inZeSentier

Kick-Ass de Matthew Vaughn avec Aaron Johnson, Nicolas Cage et Chloe Moretz

1075.- On pourrait penser que Kick-Ass est un film de super-héros de plus comme Iron-Man,
Spider-man ou Les 4 Fantastiques, même s'il a été présenté comme un film d'anti-héros. On pourrait penser que c'est une comédie américaine pour ados bêtes et boutonneux et pourtant, ce n'est rien de tout cela. Un bon film c'est d'abord une bonne histoire. Matthew Vaughn adapte la bande-dessinée du scénariste écossais Mark Millar, mise en images par John Romita Jr.
C'est passionnant du début à la fin, c'est très fin mais aussi ultra-violent. D'ailleurs un encart sur Allociné le précise : "Avertissement : Des scènes, des propos ou des images pourraient heurter la sensibilité des spectateurs". En effet, quand on voit ce que fait faire à la petite Chloe Moretz que l'on avait adoré dans (500) Jours ensemble, elle n'a que 11 ans la gamine mais elle tourne des scènes qu'elle ne pourra pas voir au cinéma avant cinq ans ! L'histoire n'est en rien prévisible même si les méchants et les gentils sont clairement établis dès le début.
Le rapport père-fille entre Nicolas Cage et la terrible Chloe fonctionne bien et on reconnait la patte de l'acteur de The Family Man à des années-lumières de ses derniers navets comme Next ou le pathétique Ghost Rider qui figure parmi les films les plus nazes de ce superbe acteur. La bande-son est excellente notamment la scène de bataille de l'entrepôt avec la reprise du thème de 28 semaines plus tard de John Murphy.
Mark Strong est un méchant aussi inquiétant que le chef de la police secrète qu'il incarnait dans Mensonges d'Etat ou le très noir Lord Blackwood de Sherlock Holmes. J'ai adoré les nombreuses références notamment à Spider-man "Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités" et j'ai applaudi plusieurs fois pendant le visionnage jusqu'au générique de fin. D'ailleurs à la fin, inutile de rester jusqu'à la fin de ce dernier, il n'y a pas de scène cachée qui réserve des surprises pour un épisode à suivre, régalez-vous avec celui-là !

"Kick-Ass" de Matthew Vaughn avec Aaron Johnson, Nicolas Cage, Mark Strong et Chloe Grace Moretz

Green Zone de Paul Greengrass avec Matt Damon

1074.- Vous avez adoré les derniers Bourne ? Vous allez vous régaler avec Green Zone.
On retrouve la même équipe Paul Greengrass à la direction, John Powel à la bande-son et bien sûr Matt Damon en super-héros. On ne sait pas trop de quoi cela parle au début mais on est tout de suite au coeur de l'action à Bagdad où Matt joue un soldat des forces alliées à la recherche des AMD, les fameuses Armes de Destruction Massive du plan de défense de l'Irak de Saddam Hussein. Les ficelles de la supercherie sont grosses et il n'ya pas vraiment de suspense mais on adore les scènes d'action ultra-réalistes qui avaient ringardisé la franchise James Bond et qui a été par la suite imité dans les pubs ou dans d'autre longs métrages dont Casino Royale et Quantum of Solace !
C'est efficace et on a même eu droit aux applaudissements à la fin car ces trois-là pourraient nous faire passer un bon moment d'action sur n'importe quel thème alors avanti. J'ai bien eu ce que j'attendais mais j'aurais espéré un peu plus d'épaisseur psychologique dans les personnages, on ne sait rien de celui de Matt Damon, s'il est marié ou s'il a un frère et le salaud de service est vraiment très inexpressif. La journaliste ne sert que de faire-valoir et Jason Isaacs retire son épingle du jeu en interprétant un barbouze bien patibulaire. C'est drôle d'ailleurs de revoir côte à côte Brendan Gleeson et Jason Isaacs au générique d'un film de guerre testostéroné après Harry Potter.
Au (film de guéguerre) suivant !
"Green Zone" de Paul Greengrass avec Matt Damon, Amy Ryan, Brendan Gleeson et Jason Isaacs

Les Aventures Extraordinaires d'Adele Blanc-Sec de Luc Besson avec Louise Bourgoin

1073.- Son nom est Blanc-Sec, Adèle Blanc-Sec.
Luc Besson avait promis qu'Arthur et Les Minimoys serait son dernier long-métrage et qu'il avait décidé de ne consacrer qu'à la production. Heureusement il n'a pas tenu sa promesse car il a un indéniable talent de conteur et mérite son surnom de Spielberg à la française. On est content de voir les aventures de Indiana Jones au féminin car même si l'histoire est complètement abracadabrante, on se laisse prendre au charme de l'ex-Miss Météo de Canal Plus qui s'est approprié le rôle. Les seconds rôles sont réjouissants avec Gilles Lellouche en inspecteur loufoque à chaque réplique avec un humour pince-sans-rire, Jean-Paul Rouve en chasseur blanc typique et Mathieu Amalric méconnaissable sous le maquillage fort réussi. Luc Besson s'est entouré de ses fidèles lieutenants avec Thierry Arbogast à la photographie et Eric Serra à la partition. Tout est soigné à la réalisation, le découpage est classique mais plaisant à suivre. L'histoire est inspirée en partie du Tome I des aventures d'Adèle intitulé Adèle et la Bête mais Luc Besson prend énormément de liberté avec l'histoire originelle et introduit un nouvel élément fantastique de taille ainsi qu'un nouveau personnage, l'enquête a été considérablement simplifiée pour tenir dans un format cinéma mais se tient bien avec ses rebondissements propres. On rit beaucoup et on passe un excellent moment dans ce film pas très intellectuel certes mais qui réussit encore à nous surprendre et à nous donner envie de lire la bande dessinée originelle de Tardi et de voir bien vite les futur tomes adaptés à l'écran.

"Les Aventures Extraordinaires d'Adèle Blanc-Sec" de Luc Besson avec Louise Bourgoin, Mathieu Amalric, Gilles Lellouche et Jean-Paul Rouve

Les Chèvres du Pentagone avec George Clooney

1072.- Un ratage total, un film vraiment bof bof malgré la pléiades de stars qui figurent au générique : George What Else ? Clooney, Jeff Bridges, Ewan McGregor, Kevin Spacey, ... Les meilleures vannes sont sur la bande-annonce et il ne se passe pas grand-chose dans cette histoire de psychotiques fous embauchés par l'Armée américaine et destinés à devenir des super-soldats d'un nouveau genre. On sourit parfois mais on reste sur sa faim bien que l'on a attendu jusqu'à la fin que le film décolle.
"Les Chèvres du Pentagone" de avec George Clooney, Ewan McGregor, Kevin Spacey et Jeff Bridges

Tout ce qui brille de Geraldine Nakache avec Leila Bekhti, Virginie Ledoyen et Linh Dan Pham

1071.- Assurément le film du mois que ce premier film de la jolie Géraldine vue dans Comme T'y es Belle de Liza Azuelos.

Dès le début, on est happés par cette histoire de deux post-adolescentes d'une banlieue "à dix minutes de Paris" qui rêve d'une vie à Paris. La vie de Paris est fantasmée et on se laisse emporter par les péripéties de ces deux jeunes femmes et entre Lila l'aventureuse ou aventurière amoureuse et Geraldine la pragmatique qui rencontrent des Parisiens avec des vies dont elles voudraient tant faire partie. C'est simple, très drôle et souvent émouvant sans faire du sentimentalisme à l'américaine. En bref, j'ai beaucoup aimé. Tous les rôles sont très bons à noter la performance à la Kate Moss de Linh Dan Pham et Audrey Lamy qui fait rire à chaque réplique, cela donne envie d'aller voir son one woman show, Dernières dates avant Las Vegas !
Avec en prime, une jolie interprétation de Ma Drôle de Vie de Véronique Sanson.

"Tout ce qui brille" de Géraldine Nakache et Herve Mimran avec Leila Bekh et Audrey Lamy

Paroles de la chanson Ma Drôle de Vie de Véronique Sanson chantée par Géraldine Nakache et Leïla Bekhti

Tu m'as dit que j'étais faite pour une drôle de vie
 J'ai des idées dans la tête et je fais ce que j'ai envie
 Je t'emmène faire le tour de ma drôle de vie
 Je te verrais tous les jours...

Si je te pose des questions,
Qu'est-ce que tu diras?
Et si je te réponds,
Qu'est-ce que tu diras?
 Si on parle d'amour,
Qu'est-ce que tu diras ?

Si je sais que tu mènes la vie que tu aimes au fond de moi,
Me donne tous tes emblèmes, me touche quand même du bout de ses doigts,
 Même si tu as des problèmes, tu sais que je t'aime, ça t'aidera,
 Laisse les autres totems, tes drôles de poèmes, et viens avec moi

On est partis tous les deux pour une drôle de vie
On est toujours amoureux et on fait ce qu'on a envie
Tu as sûrement fait le tour de ma drôle de vie
Je te demanderai toujours...

Si je te pose des questions,
Qu'est-ce que tu diras?
Et si je te réponds,
Qu'est-ce que tu diras?
Si on parle d'amour,
Qu'est-ce que tu diras ?

Si je sais que tu mènes la vie que tu aimes au fond de moi,
Me donne tous tes emblèmes, me touche quand même du bout de ses doigts,
Même si tu as des problèmes, tu sais que je t'aime, ça t'aidera,
Laisse les autres totems, tes drôles de poèmes, et viens avec moi

Et s je sais que tu mènes la vie que tu aimes au fond de moi,
Me donne tous tes emblèmes, me touche quand même du bout de ses doigts,
Même si tu as des problèmes, tu sais que je t'aime, ça t'aidera,
Laisse les autres totems, tes drôles de poèmes, et viens avec moi...

Alice au Pays des Merveilles de Tim Burton avec Johnny Depp

1070.- On pouvait s'attendre au pire de l'association entre le génial ré-inventeur de Batman et de Buena Vista, j'ai été agréablement surpris par la dernière fantaisie visuelle de Burton.
La resucée des aventures d'Alice écrites par Lewis Caroll aurait pu noyer les comédiens sous une avalanche d'effets spéciaux comme dans le dernier Monty Python, mais heureusement Tim B. sait mettre en valeur ses acteurs notamment son acteur-fétiche Johnny Depp avec qui c'est déjà son septième film ! Danny Elfman est toujours à la baguette pour l'ambiance musicale après une petite querelle passagère comblée par qui avait composé la musique du barbier.
On ne s'ennuie pas vraiment dans cette version qui fait vraiment la transcription du dessin animé en personnages réels, mais il manque un peu de folie à la Big Fish.
"Alice au Pays des Merveilles" de Tim Burton avec Johnny Depp, Anne Hataway, Helena Bonham Carter et Mia Wasikowska

Daybreakers de Michael et Peter Spierig avec Ethan Hawke, Sam Neill et Willem Dafoe

1064.- Sur l'affiche il est écrit "prenez Matrix et 28 Jours plus tard, vous obtiendez Daybreakers".
C'est à peine exagéré car s'il est vrai que c'est deux frères qui ont réalisé ce film en bricolant des effets spéciaux sur leur Mac, il n'est ici nulle question de zombies qui pourchassent les humains rescapés. L'idée de départ est fort originale, elle est résumée dans les dix premières minutes du film : Toute l'humanité a été transmutée en vampires et il ne reste que très peu d'humains pour donner leur sang. C'est pourquoi un laboratoire pharmaceutique met tout en oeuvre pour créer un erzatz de sang humain pour éviter l'extinction de la race humaine et des vampires. La cité futuriste qui ne fonctionne qu'en nocturne est hallucinante et Sam Neill est impeccable dans son rôle de capitaine d'industrie un peu à la Blade. Ethan Hawke est plus beau en vampire qu'en humain, sans doute les effets spéciaux qui soulignent qu'un vampire immortel est doté d'un patrimoine génétique plus puissant. L'histoire est originale, les scènes d'actions manquent un peu et font un peu cheap pour ce film canadien de 21 millions $, ce qui n'est pas si mal quand on sait que Matrix a coûté la bagatelle de 65 millions $ !
Isabel Lucas en teinte naturelle ressemble de plus en plus à Hélène Sauton. Elle joue la fille de Sam Neill qui refuse désespérément de se transformer en mort-vivante et elle est très mignonne malgré ses trois répliques. L'ambiance sombre et classieuse m'a rappelé Blade et Underworld, deux films qui ont su intelligemment recréer le mythe du vampire. La réalisation est assez classique, gageons qu'avec le succès du premier épisode ils vont faire comme Matrix et quadrupler leur budget pour nous offrir des scènes de bataille dantesques ! En attendant, les deux frères Spierlig prouvent qu'ils ont des idées et déjà du savoir-faire car avec deux bouts de ficelle, ils arrivent à nous faire tenir en haleine durant les 98 minutes du film sans trop faire bande dessinées. La musique de la bande annonce est sublime, c'est une reprise de la chanteuse anglaise Kate Bush par le groupe Placebo, Running Up That Hill.
 
"Daybreakers" de Michael et Peter Spierlig avec Ethan Hawke, Sam Neill, Willem Dafoe et Isabel Lucas
Paroles de Running Up That Hill de Kate Bush reprise par Placebo
It doesn't hurt me.
You wanna feel how it feels?
You wanna know, know that it doesn't hurt me?
You wanna hear about the deal I'm making?
You be running up that hill
You and me be running up that hill

And if I only could,
Make a deal with God,
And get him to swap our places,
Be running up that road,
Be running up that hill,
Be running up that building.
If I only could, oh...

You don't wanna hurt me,
But see how deep the bullet lies.
Unaware that I'm tearing you asunder.
There's a thunder in our hearts, baby.
So much hate for the ones we love?
Tell me, we both matter, don't we?

You, be running up that hill
You and me, be running up that hill
You and me won't be unhappy.

And if I only could,
Make a deal with God,
And get him to swap our places,
Be running up that road,
Be running up that hill,
Be running up that building,
If I only could, oh...

C'mon, baby, c'mon, c'mon, darling,
Let me steal this moment from you now.
C'mon, angel, c'mon, c'mon, darling,
Let's exchange the experience, oh...'

And if I only could,
Make a deal with God,
And get him to swap our places,
Be running up that road,
Be running up that hill,
With no problems [x2]

'If I only could, be running up that hill.' [x7]

Shutter Island de Martin Scorsese avec Leonardo DiCaprio

1063.- Shutter Island est la troisième adaptation de Dennis Lehane après Mystic River (2003) par Clint Eastwood et Gone, Baby Gone (2007) de Ben Affleck.
La réalisation magistrale de Martin Scorcese et le jeu des acteurs nous permet de nous perdre dans le dédale de la folie entre rêves et réalité. DiCaprio est plaisant à suivre dans son rôle de flic de Boston parti enquêter sur l'île mystérieuse sur la disparition d'une patiente. On découvre bien vite que l'enquête n'est qu'un prétexte et que l'Île recèle bien d'autres secrets en son sein comme dans Lost. La musique de Max Richter ajoute à l'ambiance fantasmagorique du film. Max Von Sydow est toujours très alerte malgré ses deux cent ans, on dirait qu'il en a autant car il tourne déjà depuis fort longtemps, quand on pense qu'il a joué dans Le Septième Sceau d'Ingmar Bergman. Ben Kingsley est inquiétant à souhait et Mark Ruffalo très classe et sobre dans le rôle de l'adjoint de Leonardo. J'ai trouvé le film long au début, l'intrigue a du mal à amorcer mais après la moitié de ce long film de 2h17, cela devient intéressant avec quelques scènes d'actions et quelques expositions qui nous en donne plus sur le final époustouflant sans complètement le révéler. Au final un film bien réalisé et un peu prise de tête qui permet quand même de passer un bon moment de cinéma hollywoodien un peu classique, l'histoire durant quatre jours et étant sensée se dérouler en 1959.

"Shutter Island" de Martin Scorsese avec Leonardo DiCaprio, Mark Ruffalo, Michelle Williams, Ben Kingsley et Max Von Sydow

I Love You Philip Morris de Glenn Ficarra et John Requa avec Jim Carrey et Ewan McGregor

1062.- Aussi surprenant que cela puisse paraître, ILYPM est basée sur l'histoire vraie de Steven Jay Russel, un vrai américain ex-flic, ex-financier et arnaqueur-né qui s'est évadé de nombreuses fois de prison sans jamais recourir à la violence, armé de son intelligence et d'un QI de 163.
 
Il est toujours vivant et purge une peine de prison de 144 ans. Il a eu une existence de dingue entre la découverte du fait qu'il a été adopté, la recherche de sa vraie mère par son boulot d'officier de police et la folle vie à partir de son coming out. Il a usé d'incroyables subterfuges pour toucher des sommes vertigineuses : arnaques à l'assurance, détournement de fonds, faux et usage de faux. Son imagination était sans bornes et son histoire extraordinaire est très bien adaptée par les scénaristes de Comme Chiens et Chats (2001) et Bad Santa (2004). J'ai retrouvé le foisonnement de Attrape-moi si tu peux de Steven Spielberg et Jim Carrey est excellentissime, quel acteur. Le duo avec Ewan McGregor fonctionne à merveille et l'on croit à fond à leur amour contrarié et inconditionnel. Mais le film ne traite pas de l'homosexualité, il est un hommage à l'intelligence sidérante de Steven Russel. On rit très souvent et malgré la fin, on en ressort content et surtout avec une musique du soleil de Rio en tête. J'ai adoré cette belle surprise de la fin février. Jim Carrey est fantastique à l'image de sa performance dans The Truman Show ou Eternal Sunshine of the Spotless Mind.
"I Love You Philip Morris" de Glenn Ficarra et John Requa avec Jim Carrey, Ewan McGregor

Percy Jackson Le Voleur de Foudre de Chris Colombus avec Pierce Brosnan

1059.- Il y a un talent indéniable que l'on reconnaîtra à Chris Colombus, c'est un extraordinaire conteur d'histoires, un Spielberg spécialisé dans les histoires d'ados et ce, depuis bien longtemps déjà.
On lui doit en effet Heartbreak Hotel (1988), Maman J'ai raté l'Avion (1990), Madame Doubtfire (1993). C'est le génial scénariste des Gremlins (1984), Goonies (1985) et du Secret de la Pyramide (1985). Plus récemment, il a bien sûr explosé le box office avec Harry Potter à l'Ecole des Sorciers (2001) et Harry Potter et la Chambre des Secrets (2002). D'ailleurs c'est un peu cela Percy Jackson à l'Ecole des Demi-Dieux, le spectateur se régale de bout en bout. Les héros sont attachants et nous font croire immédiatement à leur complicité. L'intrigue est un peu comme un épisode de Harry Potter avec une enquête policière et le point original est que les premiers rôles sont inconnus mais les seconds sont tenus par une pléiade de stars : Uma Thurman en Méduse, Sean Bean en Zeus, Steve Cooghan en Hadès, Rosario Dawson en Perséphone, Melina Kanakaredès en Athéna et Pierce Brosnan en Chiron, un buste d'homme et un corps de cheval excusez-du peu. Logan Lerman a déjà joué le fils de Mel Gibson dans The Patriot, le Chemin de la Liberté. Le film est basé sur un roman de Rick Riordan ancien professeur d'histoire au collège spécialisé dans l'Antiquité et qui a imaginé cette histoire de Percy Jackson pour la raconter à son fils le soir avant de dormir. Et cela marche ! On vit des histoires extraordinaires et l'on retrouve les histoires de la mythologie grecque que l'on a adoré découvrir dans sa jeunesse. J'ai beaucoup aimé ce film de Chris Colombus car il est bien fait, bien raconté et on n'est jamais au bout des surprises. Comme Mister Riordan a écrit quatre tomes des aventures de Percy Jackson, Le Voleur de Foudre, La Mer des Monstres, Le Sort du Titan et La Bataille du Labyrinthe, nous ne sommes pas prêt de voir éclore une nouvelle série digne du petit sorcier à lunettes alors l'adaptation de ses aventures touche à sa fin !
"Percy Jackson Le Voleur de Foudre" de Chris Colombus avec Logan Lerman, Pierce Brosnan et Uma Thurman