrêté pour boire le verre d'eau gentiment servi par un sympathique bénévole. Mes forces et mes jambes sont revenues et j'ai pu enfin redémarrer ma folle course.Je n'ai pas eu trop de difficulté sur la deuxième moitié de course et surtout j'ai pensé à mouliner des bras pour maintenir une bonne vitesse après être descendu à 4:44 soit 12,68 km/h . Philippe avec qui je suis parti, termine en un formidable 1h12 ! Je n'ai pas assez anticipé mon sprint final à 16,8 km/h ce qui fait que j'ai sans doute perdu un peu de temps sur la fin.Je dois remercier le numéro 876 qui m'a servi de lièvre entre le 10 et 13 car je ne le lâchais pas, de même le non-voyant qui courrait avec son accompagnateur à une vitesse de 13 km/h. Son partenaire n'arrêtait pas de l'encourager et je prenais pour moi tous les bons conseils qu'il prodiguait, cela m'a bien aider à tenir jusqu'à la fin.Verdict final, je visais 1h10 et j'ai terminé en 1h07m55s ! De plus sur les 10 km, je voyais sur mon Garmin un temps extraordinaire de 43m47s j'avais pulvérisé mon record de 10 km en courant un 15 km, "c'est couillu" comme dirait Lilian. Mon sprint final à 16,8 km/h juste devant le non-voyant guidé par son partenaire Tous mes potes ont fait des super temps Monique signe un joli 1h17, Victor 1h13, Hervé 58m, Yann 1h05, Nicolas "Bac+10" 1h06, Vincent 1h07, Anne-Gaëlle 1h30, Virginie Inzemoud 1h25, Philippe Fil75 1h12, Gilles 1h17, Nicolas CaptainNemo 1h11, Jacky Lyliom 1h12 Course très satisfaisante donc et de bon augure pour mon prochain semi-marathon de Paris le 6 mars prochain avec tous les copains ! (crédit photos : Xuxu) Les splits de ma course :
1196.- J'ai couru les Foulées de Vincennes ce dimanche. J'avais arrêté l'entrainement après les 43 km courus en un jour mardi dernier et le footing de récupération avec William le long des quais de Seine le lendemain soir. J'aime bien cette ambiance, quand j'arrive sur la place de la Mairie de Vincennes, les tentes sont montées, le présentateur fait ses annonces dans le micro et tout autour les coureurs s'agitent et commencent à échauffer. Il est 9h25 et la course démarre à 10h45. Je récupère mon dossard dans une salle annexe, le temps de me préparer en fixant la puce sur la chaussure et le dossard sur mon maillot vert fluo des Enfants du Mékong, je ressors prendre l'air direction les marches où nous nous sommes donnés rendez-vous avec les copains du Nike Running Club. Je croise Alain Legrand la fameuse moustache la plus rapide de Paris que je connaisse qui court avec un gamin en me lançant "tu as vu ? j'entraine la relève !" Un tour aux commodités et je rejoins la joyeuse troupe des gazelles de Marrakech : Hodha et les soeurs Jouot Sandrine et Cécile. Tout le monde est là : Alessandro, Running Guy, Jean-Pierre Run Reporter Run Giorgi et même Folly Teko que je rencontre pour la première fois en chair et en running. Tout le monde porte des Nike, j'ai choisi de courir en AdiZéro aujourd'hui pour dire adios à mon précédent record de la distance, 45'09'' qui date d'il y deux semaines. Je retrouve Philippe du groupe OVS avec qui je cours le samedi matin à la sortie d'Emilie à Montsouris et mes potes Gérald et Victor avec qui j'ai l'habitude de faire des courses depuis plusieurs années. Xuoan n'est pas là car il estime qu'un dix kilomètres, ce n'est que pour les enfants. Bientôt le départ et je m'échauffe avec Phil et Vic autour de la mairie et un peu dans le bois de Vincennes qui est juste à côté. Quelques accélérations à 18-20 km/h pour faire monter le palpitant et je suis prêt à fouler le bitumes avec mes chaussures ultra-légères qui ont permis à Haile Gebreselassie de battre son record du monde au marathon en 2h03m59s à Berlin en 2008. Elles font 210 gr la chaussure mais je m'y sens moins confortable que dans les Asics Gel DS-Racer 8 avec lesquelles j'ai battu mon record des 20 km de Paris en octobre. Muni d'un gel Aptonia Energy avec lequel je compte terminer les 10 kilos sans coup de mou, je me place sur la grille de départ parmi les anonymes du sas bleu alors que mes potes sont en vert car ils se sont inscrits sur des références de 46-45 minutes. Pour ma part, j'avais indiqué ma "vieille" marque du RuninLyon de 49'17''. Comme il y a deux semaines dans le XIVème arrondissement de Paris, la course consiste en une boucle de 5 km à faire deux fois et quel plaisir, c'est roulant et plat voire en descente avec un mini-faux plat montant à la fin de la boucle au retour devant la mairie de Vincennes. Je me fraye difficilement un chemin dans la cohue du début et je suis un groupe de dissidents qui s'extirpe de la mélée et attaque par le trottoir de gauche, nous sommes à 4:43 sur le premier kilomètre soit un poussif 12,72 km/h petite attaque pour commencer. Je poursuis les deuxième et troisième kilomètres à 4:30 et 4:14 soit 13,33 puis 14,17 km/h. Ensuite je n'ai pas arrêté de décliner entre les km 4 et 7 en passant de 13,53 à 12,85 km/h je sentais le coup de mou arriver comme aux 10 km du 14ème j'ai donc avalé mon gel Aptonia spécial coup de fouet dans le 7ème km en prévision de l'envolée des trois derniers. L'effet a été rapide, j'ai senti le moral revenir et tous ceux que je suivais devant moi commençaient à faiblir quand j'ai pris le meilleur de moi-même et ai pu les remonter pour les dépasser un par un à la vitesse de 13,89 km/h au huitième kilomètre. A ce moment je me sentais vraiment bien mais j'ai hésité à me lâcher plus pour aller jusqu'à l'essoufflement car j'avais peur de me perdre et de ne pouvoir tenir le rythme. Je me suis donc économisé jusqu'à la fin en accélérant sur les derniers 100 m à 18,2 km/h. Conclusion : je bats mon précédent record de 14 secondes, je passe sous la barre fatidique des 45 minutes avec un 44'55'' (temps officiel) qui me prouve que la perf réalisée il y a quinze jours n'était pas qu'un simple accident mais je suis déçu car j'ai clairement l'impression de m'être économisé et de ne pas avoir donné la pleine mesure compte tenu du fait que le parcours était très roulant et propice à un super temps contrairement au 14ème où il y avait deux faux plats montants. En bref, je suis content mais réaliste et surtout conscient qu'il y a un travail important de soutien à réaliser pour aller encore plus vite et plus longtemps. La prochaine course ce sera dimanche prochain aux Foulées Charentonnaises, cette fois sur 15 km que j'espère boucler en 1h10. Yalaaahhh ! Bravo aux copains qui ont très bien couru : Cécile en 51' , Sandrine en 1h01', Hodha en 57' après avoir arrêté complètement pendant trois semaines, Roberto en 40'39'', Guy et Jean-Pierre qui ont battu leur record respectif en 38'34'' et 38'16'' soit 15,68 km/h en moyenne quand même, Philippe en 47', Victor en 48', Monique en 50' et Gérald en 47' le même temps que l'année dernière avec dix kilos en plus chapeau. Pour finir je remercie Folly Teko que j'ai croisé pour la première fois en live et qui m'a donné un coup de boost supplémentaire en me donnant une tape sur l'épaule dans les derniers 200 m en me souriant gentiment, c'est m'a fait chaud au coeur et m'a bien revigoré pour la fin, merci man ! Résumé de la course sur mon Garmin. Comparatif de la vitesse 10 km du 14ème et Foulées de Vincennes : J'avais bien plus la pêche en janvier qu'en février ! Résultats des Foulées de Vincennes sur TopChrono.biz
1193.- Ce dimanche, j'ai participé à ma première compétition de l'année 2011 les 10 km du 14ème. J'avais pour objectif de faire mieux qu'au RuninLyon du 03 octobre dernier avec Maxence et Raphaël où j'étais passé sous les cinquante minutes en 49'17'' soit 12.17 km/h de moyenne. Cette fois, je m'étais bien échauffé en courant dix minutes au trot et en faisant quatre accélérations à 20 km/h et cela a payé. J'étais serein, en attendant devant la sanisette Decaux près du départ j'ai vu mes collègues du Nike Running Club Paris Jean-Pierre, Guy et Alain qui faisaient leur repérage du parcours. En allant au point de rendez-vous de la sortie Ovs de Laetitia, j'ai croisé Philippe avec qui je cours à Montsouris le samedi matin, Jacky et Florence. Je me suis échauffé un peu avec cette dernière quand j'ai vu Pascal le Coyotte qui s'est mis récemment à la course à pied avec pour objectif de terminer son premier marathon en moins de quatre heures. Profil des 10 km du 14ème J'ai retrouvé Emilie ma runneuse préfére du Parc Montsouris le samedi matin devant la mairie et sans voir pris le temps de s'échauffer, nous nous sommes placés loin derrière la ligne de départ car une demi-heure avant les plus pressés avaient commencé à s'agglutiner pour ne pas être gênés par la cohue du début. Emilie avait pour objectif de faire moins de cinquante minutes et c'était chaud car il ne fallait pas trop perdre de temps dans l'embouteillage des premiers mètres. Le coup de feu a retenti et j'ai commencé à stresser car nous étions toujours à l'arrêt. Quand ce fut à notre tour de passer devant le tapis de chronométrage, je déclenchais mon GPS et c'était parti, j'ai pris mes jambes à mon cou et je me suis faufilé comme j'ai pu parmi la foule compacte. Un coup d'oeil derrière moi et j'avais déjà perdu Emilie et Pascal qui s'étaient alignés en même temps. Quand j'ai eu un peu de visibilité j'ai donné un coup d'accélération jusqu'à me retrouver entre coureurs à la même vitesse relative. Nous allions plutôt vite car j'avais réglé le bip de mon Garmin à la vitesse rapide de 15,3 km/h et il n'arrêtait pas de sonner en indiquant que je franchissais souvent cette limite fatidique. Le parcours était plutôt roulant et je courrais tout du long avec quasiment les mêmes personnes. Vers la fin de la boucle, on avait un faux plat montant mais mon entrainement au Parc Montsouris était suffisant pour dépasser les coureurs qui ralentissaient irrémédiablement. C'est un point que je dois tout de même travailler les accélérations en côte. Ce dimanche j'ai fait une course "propre", je n'ai pas utilisé de gel pourtant mon coach m'avait acheté des Aptonia de chez Décathlon, j'aurais dû en prendre un sur moi car j'ai clairement ressenti un coup de mou au 7ème km. Mon prochain 10 km ce sera les Foulées de Vincennes le 6 février mais j'entame dès demain ma préparation aux 80 km de l'Eco-Trail car il reste trois mois tout rond avant mon premier ultra. Que c'est bon de courir ! Résumé de ma course sur le Garmin. Tous les résultats sont sur TopChrono.biz "10 km du 14ème Paris" le 23 janvier 2011 devant la Mairie du XIVème métro Mouton-Duvernet
1187.- Je viens de faire une folie que je regretterai peut-être en avril lors de mon Marathon de Paris, je me suis inscrit à L'Eco-Trail de Paris. C'est une course sympa qui commence à Saint-Quentin-en-Yvelines et qui se termine au premier étage de la Tour Eiffel après ... 80 km de course à pied ! C'est juste le pari le plu fou que je me suis lancé après le Marathon de Paris en 2009. Priez pour moi ... MAMA MIA !!!
"Eco-Trail de Paris 2011" les 26 et 27 mars 2011 de Saint-Quentin-en-Yvelines à la Tour Eiffel
Le teaser by ml-images tourné le dimanche 02 janvier 2011
Paris, Pont de Bir Hakeim -2°C humidité 87% vent NNE 11.27 km/h Recorded at 720/60p and conformed to 25p Canon 7D - 24-70 F/2.8L - Glidecam HD 4000 Musique Era - Cathar Rythm 2011 km en 2011, le défi
1184.- Suite à la première sortie de l'année 2010, j'avais relevé le challenge posé par Xu de faire 2010 km en 2010 en courant. Cela n'a pas été facile même si la distance ne parait pas si longue si l'on ramène à la quantité de kilomètres à la journée mais tout bon runner vous dira que personne ne peut courir 365 jours par an sans séquelle sauf peut-être Serge Girard. Mais voilà, je m'étais si bien préparé avec Waldy le Coach à Courtenay que je suis tombé dans le bât du surentraînement et je n'ai pas pu terminer le Marathon de Paris 2010. J'étais fortement diminué et j'avais bien failli abandonner le challenge à ce moment-là. C'était sans compter le soutien de mes amis et notamment ma marche à St Jacques de Compostelle avec Laurent qui m'a convaincu de suivre un régime spécial sportif. J'ai perdu neuf kilos en trois mois et j'ai pu compléter la distance folle malgré un retard de 180 km. Début décembre, il me restait 323 km à parcourir et j'ai pu tenir le rythme fou d'un semi-marathon tous les deux jours. Les statistiques de mes sorties sont résumées sur le graphique suivant : J'ai ressenti une certaine joie le matin du mercredi 29 décembre à l'issue de mon dernier semi de l'année qui représentait également le franchissement de la barre symboliques des 2010 km. Durant cette dernière sortie j'ai également beaucoup pensé à Benoit qui a lutté contre la maladie tout seul et je me suis dit que je n'aurai plus jamais le droit de me plaindre de mes douleurs post-sortie de course à pied. Plusieurs fois en décembre lorsque je me suis réveillé à quatre heures du matin pour courir 22 km et qu'il faisait -9°C sous le vent, la neige et la pluie glacée, je me suis dit que j'allais laisser passer le challenge des 2011 km en 2011 mais comme mon initiative en a inspiré plus d'un, j'ai décidé de relever le défi. Le moment bien sympa c'était lors du show de Paul Burési de mercredi soir, il a fait une annonce spéciale au beau milieu du spectacle pour me féliciter, raconter mon histoire aux spectateurs médusés qu'il a fait applaudir pour moi et m'a remis ce tee-shirt. A la fin du spectacle il a conclu par un hommage à Benoit en disant : "Tout passe très vite, profitez bien de chaque moment, car tout peut partir très vite". Merci mon pote. Cette année donc, j'ai le triple challenge de faire 2011 km en 2011, d'améliorer encore ma vitesse de base donc de faire tomber mes records sur 20, semi et marathon et de courir mon premier ultra soit plus de 50 km. La saison 2011 s'annonce donc passionnante ! En attendant voici le teaser des 2011 km pour 2011 que mon ami le talentueux Michel Luczak a tourné ce dimanche 02 janvier sur le Pont de Bir Hakeim à 8h30. 02.01.2011 Paris, Pont de Bir Hakeim -2°C humidité 87% vent NNE 11.27 km/h Recorded at 720/60p and conformed to 25p. Canon 7D - 24-70 F/2.8L - Glidecam HD 4000 Musique Era - Cathar Rythm Merci mon ami et à bientôt pour de nouvelles pastilles et bon run à tous ! 2011 km en 2011, le défi ml-images, Michel Luczak
1179.- J'ai couru avec les joyeux coureurs du NRCP ce matin dont le fameux Yannick Quadra94. Retour en arrière, il y a exactement un an où mon ami Victor "Tiblond" m'invite à le rejoindre sur dailymile.com un site communautaire où l'on peut partager ses courses, ses entrainements et plus généralement ses impressions sur le running. J'adore les réseaux sociaux et rapidement j'ai atteint une cinquantaine d'amis dans le monde entier dont Rop de Bangkok, Gavin d'Oconomowoc dans le Winsconsin, Liza de San Ramon en Californie et Quadra94 de ... Choisy-le-Roi. De son vrai nom Yannick, nous sympathisons d'autant que nous avons vécu la même mésaventure au Marathon de Paris 2010 où nous avons dû abandonner sur blessure, lui à 25 km et moi à 10 km. Depuis nous nous encourageons mutuellement sur nos entraînements respectifs et nous avons tous les deux pu prendre notre revanche sur un marathon. Pour lui c'était Vincennes et moi Nice-Cannes pendant cet automne. Nous habitons tous les deux sur Paris, mais voilà nous ne nous sommes jamais croisés sur une course ou à un entrainement, malgré toutes les courses communes faites parmi lesquelles le Paris-Versailles, la Course des Chasseurs de Temps et les 20 km de Paris. Comme Yannick est un mordu de Nike, il participe au Nike Running Club Paris qui organise des entraînements collectifs tous les dimanches devant le magasin des Champs Elysées. J'avais prévu d'y faire un tour mais j'avais toujours une bonne raison de ne pas y aller. Aujourd'hui c'est donc fait, un lendemain de noël et j'ai pu enfin rencontrer mon ami runner avec lequel je converse depuis près d'un an. L'organisation de cette manifestation est sans faille car je me suis présenté à 9h45 ce matin et les entraîneurs étaient là devant la boutique pour m'accueillir. J'ai présenté mon certificat médical et une photo d'identité pour me faire faire une carte aux couleurs du NRCP qui donne droit à des avantages dont 20% de réduction sur les articles de running ce qui est pas mal car j'envisage de m'équiper en chaussures de compétition. Nous nous sommes immédiatement reconnus Yannick et moi, très contents enfin de se serrer la pince pour de vrai. Peu de runners ce matin après Noël mais nous étions tout de même une quinzaine encadrés par quatre coachs. La température était de -2°C et la neige était présente. D'habitude ils courent au Jardin des Tuileries pour faire leurs exercices, compte tenu des conditions climatiques particulières nous sommes allés au Bois de Boulogne. Après un footing d'échauffement de 25' à une allure plutôt rapide entre 10.5 et 12 km/h, nous sommes arrivés au bord du Lac Inférieur. Là, deux groupes se sont faits les plus experts et les moins experts. C'était quand même royal car nous étions sans cesse encadré par les coachs qui prenaient systématiquement de l'avance et bloquaient la circulation à chaque traversée de chaussée pour nous permettre de passer en toute sécurité. Je me suis lancé dans le groupe des rapides avec Alain pour un tour et demi du lac soit 4.500 mètres mais parti un peu vite à 13.5 - 14 km/h, j'ai dû ralentir ma course accompagné par Khalid un gentil moniteur qui a décéléré pour s'assurer que j'allais bien alors que son collègue continuait la poursuite avec les flèches parties en tête. Me prodiguant des conseils utiles sur la route, mon coach personnel du jour s'est pris le pied dans un malheureux trou et s'est fait un mauvais claquage de cheville qui l'a stoppé net. Restant cinq minutes avec lui pendant qu'il récupérait, je suis allé rejoindre les runners de tête qui avaient fait demi-tour pour les avertir du souci. Quelle première fois ! Il faut dire qu'avec le froid et le verglas, le chemin était bien casse-bonbon pour les joggers ou les marcheurs du dimanche matin. Nous sommes rentrés de la sortie par l'avenue Foch au trot et après des étirements dans la superbe cour de l'immeuble, nous avons regagné le point de départ pour un ravitaillement de luxe. Quel pied ce NRCP, vivement dimanche prochain en souhaite un bon rétablissement à Khalid. J'étais bien content de rencontrer en vrai de vrai Hodha avec ses béquilles et Yannick mon camarade de Dailymile et runner averti. Toutes les photos sont sur Flickr. "Nike Running Club Paris" Tous les dimanches à 9h45 devant le magasin des Champs Elysées
1165.- Un film de cinéma qui a pour sujet un champion de marathon braqueur de banque, c'était un sujet en or pour un running man ! J'avais un peu peur que le sujet ne tourne en rond comme Andreas Lust dans sa cour de prison quand il sort faire son entrainement quotidien lors de sa promenade autorisée. Les films teutons ou autrichiens qui franchissent le Rhin pour arriver en France distribués par des canaux téméraires sont souvent d'une excellente qualité et ce film ne déroge pas à la règle. L'acteur du rôle-titre est idéal, avec un jeu tout en intériorité ce qui est fondamental car son personnage a peu de répliques. Il s'est complètement approprié le rôle de ce braqueur silencieux, coureur de fond, méthodique qui calcule et vérifie ses battements de coeur après chaque sortie qu'elle soit pour dérober une banque ou pour disputer une compétition de course à pied. La musique signée Lorenz Dangel toute en percussions résonne comme les battements du coeur et accompagne l'effort du sportif qui ne dit mot pour économiser son énergie et reste impassible quels que soient les événements qui se déroulent autour de lui. Le film est sorti le 10 novembre mais ne se joue que dans des salles de cinéma réputées d'art et d'essai comme le MK2 Beaubourg. Je me suis reconnu dans le personnage du coureur, pas dans le côté hors-la-loi bien sûr mais dans le côté où pour commencer à faire des progrès, il ne faut plus réfléchir, juste travailler, serrer les dents et faire de son mieux. On peut être doué à la base, il n'empêche qu'il faut toujours travailler et que ceux qui ne rechignent pas à la tâche sortiront toujours vainqueurs de n'importe quelle entreprise. La morale est sauve à la fin du film heureusement. J'ai bien aimé le film car il restitue l'état d'esprit qui m'anime en ce moment et me pousse à aller toujours plus loin dans ma quête de course effrénée.
"Le Braqueur" de Benjamin Heisenberg avec Andreas Lust et Franziska Weisz
1163.- Après ma mésaventure du Marathon de Paris 2010 et la période d'inactivité de trois mois qui en résultait, je traînais en moi un goût d'inachevé et d'amertume. C'était ma première course que j'abandonnais en cours mais la douleur au pied droit était insoutenable et je ne voulais pas amoindrir mes chances de reprise du running sur bitume. Mon tout premier marathon date du 05 avril 2009, le Marathon de Paris que je terminais en 5h03'48'' l'essentiel était de le terminer et j'avais passé les deux dernières heures après le km 30 à souffrir continuellement à cause des ampoules aux deux pieds et de mes jambes qui étaient dures comme deux bouts de bois. Quand on tombe de cheval, il faut remettre les runnings aux pieds et vite relever un nouveau défi et l'occasion s'est présentée le 14 novembre 2010 pour le 3ème Marathon des Alpes Maritimes qui se déroulait entre Nice et Cannes. Mes amis de longue date Yann et Laurence ont déménagé à Nice et c'était l'occasion de leur rendre visite dans le cadre de mon Tour de France amical et sportif. C'était très agréable d'autant que Yann est un marathonien chevronné puisqu'il a fait Lyon, Nice, Berlin, Rotterdam et il s'apprête à faire Florence dans deux semaines. Je suis arrivé samedi matin et je suis reparti lundi pour profiter de passer du temps avec mes amis et leur gentille famille. Samedi soir nous sommes allés nous régaler chez Nhà Trang un excellent vietnamien Niçois avec Béatrice, André et Julie l'amie de Laurence dont le papounet de 68 ans courrait lui-même le lendemain matin. Après une nuit bien courte due au stress de la compétition, je me levais donc à 5h40 pour préparer mon petit déjeuner calqué sur celui que je prends avant chaque entrainement du matin : des oeufs brouillés, du thé et deux verres de jus de fruits. Dans son plan de préparation pour Florence, Yann devait courir 14 km le samedi, il a décalé son entraînement à dimanche pour pouvoir m'accompagner jusqu'au km 7 et revenir chez lui. A 07h45 sur la Promenade des Anglais, Je me suis mis dans mon sas des 3h45 choisi un peu par pure folie à l'époque de l'inscription car Yann me disait qu'il le choisissait toujours. Mon objectif en abordant la compétition était double : terminer la course et faire entre 4h15 et 4h30. (Superbe parcours le long de La Riviera, un réel bonheur pour moi qui adore courir le long des cours d'eau) Quand le coup de feu a retenti à 8h15, je suis parti sur les bases d'un entrainement type sortie longue de semi-marathon soit 11,5 - 12 km/h. Je passais donc rapidement devant le ballon des 3h45, le coureur qui porte un étendard avec ce temps de référence et qui nous assure de terminer dans ce temps si on arrive à lui coller du début à la fin de la course. En voyant Yann vers le km 4 vers Saint-Laurent-du-Var, je ralentis mon allure car nous avons pas mal parlé et il m'a donné les conseils d'usage pour être sûr de terminer, ne pas s'affoler, écouter mon corps et ne pas chercher à faire un temps. Une fois le km 7 passé, j'ai donc repris une bonne allure pour refaire allègrement mon retard sur le ballon des 3h45 et le laisser 200 m derrière moi de manière à assurer un bon temps à l'arrivée. Le km 10 arriva vite en 52' et le semi en 1h51' nouveau record personnel et j'étais plutôt serein, mon corps ne présentant pas de signe de faiblesse. Le ciel était nuageux avec un peu de bruine et un vent de 14 km/h mais rien à voir avec les conditions dantesques du Marseille-Cassis que j'avais couru deux semaines auparavant. Le Marseille-Cassis m'a indubitablement bien préparé au Marathon des Alpes-Maritimes. De façon analogue au MDP 2009, je commençais à vaciller sérieusement à partir du km 27. Bien que j'avais bu à chaque ravitaillement et pris du solide banane, quartier d'orange à partir du semi, une fringale commençait sérieusement à me prendre à l'estomac. Le ravitaillement à Antibes du km 27,5 fut le bienvenu pour me refaire une mini-santé et j'avais pris l'habitude de marcher pendant ces moments de pause-boisson-restauration à l'instar de Serge Girard qui prend bien le temps de faire baisser son coeur de manière à profiter de tous ses ravitaillements. Je repartis de plus belle, traversant allègrement la montée du Cap d'Antibes et le km 30 en 2h40. Au km 33, non seulement ma vitesse avait bien baissé et de plus nous allions attaquer le faux plat montant du Golfe Juan. La pente n'était pas dure mais le passage vide sérieux, je vis le ballon de 3h45 me passer inexorablement devant, il fut pour moi impossible de le remonter jusqu'à la fin de la course, toute l'entrée sur Cannes se faisait sur une montée. Ce n'était pas le Col de la Gineste certes mais contrairement à Marseille où je m'attaquais à la montée avec 6 km dans les pattes, j'abordais cette montée avec 33 km et cela fait une différence quand même. Ma volonté ferme du jour était de ne jamais marcher, sauf pendant les ravitaillements et je m'accrochais donc à ce voeu pieu tandis que de nombreux coureurs autour de moi cédant aux caprices de leur corps avaient commencé à alterner marche et course. Avec joie nous passions l'entrée de Cannes et il restait à peine 4 km avant de franchir la ligne d'arrivée devant le Palais des Festivals sur la Croisette. Quand on dépasse le km 38, comme dirait Nicolas "Bac+10" Guillaume : "on se dit qu'on doit tout envoyer mais il ne reste plus rien à envoyer !" Je serrais les dents, je serrais les fesses et bien que mes jambes commençaient à me faire l'effet de bouts de bois comme à Paris 2009, en revanche je ne ressentais aucune ampoule aux pieds, ça c'était le pied. J'ai donné tout ce que j'avais et l'arrivée s'est faite sur tapis rouge avec une allée très étroite et une promiscuité bien agréable avec les spectateurs affalés de part et d'autre des barrières qui délimitaient les derniers mètres. Dans un sursaut d'orgueil j'ai accéléré sur les 200 derniers mètres et heureux d'avoir terminé j'ai lu halluciné mon temps sur mon GPS : 3h56'08''. Je suis très content de ma course car :
J'ai établi un nouveau record personnel en pulvérisant ma précédente marque de 67 minutes
Je suis passé sous la barre mythique des 4 heures
J' ai terminé mon second marathon
J' ai couru sur une partie du trajet avec mon bon vieux pote
J'ai battu mon record personnel de 1h54'41'' sur un semi-marathon (Paris 2010)
Je suis dans bien meilleur état à l'arrivée qu'en 2009 !
Et maintenant c'est récupération, repos pendant trois semaines avant de commencer à envisager les prochains défis. Merci à Laurence et Yann pour m'avoir fait cet accueil adorable, vous êtes des amis formidables. Bon courage Dude pour Florence le 28 novembre ! Merci aux bénévoles et aux spectateurs qui ont scandé mon prénom au passage, ce qui nous rebooste bien et merci à mes gentils supporters de Fessebouc ! Merci à la SNCF qui a organisé le rapatriement gratuit de tous les coureurs jusqu'à Cannes en TGV et en 1ère Classe s'il vous plait. Toutes les photos sont sur Flickr. Tous les résultats du 3ème Marathon des Alpes-Maritimes sont sur le site. En me préparant mentalement à l'épreuve, j'ai découvert ce merveilleux titre qui m'a accompagné une bonne partie du parcours et qui est mis en images avec des superbes prises de vue du film Les Chevaliers du Ciel (2005) de Gérard Pirès.
Thirteen Senses - Into the Fire Paroles et musique : Wilson, Adam Michael; South, William David; Welham, Thomas William; James, Brendon Arthur
Come on, come on Put your hands into the fire Explain, explain As I turn and meet the power This time, This time Turning white and senses dire Pull up, pull up From one extreme to another From the summer to the spring From the mountain to the air From Samaritan to sin And it’s waiting on the end Come on, come on Put your hands into the fire Explain, explain As I turn and meet the power This time, This time Turning white and sense dire Pull up, pull up From one extreme to another From the summer to the spring From the mountain to the air From Samaritan to sin And it’s waiting on the end and now I’m alone I’m looking out Way down The lights are dimand now I’m alone I’m looking out Way down The lights are dim Ooooh Come on, come on Put your hands into the fire Come on, come on
"La rue et l'illégalité sont de bons raccourcis pour entrer dans les galeries quand on n'est pas un génie" Nasty
"Parler c'est mentir aux autres, penser c'est se mentir à soi-même" Pierre Faucher
"Avant, ma mère ne comprenait pas ce que je faisais maintenant je ne comprends plus ce que je fais" Nicolas Guillaume
"la cuisine c'est comme on aime et les femmes aussi...on mange avec les yeux avant de manger avec la bouche" Bonne Etoile
"Les cons c'est comme les bactéries, faut des conditions idéales pour que ça se développe." Mzelle Carla
"Quand t'as une femme ça te fait chier, quand t'en as pas ça te fait encore plus chier" Simon Lhermite
"pfff les nanas, c'est pas facile ...on passe son temps à se poser des questions, on a des appréhensions ...il faut passer outre, essayer de convaincre ... c'est dur ça !" Eric Sou
"On ne tombe pas amoureux, on le devient" Sandra Parker
Esch t'et yede morien a dolle ouf. Tous les jours un imbécile se lève. Joseph Weiss
"Il n'y a pas d'Amour, il n'y a que des preuves d'Amour." Jean Cocteau
"Je suis très doué pour les langues, mais cela se limite au français" Nicolas Guillaume
"Tu veux ta photo avec moi ? c'est 7$ avec mon polaroid et 2$ avec ta caméra !" Spiderman, sur Times Square
"Donne pas ton bagel aux pigeons, les pigeons c'est des connards !" Alix
"Parler c'est mentir. Réfléchir c'est mentir à l'autre" Pierre Faucher
"Les hommes sont prêts à tout pour faire l'amour, y compris aimer. Les femmes sont prêtes à tout pour être aimées, y compris faire l'amour" Boris, Philosophe
"Si l'on ne se voit pas souvent, c'est que ma tête est malade, pas mon coeur" Jean-Patrice Balhoo
"Tu manges pas tes trottoirs ?" Sylvie
"La recette du succes avec les filles, c'est du style et de l'assurance." Arnaud
"Ma copine c'est comme mon chien : il ne faut pas en dire du mal" lorenzo
"La vie est plus simple quand on a de l'argent" Fadila
"Arrivé à un age, ce que nous on trouve culte, d'autres le trouvent con" Eve
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