1099.- J'ai passé la journée du mardi 22 juin 2010 à Anvers en Belgique à 101 km de la frontière.
(Anvers, crédit photo Sullivan Gauville)
En l'espèce, j'ai fait sept heures de trajet aller-retour pour passer un entretien de quarante minutes avec un prospect : Thalys de Paris à Anvers, récupération par la commerciale locale à la gare centrale puis voiture jusqu'à Gand.
Au coeur de la zone industrielle, j'ai rencontré le DAF - directeur administratif et financier - de la société pour proposer mes services et aider le groupe à implanter son système en conformité avec la réglementation fiscale française.
Cela arrive pour voir s'il y a cohérence et intérêts des entreprises mais au niveau de ce genre de déplacement express, j'ai déjà fait pire par le passé. C'était en février 2005 pour travailler dans le centre de la France à Clermont Ferrand pour la Manufacture Française des Pneumatiques.
Le prospect voulait me voir suite à un entretien téléphonique d'une heure. Or à l'époque le client chez qui j'étais en prestation ne voulait pas me lâcher plus d'une demi-journée. J'ai donc pris le premier vol pour l'Aéroport de Clermont Auvergne à 6h30 du matin, récupéré par le directeur du bureau de Clermont, j'ai été transporté sur P01 à Cataroux pour l'entretien. Le retour s'est fait aussi vite, quasiment avec les gyrophares en direction de l'aire d'envol pour récupérer l'avion du retour et à treize heures, j'étais de nouveau à Paris après 830 km en à peine quatre heures !
Nous vivons des aventures extraordinaires.
(Anvers, crédit photo Sullivan Gauville)
En l'espèce, j'ai fait sept heures de trajet aller-retour pour passer un entretien de quarante minutes avec un prospect : Thalys de Paris à Anvers, récupération par la commerciale locale à la gare centrale puis voiture jusqu'à Gand.
Au coeur de la zone industrielle, j'ai rencontré le DAF - directeur administratif et financier - de la société pour proposer mes services et aider le groupe à implanter son système en conformité avec la réglementation fiscale française.
Cela arrive pour voir s'il y a cohérence et intérêts des entreprises mais au niveau de ce genre de déplacement express, j'ai déjà fait pire par le passé. C'était en février 2005 pour travailler dans le centre de la France à Clermont Ferrand pour la Manufacture Française des Pneumatiques.
Le prospect voulait me voir suite à un entretien téléphonique d'une heure. Or à l'époque le client chez qui j'étais en prestation ne voulait pas me lâcher plus d'une demi-journée. J'ai donc pris le premier vol pour l'Aéroport de Clermont Auvergne à 6h30 du matin, récupéré par le directeur du bureau de Clermont, j'ai été transporté sur P01 à Cataroux pour l'entretien. Le retour s'est fait aussi vite, quasiment avec les gyrophares en direction de l'aire d'envol pour récupérer l'avion du retour et à treize heures, j'étais de nouveau à Paris après 830 km en à peine quatre heures !
Nous vivons des aventures extraordinaires.
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