1113.- Dire que j'ai vu ce film parce que sur le site d'ugc.fr, j'ai confondu Le Premier qui l'a dit avec Le dernier Maître de l'Air, où avais-je donc la tête encore ? 
La charmante hôtesse de caisse n'a pas pu me changer ma réservation au prétexte que c'était la dernière séance de la journée et que le système informatique empêchait l'émission d'un autre billet pour la même heure dans ce cas précis. Un sourire de sa part et un encouragement à aller voir ce film d'autant qu'en milieu autorisé d'experte cinéphile , il s'en disait le plus grand bien, je décidais donc d'y aller. La surprise a été très bonne. J'avais vu plusieurs fois la bande-annonce mais heureusement elle ne raconte que l'amorce du film, le coming out d'un fils qui déclenche un infarctus à son papounet. Avec une belle partition qui sent bon l'Italie de Pasquale Catalano, des beaux décors qui donnent envie de visiter Rome et les italiennes qui sont vraiment sublimes à l'instar de Nicole Grimaudo, on assiste à un défilé de personnages hauts en couleurs. Le père m'a tiré des rires lorsqu'il surjoue la peine et les larmes qui le submergent à la pensée de la vraie nature de son fils ainé. Riccardo Scamarcio a un regard d'une intensité remarquable et on passe un bon moment lorsque ses copains gays de Rome débarque dans la ville de Lecce où vit paisiblement ou presque sa famille. Loin d'être centrée autour du héros qui hésite à faire tomber le masque après son frère, la caméra prend le temps de nous montrer chaque membre de la famille qui a sans exception un souhait inassouvi, de la grand-mère à Alba en passant par la tante Luciana. Un bon film qui met de bonne humeur car malgré les circonstances funestes de la scène finale, tout le monde se retrouve avec le sourire et la famille est plus que jamais resserrée.
"Le Premier qui l'a dit" (Mine Vaganti) de Fezan Ozpetek avec Riccardo Scamarcio, Nicole Grimaudo et Alessandro Preziosi
La charmante hôtesse de caisse n'a pas pu me changer ma réservation au prétexte que c'était la dernière séance de la journée et que le système informatique empêchait l'émission d'un autre billet pour la même heure dans ce cas précis. Un sourire de sa part et un encouragement à aller voir ce film d'autant qu'en milieu autorisé d'experte cinéphile , il s'en disait le plus grand bien, je décidais donc d'y aller. La surprise a été très bonne. J'avais vu plusieurs fois la bande-annonce mais heureusement elle ne raconte que l'amorce du film, le coming out d'un fils qui déclenche un infarctus à son papounet. Avec une belle partition qui sent bon l'Italie de Pasquale Catalano, des beaux décors qui donnent envie de visiter Rome et les italiennes qui sont vraiment sublimes à l'instar de Nicole Grimaudo, on assiste à un défilé de personnages hauts en couleurs. Le père m'a tiré des rires lorsqu'il surjoue la peine et les larmes qui le submergent à la pensée de la vraie nature de son fils ainé. Riccardo Scamarcio a un regard d'une intensité remarquable et on passe un bon moment lorsque ses copains gays de Rome débarque dans la ville de Lecce où vit paisiblement ou presque sa famille. Loin d'être centrée autour du héros qui hésite à faire tomber le masque après son frère, la caméra prend le temps de nous montrer chaque membre de la famille qui a sans exception un souhait inassouvi, de la grand-mère à Alba en passant par la tante Luciana. Un bon film qui met de bonne humeur car malgré les circonstances funestes de la scène finale, tout le monde se retrouve avec le sourire et la famille est plus que jamais resserrée.
"Le Premier qui l'a dit" (Mine Vaganti) de Fezan Ozpetek avec Riccardo Scamarcio, Nicole Grimaudo et Alessandro Preziosi
JOLIE critique. J'en ai pensé du bien aussi, je l'ai trouvé léger et amusant, malgré tout ce qui pourrait sembler funeste, on dirait que les caméras ne perdent jamais le sourire ^^
Rédigé par : Aurore | 30 juillet 2010 à 07:39
Merci ! c'est en lisant la tienne que je savais que je n'allais pas être déçu, en plus tu parles de bouddhisme c'est plutôt bien vu ;o)
Rédigé par : giao | 30 juillet 2010 à 08:32