1218.-Avec Scream (1996), le réalisateur des Griffes de la Nuit (1984) s'amusait à décortiquer les codes du film d'horreur et à les appliquer un par un avec un nouveau tueur en série vicieux rapide et dont le Ghost Face restera dans toutes les mémoires au même titre que le masque de Jason Vorhees de Vendredi 13 (1988). N'étant pas un fanatique des films d'horreurs contrairement aux protagonistes, j'avais été agréablement surpris par le premier épisode. Les deuxième et troisième étaient de bonne facture mais n'ont pas laissé de souvenir impérissable dans mon esprit. La version 2011 est en quelque sorte un remake du film qui a lancé la franchise. C'est d'ailleurs la seule série où le tueur a la même tête mais est différent derrière le masque. L'autre constante est que l'on retrouve toujours les mêmes héros depuis le début à savoir Sydney Prescott, Gale Weathers la journaliste et son mari Dewey le shérif. Parmi les petits nouveaux, on remarquera Emma Roberts la nièce de Julia, Rory Culkin le frère de Macauley et Hayden Panettiere la cheerleader qu'il faut sauver pour sauver le monde dans Heroes (2006). Un bon film d'horreur pour faire des bonds dans son fauteuil de spectateur auquel je décerne un 7/10
"Scream 4" de Wes Craven avec Neve Campbell, Courtenay Cox et David Arquette
1217.- On aurait pu craindre le pire de cette bluette gonflée aux anabolisants de l'acteur qui joue le rôle-titre, c'était sans compter la présence surprenante du britannique Kenneth Branagh derrière la caméra. Enfant, je dévorais toutes les bandes dessinées de Thor fils d'Odin au Royaume d'Asgard et le rendu majestueux des planches sublimées par mon imagination d'adolescent allait sans doute tomber à plat ou sembler par trop factices au moment de leur transposition sur grand écran. Fort heureusement, l'immense acteur de théâtre qui a interprété Hamlet (1997), Othello (1996) et Henry V (1991) insuffle à cette saga royale de très forts accents shakespeariens. Au debrief du film avec mon pote Gérald, c'est vrai que l'on retrouve pêle-mêle un peu de Stargate et d'Excalibur, c'est vrai que l'adaptation prend quelques libertés avec l'histoire originelle mais ce n'est pas grave. Elle ne trahit pas l'esprit et la qualité des derniers épisodes Marvel : Iron-Man de Jon Favreau, Hulk de Louis Leterrier sans oublier les trois Spider-Man de Sam Raimi. Le point de vue de Kenneth Branagh a été de privilégier l'histoire entre un père et un fils, un impétueux prince arrogant qui doit devenir le commun des mortels afin de faire ressortir sa vraie noblesse d'âme. L'acteur principal quasi-inconnu a joué auparavant le père du Commandant James T. Kirk dans Star Trek (2009) mais il était un peu plus maigrichon à l'époque. Dans l'histoire de Stan Lee, l'idée est plus poussée car Thor se réincarne dans le corps de Donald Blake, un petit docteur souffrant d'un handicap physique car il ne peut marcher qu'avec l'aide d'une canne. Il cotoie des malades qu'il soulage et est assisté en cela par l'infirmière Jane Foster. Au niveau technique 3D, on est loin d'Avatar (2010) et les publicités Oasis qui précédent le film sont plus époustouflantes pour l'effet de relief que le long métrage, un comble. A noter que les effets spéciaux sont l'oeuvre d'une société française BUF Compagnie basée à Paris. 8/10 pour l'adaptation shakespearienne et j'irai le revoir avec plaisir comme j'ai oublié de rester jusqu'à la fin du générique pour voir le teaser de la suite des aventures des Vengeurs
"Thor" de Kenneth Branagh avec Chris Hemsworth, Natalie Portman, Stellan Skarsgard, Anthony Hopkins, Clark Gregg et Renée Russo
1216.- Le dernier film du fils de David Bowie, c'est un peu Un jour sans Fin (1993) version thriller futuriste et plutôt réussie. Jake Gyllenhaal se réveille dans un train étonné de la réaction familière de parfaits inconnus à son égard. En réalité il est entré dans la peau d'un autre, un peu comme dans la série Code Quantum des années 90 avec Scott Bakula. A partir de ce postulat de base, on est emmené dans une série de révélations toutes plus surprendantes les unes que les autres. Le script est génial et il est impossible de deviner la suite ou la fin de l'intrigue. En clin d'oeil à la série mythique de Donald Bellisario, c'est Scott Bakula qui joue la voix du père de Jake Gyllenhaal. Même si la réalisation manque de virtuosité et si le spectateur ne sait pas à certains moments s'il regarde un film romantique ou un long métrage d'action, l'intrigue nous tient suffisamment en haleine pour nous captiver pendant 1h33. Le scénario est signé Ben Ripley et a été retravaillé par Mark Gordon le producteur de 2012, sur une idée digne d'un Philip K. Dick. Je regrette l'effet répétitif de la séquence des huit minutes qui n'est pas aussi bien exploitée que dans Un Jour sans Fin de Harold Ramis. Ma note 8/10 pour l'orginalité de l'histoire et des rebondissements, le jeu des Jake Gyllenhaal, Michelle Monaghan et Vera Farmiga.
"Source Code" de Duncan Jones avec Jake Gyllenhaal, Michelle Monaghan et Vera Farmiga
1215.- Une semaine après le Marathon de Paris, il y a plusieurs marathons dont ceux de Londres, Marseille, Nantes. Je participais au marathon d'Annecy en qualité d'accompagnateur, coach et meneur d'allure d'Anne et Danielle pour qui c'était le tout premier marathon, le rêve de tout une vie de jogger du dimanche.
Annecy est une ville magnifique de Haute Savoie qui postule à l'organisation des J.O. en 2018. Dans ce contexte, les plans d'urbanismes prévoient de construire un stade de 42.000 places sur le site du Pâquier, une immense étendue au bord du lac où les savoyards adorent se retrouver pour pique-niquer ou se flaner face à un paysage sublime avec le plan d'eau et les cimes enneigées en arrière-plan. Le cadre est si merveilleux qu'Ilse la fille d'Anne disait qu'on dirait un fond d'écran. Partis très tôt de la Gare de Lyon, nous arrivons avec Anne et Ilse à midi où nous retrouvons Paul le papa de la petite et Patrice le coach des filles qui les a amenées à leur premier semi-marathon en mars 2010. Nous posons nos affaires au Mercure de Seynod puis repartons passer la journée en ville et récupérer nos dossards. Le village du marathon est tout petit mais fourmille d'infos intéressantes, je prends au passage des gels salés d'Overstim's au goût de beurre de cacahuètes pour casser le goût sucré du pack Marathon qui m'avait fait tenir une semaine avant mais était assez écoeurant au bout du 30ème km. Dans l'après-midi, je fais connaissance en vrai avec des amies runneuses rencontrées sur Fessebouc, Valérie et Muriel, accompagnées de Leslie qui fait le semi et Pierre un marathonien chevronné. Toutes les filles ont suivi leur plan d'entraînement et elles seront trois à affronter leur premier 42,195 km. Muriel en est à son cinquième, tout comme Patrice qui appelle l'epreuve "le marathon de la loose" car il n'a pas fait de longue sortie depuis trois semaine et s'est très peu entraîné. Dimanche matin, il fait frais et on se prend un café à côté de la ligne de départ. Un concurrent voit la ceinture de Danielle et lui dit avec un large sourire : "Tu en as pour 10 heures avec tout ça !" Danielle réplique aussi sec : "Tu riras moins quand je te dépasserai !", quelle ambiance !
Le premier semi 8h45 - C'est le départ. Nous partons à l'arrière juste devant le vélo-balai que nous lâchons quand même rapidement. Le parcours longe le lac sur la majorité de la course dont le début où nous retrouvons Leslie et Pierre qui nous encouragent à plein poumons. A l'arrière du peloton, nous faisons la connaissance de Josiane et retrouvons Valérie et Muriel. J'ai le souffle coupé devant le panoramique fantastique, ce marathon est vraiment le plus beau que j'aie fait, y compris devant Nice-Cannes .
Nous rigolons, faisons connaissance de Laurent un rugbyman qui court le marathon le jour de son anniversaire et d'Olivier qui s'est inscrit seulement quatre semaines avant, quels fous. Je mène l'allure à 9,2-9,4 km/h et tout ce petit monde suit tranquillement. Peu après le 12ème km, nous croisons les premiers de la course qui sont déjà sur le retour, ils passent comme des étoiles filantes précédées par les motos qui les escortent.
Placés où nous sommes, nous voyons défiler le gros du peloton et retrouvons le coureur du bar qui ne manque pas de lancer à Danielle : "Dépasse-moi maintenant, je t'attends !" ... C'est de bonne guerre. Le soleil est haut dans le ciel, mais le vent frais nous permet d'éviter la surchauffe. Nous passons le semi en 2h27 c'est lent mais nous sommes dans l'objectif que nous nous sommes fixés à savoir semi en 2h30 et arrivée à 5h. Il faut savoir que nous devons impérativement arriver 5h15 après le début de l'épreuve car à 14h est lancé le départ du semi-marathon.
Le retour vers le Lac Sur le chemin du retour, plein de moments d'émotion comme sur l''un des derniers ravitaillements où un jeune homme visiblement trisomique me tend un verre d'eau et me dit : "tenez les champions !". Je m'approche de lui, lui donne une tape amicale sur l'épaule et lui dit avec un grand sourire "merci, c'est vous aussi les champions, vous êtes formidables !" Je vois son sourire et ceux de tous les bénévoles et ça, ça n'a pas de prix. Patrice me sort qu'il est "carbo", assurément le manque de préparation. Danielle qui avait un coup de mou au 27ème se réveille et termine la course à bonne allure avec son copain venu l'escorter à partir du 33ème km. Pour Anne, cela devient compliqué car elle a mal à la hanche et est contrainte de marcher. Nous sommes biens partis car même en marchant, nous restons dans les limites imparties. Les sept derniers kilomètres sont une alternance de marche et de course où j'encourage les coureurs qui terminent sur le mental. C'est là que le marathon devient le plus beau, quand l'esprit prend le pas sur les muscles parce que les jambes ne veulent plus avancer. A l'arrivée, nous courons devant une foule en délire et je tape dans les mains de tous les spectateurs, je crie de toutes mes forces pour dire que c'est le premier marathon d'Anne et nous arrivons sous les ballons et sur le tapis rouge. Les organisateurs ont bien fait les choses. Après mon premier ultra et premier trail le 26 mars, le Marathon de Paris le 10 avril, je termine sans courbature, ni douleur le Marathon du Lac d'Annecy le 17 avril et je suis heureux d'avoir accompagné trois nouvelles marathoniennes : Valérie, Anne et Danielle qui sont FINISHERS ! Bravo les filles et merci pour cette belle aventure. Revivez la course en images, tous les résultats du Marathon du Lac d'Annecy.
1214.- Le 10 avril 2011, c'était la 35ème édition du Marathon de Paris qui a été lancé en 1976 pour la première fois dans l'époque des jeux de l'ère moderne par opposition aux jeux de l'Antiquité.
Je me suis lancé parmi les 40.000 coureurs sur les Champs Elysées dans la fameuse musique de Vangelis, Les Chariots de Feu. Auparavant nous avions tous rendez-vous avec les copains du Nike Running Club Paris pour une photo souvenir très sympathique. (Crédit photo : Abdel Slimani) Le Marathon de Paris est une immense fête, je connais des dizaines de coureurs qui l'ont fait et tous partagent le même souvenir, c'était grand, c'était émouvant de voir toute cette foule tout au long du chemin nous acclamer comme si nous étions des héros des temps modernes. La course à pied est la seule épreuve sportive où le coureur le plus anonyme se retrouve sur la ligne de départ au même titre que le numéro un mondial. Deux semaines après mon ultra-trail, c'était une folie douce de me lancer sur un marathon mais Paris est une aventure qui ne se refuse pas quand on a les moyens de la terminer dans de bonnes conditions. La jolie histoire a commencé dès le retrait des dossards le vendredi midi, nous nous étions donnés rendez-vous avec toute la joyeuse bande du NRCP sous l'impulsion de Jipé de Run Reporter Run. Le lendemain je retrouvais au salon mon ami virtuel Marc Destal pour une rencontre réelle et un bon moment à parler course à pied, état d'esprit et stratégie pour attaquer le MDP. Le dimanche matin, un léger vent frais rafraichissait les Champs Elysées mais le soleil était bien présent. Après la photo de groupe, j'ai fait quelques accélérations pour faire monter le palpitant. Cette fois, je ne considérais pas les premiers kilomètres comme un échauffement mais comme la course elle-même.
Le premier semi Ma stratégie était de partir vite pour arriver suffisamment tôt au 27ème kilomètre et résister au maximum au moment du mur comme je l'avais fait sur Nice-Cannes où j'avais battu mon précédent record de 67 minutes. On est loin de la technique du negative split mais Didier Lesourd un coureur d'Esprit Running dont le record est à 3h08 m'a confié qu'il avait la même façon de voir les choses. Dans le sas des 3h45, une tape derrière le dos je me retourne et je vois René Ghosh ! Le canadien est un copain virtuel avec qui je discute souvent au travers de sites comme dailymile. Nous discutons comme de vieux amis d'enfance et cela me faisait bizarre tout comme la première fois que je voyais mon ami Yannick Quadra94 au Nike Running Club ou Marc Destal au stand Esprit Running. Au coup de sifflet, après quelques minutes de marche jusqu'à la ligne de départ, je suis parti comme une balle à 4'30'' du kilomètre soit 13,33 km/h impensable il y a seulement un an. En trouvant mon rythme de croisière j'ai fait mon premier semi en 1h48 contre 1h53 au Marathon de Nice-Cannes. A peine sorti du Bois de Vincennes, nous sommes sur l'avenue Daumesnil et mon ami Gérald prend un cliché à la volée. (Crédit photo : Gérald Déséreau) Je continue mon petit bonhomme de chemin et à Bastille je croise l'ami JC alias Jean-Christophe fondateur de Friendsclear qui me lance un encourageant "Vas-y Giao, accroche-toi au 3h45, tu es dans ton rythme, c'est bon !"
Du 27ème au 34ème, le passage à vide J'ai bien tenu jusqu'au 25ème km à l'entrée du tunnel de la voie Georges Pompidou. Ce passage m'avait paru traumatisant, angoissant dans mon souvenir de 2009. Les forces commencent à décliner car on a bien puisé dans nos réserves, on commence à avoir le tournis et sur les voies sur berges et on entre dans cette bouche énorme qui nous avale dans laquelle on entend le son perturbant des ventilateurs géants qui font circuler l'air. On devient tous claustrophobes, en l'absence de la lumière du jour et on entend des vantards crier : "On n'est pas fatigués !". Ca perturbe quand même. A la sortie, on est soulagé de voir enfin l'éclairage naturel mais la joie est de courte durée puisque c'est une succession de rampes montantes et descendantes qui nous attend avant d'entrer dans Boulogne. Passé le 34ème km, j'ai la joie de voir Monique et Anne-Gaëlle venues m'encourager et m'accompagner jusqu'à la fin. J'ai couru tout le parcours en solitaire parmi les 40.000, je finis escorté par les deux charmantes runneuses.
Les Sept derniers, jusqu'au bout du rêve Arrivé au 35ème km, on est tout proches de la fin mais les kilomètres semblent s'étirer et mesurer deux fois leur distance. On les attend avec impatience et j'étais tellement usé et à bout de forces que j'ai vu arriver le numéro 36 alors que j'attendais le 37. Je suis marqué du visage, je n'ai plus trop la force de répondre à Monique qui me parle pour que je ne m'endorme pas en chemin. Je porte le masque, les pas sont de plus en plus pesant et j'avance mécaniquement sans vraiment en avoir conscience. Je sais que je ne vais pas vite mais je ne pense qu'à une chose, arrivée au rond point Porte Dauphine et voir la ligne d'arrivée. La fin du bois est proche, je vois le panneau des 26 miles, je suis dans les 200 mètres. Comme tout le monde dans un sursaut d'orgueil j'accélère et laisse éclater ma joie. C'est finiiiii ! J'ai terminé dans la douleur et le split a été plus que positif, ce qui n'est pas une bonne chose. J'ai mis 1h16 pour faire les 12 derniers kilos.
Epilogue Je retrouve Laure, Sébastien et Guy au magasin, je fais la connaissance de Delphine pour qui Guy a fait le meneur d'allure dans les derniers kilomètres si éprouvants. Ils ont bien performé avec des chronos aux alentours de 3h38-h3h47. Dans la rue j'avais croisé Alexandre frais comme un gardon qui avait signé un 2h58 conforme à son objectif, 4'13'' du km ou 14,22 km/h de moyenne ça n'a pas traîné. Xuoan arrive, il est passé devant moi au semi mais je l'ai rattrapé sur la deuxième partie. Une pause McQuick plus tard, je retrouve et félicite Hodha, Sandrine et Cécile, Stéphane arborant tous la médaille et le maillot de FINISHER. La joie est absolue, la sérénité emplit les coeurs. Tous les amis coureurs qui tentaient l'aventure du marathon pour la première fois sont marathoniens. Grâce au Nike Running Club, un groupe est né, un esprit de corps, un fort sentiment d'appartenance à une équipe, pour un sport individuel c'est pas mal du tout. Depuis un an et demi, je rédécouvre l'art de la course à pied, une nouvelle façon de vivre ces moments et j'adore.
1213.- John Wells est le réalisateur des meilleurs épisodes de la série Urgences. C'est un expert pour la mise en place d'une tension dramatique et pour présenter des personnages attachants dont on peut se sentir proches. Ben Affleck est un cadre supérieur dans une multinationale qui perd son poste et se trouve au pied du mur du jour au lendemain. Fini l'abonnement au golf avec les millionnaires, il est obligé de brader sa Porsche et de vendre son immense maison. "Ma vie s'est arrêtée et pourtant le monde continue à tourner sans y prêter attention." Pour une fois, Ben Affleck est plutôt convaincant dans son rôle, il forme un joli couple avec Rosemarie DeWitt et les seconds couteaux sont excellents dont Chris Cooper, le patron de Matt Damon dans La Mémoire dans la Peau (2002), Tommy Lee Jones égal à lui-même et Maria Bello parfaite en vipère arriviste, spécialiste du plan social à grande échelle. Au passage, on découvre comment cela se passe aux Etats-Unis. On est convoqué chez la DRH, elle nous signifie notre licenciement et on a deux heures pour rassembler nos affaires dans un carton et partir. Le chômage dure douze semaines et après, plus rien. C'est expéditif ! On est quand même très bien lôtis en France même si des sagouins en profitent pour vivre aux crochets de la société sans faire aucun effort en abusant des aides de l'Etat. Il y a des bas et il y a des hauts et la fin donne de l'espoir car de temps en temps on trouve toujours une main pour nous sortir de la merde surtout si l'on a toujours joué franc-jeu. Mon Gene McClary à moi s'appelle Abder Jouini et lui il peut appeler n'importe quand du jour ou de la nuit, je serai toujours là pour lui. Bon film auquel j'attribue un 8/10.
"The Company Men" de John Wells avec Ben Affleck, Tommy Lee Jones, Chris Cooper, Kevin Costner et Maria Bello
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