Je reviens de la Banque qui n'a de populaire que sa dénomination. J'étais prêt à tout casser, à faire un esclandre pour obtenir gain de cause. En substance, ils m'ont inscrit au FICP de la Banque de France parce que j'ai encore un PEA chez eux où il y a plus de 4 000 euros qui dorment tranquille-mimile ... fichtre, tout ça pour ça ! C'est loufoque mais en quelque sorte logique puisqu'un PEA cela consiste par contrat à s'engager à verser une somme fixe tous les mois à partir de son compte principal. Mais voilà, mon compte n'étant plus approvisionné depuis belle lurette, il n'y avait plus de somme à virer et ce, durant deux échéances successives et on entre bien dans le cadre de l'inscription au FICP. Vive le Deus Ex Machina en cette fin d'année mouvementée ! Grrr ...
Retour au bureau de bonne heure et de bonne humeur puisqu'il est 11h14 et je viens de prendre mon café avec mon pote Marc. Mon directeur des opérations vient de me coincer à mon poste, je dois pondre 10 slides sur le processus Program Management au travers des différents flux financiers qui viennent alimenter les coûts de la chaîne d'exploitation au cours du développement des produits. Pffff... Et dire qu'au moment de la signature de la promesse de vente, quand j'ai dit que j'étais consultant informaticien, la proprio m'a dit "Ah ! Justement, mon neveu m'a installé Office 2003 et j'ai des problèmes sur mon pécé, vous pourrez me dépanner", c'est cela oui. Je suis bon à tout, bon à rien. Mon boulot ce n'est pas de dépanner les pécés ni de débloquer Word et Excel, c'est d'aider les clients à mettre en place un système complexe de gestion des processus financiers. C'est pourtant simple !
(TheZique : Stevie Wonder - Free)
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