1337.- Pour son grand retour à l'écran, Michael Douglas s'offre un rôle de composition celui de Liberace, pianiste américain de music hall très médiatisé dans les années 1950-1970.
Le film est tiré du livre : "Derrière le candélabre, ma Vie avec Liberace" de Scott Thorson. On a tout dit sur Michael Douglas, le fils du grand Kirk que j'avais adoré dans "Les Vikings" (1958) de Richard Fleischer et qui avait joué dans "20 000 lieues sous les Mers" (1954) du même Richard Fleischer.
Réchappé d'un cancer de la gorge qu'il avait attrapé à la suite d'un usage érotico-buccal un peu trop prononcé, découvrant que sa femme était atteint de bipolarité, il avait du mal à se relever l'inspecteur Nick Curran de "Basic Instinct" (1992 - Paul Verhoeven). Il prouve à ses fans que c'est un très grand acteur et il est touchant du début à la fin de ce film sur l'amour des prémisses où l'on se séduit avec élégance à la séparation où l'on dialogue par avocats interposés.
Matt Damon est sidérant et d'une sobriété touchante, il est une fois de plus crédible et on n'a aucun doute à croire en ses sentiments pour Lee qui l'a pris sous son aile.
L'histoire est la rencontre entre une énorme star des années 50-70 que je ne connaissais pas et un apprenti vétérinaire du Wisconsin bisexuel qui devient son compagnon pendant dix ans.
On retrouve avec plaisir Scott Bakula le héros de la série "Code Quantum" qui a bercé ma jeunesse dans les années 90.
J'ai été touché par l'histoire, si elle démarre de façon un peu amusante. Le réalisateur met en scène intelligemment la douce descente aux enfers d'un couple passionné au fil des années et de l'incompatibilité des défauts de chacun des amoureux. Quel que soit son orientation sexuelle, on sera sensible aux valeurs universelles qui sont distillées dans ce téléfilm tourné et produit par la HBO étant donné qu'aucun grand studio n'a accepté de distribuer ce film sur le territoire américain. 6/10
"Liberace" de Steven Soderbergh avec Michael Douglas et Matt Damon
Le film est tiré du livre : "Derrière le candélabre, ma Vie avec Liberace" de Scott Thorson. On a tout dit sur Michael Douglas, le fils du grand Kirk que j'avais adoré dans "Les Vikings" (1958) de Richard Fleischer et qui avait joué dans "20 000 lieues sous les Mers" (1954) du même Richard Fleischer.
Réchappé d'un cancer de la gorge qu'il avait attrapé à la suite d'un usage érotico-buccal un peu trop prononcé, découvrant que sa femme était atteint de bipolarité, il avait du mal à se relever l'inspecteur Nick Curran de "Basic Instinct" (1992 - Paul Verhoeven). Il prouve à ses fans que c'est un très grand acteur et il est touchant du début à la fin de ce film sur l'amour des prémisses où l'on se séduit avec élégance à la séparation où l'on dialogue par avocats interposés.
Matt Damon est sidérant et d'une sobriété touchante, il est une fois de plus crédible et on n'a aucun doute à croire en ses sentiments pour Lee qui l'a pris sous son aile.
L'histoire est la rencontre entre une énorme star des années 50-70 que je ne connaissais pas et un apprenti vétérinaire du Wisconsin bisexuel qui devient son compagnon pendant dix ans.
On retrouve avec plaisir Scott Bakula le héros de la série "Code Quantum" qui a bercé ma jeunesse dans les années 90.
J'ai été touché par l'histoire, si elle démarre de façon un peu amusante. Le réalisateur met en scène intelligemment la douce descente aux enfers d'un couple passionné au fil des années et de l'incompatibilité des défauts de chacun des amoureux. Quel que soit son orientation sexuelle, on sera sensible aux valeurs universelles qui sont distillées dans ce téléfilm tourné et produit par la HBO étant donné qu'aucun grand studio n'a accepté de distribuer ce film sur le territoire américain. 6/10
"Liberace" de Steven Soderbergh avec Michael Douglas et Matt Damon
Tu as l'air d'avoir été convaincu par ce film mais tu ne lui mets que 6 ! pourquoi ?
Moi c'est aussi la note que je lui mettrai pour diverses raisons. Et je n'ai pas été super convaincue par la prestation de Matt Damon !
Rédigé par : auroreinparis | 22 octobre 2013 à 13:15