1216.- Le dernier film du fils de David Bowie, c'est un peu Un jour sans Fin (1993) version thriller futuriste et plutôt réussie.
Jake Gyllenhaal se réveille dans un train étonné de la réaction familière de parfaits inconnus à son égard. En réalité il est entré dans la peau d'un autre, un peu comme dans la série Code Quantum des années 90 avec Scott Bakula.
A partir de ce postulat de base, on est emmené dans une série de révélations toutes plus surprendantes les unes que les autres. Le script est génial et il est impossible de deviner la suite ou la fin de l'intrigue.
En clin d'oeil à la série mythique de Donald Bellisario, c'est Scott Bakula qui joue la voix du père de Jake Gyllenhaal.
Même si la réalisation manque de virtuosité et si le spectateur ne sait pas à certains moments s'il regarde un film romantique ou un long métrage d'action, l'intrigue nous tient suffisamment en haleine pour nous captiver pendant 1h33.
Le scénario est signé Ben Ripley et a été retravaillé par Mark Gordon le producteur de 2012, sur une idée digne d'un Philip K. Dick.
Je regrette l'effet répétitif de la séquence des huit minutes qui n'est pas aussi bien exploitée que dans Un Jour sans Fin de Harold Ramis.
Ma note 8/10 pour l'orginalité de l'histoire et des rebondissements, le jeu des Jake Gyllenhaal, Michelle Monaghan et Vera Farmiga.
"Source Code" de Duncan Jones avec Jake Gyllenhaal, Michelle Monaghan et Vera Farmiga
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