1029.- La dernière superproduction de James Titanic Cameron a suscité la même attente que Star Wars en 1977, le résultat a dépassé mes plus folles espérances car ce film marque l'industrie cinématographique au même titre que Terminator 2 il y a dix-huit ans.
J'ai eu le Wahouu Effect, j'ai été époustouflé ainsi que mon pote Nicolas "Bac+10" avec qui j'étais allé découvrir ce monument au Bretagne à la séance de 20h35 qui affichait complet. Ce n'est pas le film de l'année, c'est le film de la décennie, le cinéma a fait un bond en avant tellement l'expérience visuelle est hallucinante. A la sortie de la séance, on s'est regardés dans les yeux et on s'est dit "De retour à Paris !" tellement c'était maussade et que nous avions l'impression d'avoir passé 2h41 en forêt de Pandora. Je n'aime pas trop la forêt mais cette planète merveilleuse complètement créée en images de synthèse est tellement belle que l'on croit rêver tout en étant éveillés. Avec les lunettes 3D, l'illusion réelle d'évoluer avec les personnages est tangible.
Le génial James Cameron nous a bien bluffé sur ce coup-là car le titre du film évoque un personnage dont le héros prend l'identité mais en fait il nous invite nous-mêmes spectateurs à prendre possession du corps du héros et à découvrir de nouvelles sensations qui nous font échapper à nos existences mornes et tristes. C'est le huitième film du réalisateur d'Aliens et il a coûté la somme vertigineuse de 300 millions de dollars. Le génie de cet homme est de nous prouver qu'il reste encore au cinéma des sensations à nous donner que nous n'aurons jamais chez nous devant notre écran même avec un home cinéma dernier cri.
La 3D je connaissais car j'ai vu récemment Voyage au Centre de la Terre, Destination Finale 4 et Là-Haut dans ce procédé de restitution mais tous n'ont rien à voir avec la beauté graphique et poétique de Avatar. Au niveau de la technologie, nous étions équipés de lunettes actives c'est-à-dire avec des cristaux liquides qui cachent tour à tour l'oeil droit puis l'oeil gauche pendant que le projecteur alterne les images destinées à chacun des deux yeux avec une cadence de 48 images par secondes. Le confort visuel est excellent et la fatigue moindre. Pour ce qui est des acteurs, Cameron n'a pas explosé le budget en prenant des nouveaux visages : Zoë Saldana la jolie Uhura de Star Trek fait une sculpturale indigène bleue, Sam Worthington le premier rôle est loin du personnage de soldat bourrin gros bras il n'est pas tout à fait un inconnu car on l'a récemment vu dans Terminator Renaissance où il a sans doute été prêté par le génial des Terminator et Terminator 2, enfin dans des rôles secondaires on retrouve CCH Pounder vue dans Bagdad Café et la série The Shield qui interprète la shamane du clan Na'vi et Wes Studi le chef, le terrible iroquois dont j'adorais la réplique dans Le Dernier des Mohicans : "je tuerai cheveux blanc, je violerai sa femme et sa fille et je mangerai son coeur" ... charmant !
Jake Sully est employé de la Compagnie RDA Resources Development Administration et il débarque le 19 mai 2154 la première fois sur Pandora.
Côté histoire, les plus blasés diront que le scénario est convenu, manichéen au possible et techno-écolobasique mais le plus fort est de nous faire voyager et de prendre notre esprit et le faire vagabonder dans un ailleurs totalement fantasmagorique.
Je dis Waouhhhh !!!
La musique de la bande annonce est composée des trois morceaux suivants :
1) My Name is Lincoln et Steve Jablonsky (extrait de la bande originale de The Island)
J'ai eu le Wahouu Effect, j'ai été époustouflé ainsi que mon pote Nicolas "Bac+10" avec qui j'étais allé découvrir ce monument au Bretagne à la séance de 20h35 qui affichait complet. Ce n'est pas le film de l'année, c'est le film de la décennie, le cinéma a fait un bond en avant tellement l'expérience visuelle est hallucinante. A la sortie de la séance, on s'est regardés dans les yeux et on s'est dit "De retour à Paris !" tellement c'était maussade et que nous avions l'impression d'avoir passé 2h41 en forêt de Pandora. Je n'aime pas trop la forêt mais cette planète merveilleuse complètement créée en images de synthèse est tellement belle que l'on croit rêver tout en étant éveillés. Avec les lunettes 3D, l'illusion réelle d'évoluer avec les personnages est tangible.
Le génial James Cameron nous a bien bluffé sur ce coup-là car le titre du film évoque un personnage dont le héros prend l'identité mais en fait il nous invite nous-mêmes spectateurs à prendre possession du corps du héros et à découvrir de nouvelles sensations qui nous font échapper à nos existences mornes et tristes. C'est le huitième film du réalisateur d'Aliens et il a coûté la somme vertigineuse de 300 millions de dollars. Le génie de cet homme est de nous prouver qu'il reste encore au cinéma des sensations à nous donner que nous n'aurons jamais chez nous devant notre écran même avec un home cinéma dernier cri.
La 3D je connaissais car j'ai vu récemment Voyage au Centre de la Terre, Destination Finale 4 et Là-Haut dans ce procédé de restitution mais tous n'ont rien à voir avec la beauté graphique et poétique de Avatar. Au niveau de la technologie, nous étions équipés de lunettes actives c'est-à-dire avec des cristaux liquides qui cachent tour à tour l'oeil droit puis l'oeil gauche pendant que le projecteur alterne les images destinées à chacun des deux yeux avec une cadence de 48 images par secondes. Le confort visuel est excellent et la fatigue moindre. Pour ce qui est des acteurs, Cameron n'a pas explosé le budget en prenant des nouveaux visages : Zoë Saldana la jolie Uhura de Star Trek fait une sculpturale indigène bleue, Sam Worthington le premier rôle est loin du personnage de soldat bourrin gros bras il n'est pas tout à fait un inconnu car on l'a récemment vu dans Terminator Renaissance où il a sans doute été prêté par le génial des Terminator et Terminator 2, enfin dans des rôles secondaires on retrouve CCH Pounder vue dans Bagdad Café et la série The Shield qui interprète la shamane du clan Na'vi et Wes Studi le chef, le terrible iroquois dont j'adorais la réplique dans Le Dernier des Mohicans : "je tuerai cheveux blanc, je violerai sa femme et sa fille et je mangerai son coeur" ... charmant !
Jake Sully est employé de la Compagnie RDA Resources Development Administration et il débarque le 19 mai 2154 la première fois sur Pandora.
Côté histoire, les plus blasés diront que le scénario est convenu, manichéen au possible et techno-écolobasique mais le plus fort est de nous faire voyager et de prendre notre esprit et le faire vagabonder dans un ailleurs totalement fantasmagorique.
Je dis Waouhhhh !!!
La musique de la bande annonce est composée des trois morceaux suivants :
1) My Name is Lincoln et Steve Jablonsky (extrait de la bande originale de The Island)
2) Akkadian Empire de Audio Machine
3) Guardians at the Gate de Audio Machine
Le générique de la chanson du film, "I see you" est interprété par Leona Lewis.
"Avatar" de James Cameron avec Sam Worthington, Sigourney Weaver, Zoe Saldana, CCH Pounder, Wes Studi et Giovanni Ribisi
Le générique de la chanson du film, "I see you" est interprété par Leona Lewis.
"Avatar" de James Cameron avec Sam Worthington, Sigourney Weaver, Zoe Saldana, CCH Pounder, Wes Studi et Giovanni Ribisi
whaoou pareil...
Rédigé par : maurice l alsacien en thailande | 22 décembre 2009 à 09:17
Bon quand est-ce qu’on y retourne (ensemble cette fois) ? C’est le genre de film que tu vas aller voir 3 à 4 fois je suppose ?
Rédigé par : Cédric Ringenbach | 22 décembre 2009 à 17:41
wii au moins deux fois en VF 3D et en VO 3D, mais vu que chez moi je n'aurai jamais la même qualité de vision, j'y retournerai bien une troisième fois pour le plaisir !
Rédigé par : giao | 22 décembre 2009 à 18:11
Deux fois en VO heureusement parce qu'en Thai j'aurais eu du mal....
Ca vaut le coup de le revoir...
Rédigé par : maurice l'alsacien en Thailande | 27 décembre 2009 à 07:17