825.- Un film de Ridley Scott c'est toujours un événement.
Celui-ci réunit Russel Crowe et Leonardo qui a maintenant 34 ans et qui réussit tous les rôles qu'il entreprend. On assiste à deux visions d'une même guerre, le terrain en Jordanie à Amman avec Leonardo qui campe un agent de la C.IA. et qui mouille véritablement sa chemise à la traque des membres d'un mouvement intégriste, la bureaucratie de Washington avec Russel Crowe qui joue un ponte qui ne manque aucune image des conflits à partir des ses puissants satellites-espions. Ce film fait penser à Ennemi d'Etat de Tony Scott, le frère de Ridley et à Deja Vu du même frangin.
C'est un bon film qui nous fait décoller de son fauteuil avec ses scènes-chocs et le début d'une histoire entre le conseiller politique Leonardo et la jolie iranienne Aïsha jouée par l'actrice Golshifteh Farahani.
A noter également l'interprétation de Mark Strong très séduisant dans le costume de l'inquiétant chef des services secrets jordaniens.
Le film est tiré du roman éponyme de David Ignatius qui a suivi pendant 10 ans les méthodes d'infiltration et de surveillance des services de renseignements américains dans les conflits du Proche Orient pour le Wall Street Journal et le Washington Post.
Pas le film de l'année, mais un bon divertissement pop corn à suivre en grand écran pour les scènes très spectaculaires.
"Mensonges d'Etat" de Ridley Scott avec Russel Crowe, Mark Strong et Leonardo DiCaprio
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.