685.- Il est partout dans Paris, les affiches en tapissent tous les murs et les cinémas le diffusent en boucle dans leurs salles - parfois même deux par cinéma - pour faire face au raz de marée Indy 4.
Tout le monde ira le voir même si on vous dit que c'est un navet, l'attente a été trop forte telle le capital sympathie de Harrison Ford et du célèbre archéologue au chapeau non moins renommé est gigantesque.
En le visionnant malgré les qualités techniques évidentes, on a la désagréable sensation que le tandem Spielberg-Lucas est allé au bout de ce qu'il pouvait faire, ils ne peuvent plus se renouveler surtout face aux jeunes qui débarquent et qui font mieux avec parfois moins de moyens.
Harrison Ford a toujours fier allure en tenue d'aventurier, bondissant et se battant contre un lion cette fois contre les russes et une Cate Blanchett à l'accent outrageusement caricatural. Karen Allen est le seul lien entre ce dernier épisode et la trilogie, sachant ce qui est arrivé à Henry Jones - Sean Connery et Marcus Bordy, où est donc passé John-Rhys Davies ?
Sand et moi avions l'impression que fort de leurs succès passés, les deux producteurs-réalisateurs ont fait le pari de faire de leur Indy 4 un concentré de toutes leurs idées les plus farfelues qu'ils ont imaginées au cours de toutes ces années ! Il ne manquait que les dinosaures ...
Cela donne une histoire qui n'a ni queue ni queue et qui se termine en eau de boudin, je ne peux en dire plus sans déflorer la pantalonnade qui déçoit quelque peu le fan de la première heure. Comble du comble, j'étais à deux doigts de m'endormir lorsque Indy est prisonnier et que tous discutent tout autour d'une carte, c'est trop brouillon !
Pourtant quelle bande-annonce, fichtre ...
Bref je suis content de l'avoir vu en vrai, en grand au Max Linder Kinopanorama qui fait bien d'accepter les deux cartes et ne désemplit pas mais le dernier Indiana Jones est bien loin d'être impérissable.
"Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal" de Steven Spielberg avec Karen Allen, Shia Labeouf et Harrison Ford
Tout le monde ira le voir même si on vous dit que c'est un navet, l'attente a été trop forte telle le capital sympathie de Harrison Ford et du célèbre archéologue au chapeau non moins renommé est gigantesque.
En le visionnant malgré les qualités techniques évidentes, on a la désagréable sensation que le tandem Spielberg-Lucas est allé au bout de ce qu'il pouvait faire, ils ne peuvent plus se renouveler surtout face aux jeunes qui débarquent et qui font mieux avec parfois moins de moyens.
Harrison Ford a toujours fier allure en tenue d'aventurier, bondissant et se battant contre un lion cette fois contre les russes et une Cate Blanchett à l'accent outrageusement caricatural. Karen Allen est le seul lien entre ce dernier épisode et la trilogie, sachant ce qui est arrivé à Henry Jones - Sean Connery et Marcus Bordy, où est donc passé John-Rhys Davies ?
Sand et moi avions l'impression que fort de leurs succès passés, les deux producteurs-réalisateurs ont fait le pari de faire de leur Indy 4 un concentré de toutes leurs idées les plus farfelues qu'ils ont imaginées au cours de toutes ces années ! Il ne manquait que les dinosaures ...
Cela donne une histoire qui n'a ni queue ni queue et qui se termine en eau de boudin, je ne peux en dire plus sans déflorer la pantalonnade qui déçoit quelque peu le fan de la première heure. Comble du comble, j'étais à deux doigts de m'endormir lorsque Indy est prisonnier et que tous discutent tout autour d'une carte, c'est trop brouillon !
Pourtant quelle bande-annonce, fichtre ...
Bref je suis content de l'avoir vu en vrai, en grand au Max Linder Kinopanorama qui fait bien d'accepter les deux cartes et ne désemplit pas mais le dernier Indiana Jones est bien loin d'être impérissable.
"Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal" de Steven Spielberg avec Karen Allen, Shia Labeouf et Harrison Ford
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